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Cr2 : A Force De Débuter On Finit Par Progresser


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Deux semaine depuis le dernier CR et quatre plongées dans les palmes,

 

Y'a pas à dire les poissons c'est vraiment ma passion.

Va falloir réussir à combiner ça avec mes deux sorties hebdomadaire de pêche au bar aux leurres et trouver le temps de rentabiliser le permis eau douce.

Mais yiahh, maintenant je connais enfin les fonds de mes spots de pêche que j'explore méticuleusement.

 

Mais revenons à nos moutons d'eau douce.

Hier, samedi, ciel presque bleu, vent du sud, coeff pas trop violent et mer calme.

Le temps rêvé pour découvrir ce nouveau spot en bas de la falaise, loin de la foule des cueilleurs.

Et nous voila reparti, deux acolytes un peu patauds sur le sentier des douaniers à croiser tout entubaillé les promeneurs du weekeend.

 

Mais dès la mise à l'eau on oublie bien vite la marche. L'eau est très claire et nous fait oublier les milliers de particule en suspension.

Quelques coups de palmes, visite de la première faille, ouach la vache cette taille d'ormeaux, je continue sous l'eau y'a du fond pile comme j'aime, quand je tombe sur mon premier lieu.

Pas de vitesse, ni de précipitation, je vise, j'ajuste et je tire. Et paf c'est dans le filet. Pas bien gros 37cm, mais c'est le premier poiscaille hors vieille de la saison.

Mon pote remonte quelques secondes après avoir joué avec un bar tout juste maillé.

 

Le paradis est à nos pieds.

Je raterai encore un autre lieu un chouilla plus gros, et puis on se concentre sur les crustacés. Les araignées sont là mais plus petites que sur nos autres spots. Aucun très gros mâle

On trouve un tourteau chacun, c'est assez facile à sortir de son trou ces bêtes là.

 

Et puis viennent les looses, à 6-7m de fond une araignée dans la main gauche, le fusil dans la droite, je croise le premier homard de la sortie. Et la décharge d'endorphine et la libération d'adrénaline me remonte ma gauge d'oxygène de 30 bonnes secondes mais diminue mon pauvre Q.I. d'au moins autant de point.

J'essaie de le sortir de son trou le bloc par l'arrière, rechigne à mettre la main par dessus bouge mon fusil, frôle l'apoplexie, m'énerve, et paf il s'enfuit inaccessible.

Je remonte, j'enrage sur ma bêtise et continue à avancer.

 

Le filet se remplit, mais les poissons se font plus rares. La fatigue avance à chaque apnée et je descends de moins en moins souvent profond me limitant à 5-6m de confort.

Il n'empêche, sans même trop le chercher, paf je tombe sur Roger le Homard. Evalué à au moins 1.5Kg vu la taille de ces pinces.

Et rebelote de la connerie je cherche à le sortir en une fois j'y suis presque, je pourrais presque le prendre si je n'avas pas si peur de me faire pincer. Et ce sacridiou finira par se faire la malle au fond de sa crevasse. Mais que je suis naze.

Je remonte à toutes berzingues et crie ma rage.

Oups, des collègues mis à l'eau depuis me regardent curieux...

 

Question cruciale pour la prochaine sortie : Ca fait mal comment une pinçouille de homard ? Vous êtes pas obligé de me bizuter hein ! Même si j'imagine que c'est la bonne blague préférée du plongeur. "T'inquiète, mets ton doigt, les grosses pinces c'est juste pour séduire les femelles"...

 

Sinon la sortie se finira entre crampes et énormes vieilles.

Aussi heureux que déçu, le cocktail parfait pour n'avoir qu'une envie,

Y retourner...

 

 

 

PS : Un jour je serais moins pauvre et j'aurais un appareil photo...

PPS : Si jamais un pro du homard est prêt à me montrer sous l'eau et pour de vrai comment on les sort de leur trou ces sacrés bestiaux je ne dis pas non... Parce que pour un sortie de l'eau j'en ai perdu beaucoup plus...

 

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Merci !

Pour les zhomards, ça pince moins fort qu'un tourteau mais ça fait sacrément mal quand même, par contre il sont incapables d'attraper ce qui est sur leur dos.

 

Pense à faire une ou deux apnées juste pour examiner comment est fait son trou et réfléchir à une stratégie.

 

Pour les crampes prend à boire avec toi : