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Et alors?
Cette semaine en Haute-Corse....
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Ta meilleure chance de prendre du poisson (entre 0 et 10m) pour le faire griller en famille : la digue du port de commerce de Bastia.
Mise à l'eau au port de plaisance de Toga (il y a un parking qui correspond pile à la sortie du port). De là, plus d'1km de digue...
La digue du vieux port, beaucoup plus courte est aussi intéressante (parking au fond du vieux port, au pied de la digue).
Ensuite au nord de Bastia, tu peux te mettre à l'eau à Lavasina, Miomo, Grisgione mais aussi à Santa Severa (un joli sec avec du madrépore devant le port) : tu trouveras toujours un peu de roche en côte et des champs de laminaires tout proches qui peuvent te permettre de croiser du poisson.
Mais côté est la digue de Bastia reste certainement le spot le plus poissonneux pour un chasseur à la palme (n'oublie pas ta bouée!).
La côte ouest est plus belle, plus rocheuse, plus poissonneuse mais entre 0 et 10m carrément plus hasardeuse : tu risque de rouler et de palmer beaucoup sans croiser grand chose... Mais bon, le décor vaut le déplacement et musarder au bord peut réserver de belles surprises.
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Et désormais 22 pages intérieures à feuilleter sur le site Vagnon...
https://www.vagnon.fr/9782857259015-le-vagnon-de-la-chasse-sous-marine.html
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Le sommaire complet pour ceux qui hésitent encore!
Le Vagnon de la Chasse Sous-Marine (relié, cartonné, 288 pages, beau papier glacé!)
Sommaire
1/ Histoire
Une pratique ancestrale
Les pionniers : 1920-1945
L’âge d’or : 1946-1965
Gloire et défiance : 1966-1985
La révolution médiatique
et technologique : 1986-2005
Chasser à l’Anthropocène :
depuis 2006
2/ La chasse sous-marine
d’aujourd’hui et de demain
Des mutations écologiques rapides
Espaces et espèces protégés
Une pratique responsable
La dimension sportive
3/ Le milieu marin
Les différents biotopes
Les lois physiques
Les marées
Vents et courants
La vie marine4/ Le matérielLe masque
Le tuba
Les palmes
Le lest
Comment déterminer son lest ?
La combinaison
Le matériel de signalisation
Les accessoires
Les fusils sous-marins
Le matériel pour les grands poissons
5/ Aquacité et apnée
Les effets de la pression
Sinus et tympans
Physiologie de l’apnée
Passer sous la surface
6/ Les techniques de pêche
Chasser en équipe
La coulée
La pêche à trou
L’agachon
L’indienne
La chasse en pleine eau
La chasse profonde
Pêcher dans le courant
Les techniques particulières
Chercher, trouver, gérer
À bord d’une embarcation
Cartes et amers
GPS et sondeurs
Travail, conservation et
préparation du poisson
L’apprentissage numérique
7/ La sécurité
Les principaux dangers
Animaux venimeux
La ciguatera
Les prédateurs tropicaux
8/ Poissons, crustacés
et céphalopodes
Les proies du chasseur
Poissons de l’Atlantique Nord
Poissons méditerranéens
Poissons tropicaux
Poissons pélagiques
Crustacés
Céphalopodes
Oursins et coquillages
9/ La chasse sous-marine
dans le monde
Méditerranée
Atlantique tempéré
Atlantique tropical et subtropical
Caraïbes
Océan Indien
Pacifique
Mers froides
10/ Annexes
Réglementation
Les fédérations
Formations
Palmarès
Bibliographie -
Et bien, le goût de chacun (les chasseurs sont finalement les meilleurs juges, c'est nous qui pêchons le plus frais!) me paraît plus pertinent que les préférences générales : le goût c'est très culturel.
Par exemple le cobia, (qui est, à mon avis, un poisson délicieux) est considéré comme une pièce de roi en Sierra-Leone comme au Sénégal mais déconsidéré en Côte d'Ivoire (où il est plus rare et où la population le connaît moins).
L'exemple du thazard est parfait : un très bon poisson pas très recherché mais souvent une des meilleures prises à l'accroche-poisson (trop commun, ressemble trop à un maquereaux?).
Après certaines espèces mériteraient plus d'intérêt comme le snook (Centropomus undecimalis) que je place dans le top 5 des poissons que j'ai pu pêcher et déguster (en Martinique, il y a plus de trente ans)!
Dans la rubrique "autour de la table" on peut ouvrir des discussions "gastro" par espèce de poisson... :P
En Martinique toujours, on ne tirera aucune gloire populaire d'un tableau de Priancanthus arenatus, mais que c'est bon!
Bref cela peut-être très instructifs notamment pour les serranidés, les lutjans, les chirurgiens, très diversement appréciés dans l'Indo-Pacifique...
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En tout cas la permit en filets panés c'est vraiment délicieux! :P
A mon goût, la carangue à plumes, la permit et la sériole sont les meilleures carangues, du point de vue gustatif.
En quatrième position : la carangue bleue...
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Alectis ciliaris dans le monde entier.
Alectis alexandrinus, uniquement en Afrique de l'Ouest.
Le meilleur poisson que je connaisse à manger cru en carpaccio (huile d'olive et sel, pas de citron), le soir même. Une tuerie.
Je vous le conseille, vous m'en direz des nouvelles!
En Afrique c'est une rencontre souvent fortuite et une proie plutôt curieuse et débonnaire.
Une source de confusion possible : l'appellation "pompano" ou "pompaneau" est parfois donné à cette carangue à plumes par les anglophones (African pompano pour Alectis ciliaris) ou les chasseurs d'Afrique de l'Ouest...
Mais le nom "pompano" est aussi donné à :
Trachinotus maxillosus, uniquement en Afrique de l'Ouest (surnommé "japon" en Côte d'Ivoire alors qu'Alectis alexandrinus devient "pompano")
Trachinotus falcatus ou carolinus (Floride, Bahamas Caraïbes, aussi surnommé "permit")
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Disons que j'interprétais l'interdiction faite aux embarcations de s'approcher à moins de 100m d'un pavillon alpha...
Si la longueur de la drisse fait force de loi, alors une drisse en nylon monobrin (pour la discrétion) de 25m (voire plus), un enrouleur (pour ajuster la longueur nécessaire), un amortisseur et une solide habitude pour tracter, évoluer, le cas échéant grapiner sont nécessaires pour chasser efficacement avec un maximum de sécurité.
Se désolidariser et s'éloigner de la bouée apparaît donc comme risqué et illégal.
Voilà des règles qui mériteraient un peu plus de souplesse, comme de pouvoir pêcher à 25m de distance d'une bouée ancrée au fond (situation très courante malgré tout).
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à dom85 : dont acte! Je suis allé un peu vite en besogne, partant de "Tu as de la chance!" qui me semblait impliquer que tu n'avais pas été verni... Au temps pour moi.
à Skip : merci de la correction! C'est de vivre à Bastia qui entraîne ce genre de lapsus!
Se relire, toujours se relire.
Un point très intéressant dans l'article : le cas des recherches lancées lorsque une bouée de signalisation est retrouvée sans chasseur, cela doit arriver souvent (un cas dans le Cap Corse cet automne). D'une part cela induit une remise en cause de ceux qui s'en éloignent trop et s'en soucient peu (vivant la chose comme un boulet) : le mauvais temps se lève et, trop éloignés, ils l'abandonnent. Pour des raisons évidentes de sécurité, on ne devrait jamais se trouver à plus de 25 (distance maximum autorisée en compétition) à 50m de la bouée (même si la loi autorise un peu plus). D'autre part les conseils de la SNSM (avertir le CROSS en cas d'abandon d'une bouée, inscrire le nom et les coordonnées du propriétaire sur la bouée ou la planche) me semble frappés au coin du bon sens. Pour ma part j'emporte carrément mon tél portable dans un bidon étanche sur la planche.
En tout cas, la SNSM se préoccupe de notre cas !
Merci pour les 14 chasseurs sauvés des eaux.
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J'avoue être un être un peu surpris par certaines remarques!
dom85 considère ne pas avoir eu de chance parce qu'il a payé 400€ (une sorte de racket, profitant de sa situation difficile...), ne pouvait-il pas refuser le remorquage? A "Mada" cela s'organise comment ?
D'autres précisent que les sauveteurs picolent, coulent les bateaux par temps calme et détournent probablement de l'argent (voire les pompiers qui font du porte à porte pour s'organiser des petites sauteries). Il ne vous reste qu'à dénoncer le SAMU (ils font ça pour se faire bien voir en société), les pilotes de Canadair (vous devez en connaître qui braconnent), les infirmières (elles ne font ça que pour le fric et certaines pour se la péter en soirée)...
Wahoo! Heureusement que vous êtes là pour ouvrir les yeux à ceux qui croient vivre dans un monde de bisounours!
Pour ma part, on m'a approché pour participer à l'équipe de la SNCM de Bastia (je vis au-dessus du port) : je vais être honnête, les astreintes, l'entraînement, l'entretien du matériel et la perspective de me jeter dans le gros temps, en plein hiver, à n'importe quelle heure de la nuit ... Je me suis dégonflé.
1/ J'encourage tous ceux qui considèrent que les marins de la SNCM sont des poseurs alcooliques ignorants les règles de navigation en mer à s'engager dans la SNCM, ils feront ainsi le ménage dans les mauvaises pratiques et prendront la place de personnes qui apparemment n'ont rien à faire là.
2/ Cette remarque est valable pour le corps des pompiers (volontaires ou professionnels).
Allez faire la révolution de l'intérieur!
Pour avoir vécu et pris la mer dans de nombreux pays étrangers, je trouve que nous avons la chance, en France, de pouvoir compter sur des fonctionnaires et des bénévoles dévoués et bien formés, à un système de secours (en mer et en montagne) qui ne lésinera ni en hommes, ni en moyen pour aller vous chercher.
Je soutiens sans réserve la SNCM comme les pompiers! Après comme disent les ivoiriens "L'homme c'est l'homme", vous trouverez toujours des individus au comportement défaillant mais à trop pointer les défauts des rares compatriotes encore capable de donner de leur temps pour les autres, vous participez, à mon sens, à une vaste déconstruction générale!
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Effectivement ce sont des côtes difficiles...
Des roches assez lisses avec peu d'enrochements complexes pouvant fixer le poisson. Une eau très claire ne facilitant pas l'approche et de vastes zones pauvres en courants nourriciers (mais propices à des mises à l'eau tranquilles).
Je ne me suis pas mis à l'eau mais la réputation des côtes croates c'est peu de poisson et plutôt profond.
Les sites et les forums de chasse italiens sont plutôt riches en info sur la Croatie (si tu comprends un peu...).
Sinon, c'est très beau, assez dépaysant et plein de sites attrayants dans les îles de Dalmatie.
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"L'obtention d'une licence de pêche annuelle et d'un permis de pêche à durée variable (un jour, trois jours, une semaine, un mois : compter 8 à 95€ selon la durée choisie) peut se faire dans les clubs, les magasins de pêche et les offices de tourisme (sur présentation d'une pièce d'identité et d'un certificat médical)".
Tiré du livre : "Le Vagnon de la Chasse Sous-Marine"
Attention également aux mailles, poids maximums et périodes d'interdictions selon les espèces...
Visibilité Sur La Côte Basque
dans Chasse de Bretagne Sud au Pays Basque
Posté(e)
Mercredi à Erromardie, sous la pluie, cela va être parfait... Petit coef, pas de houle...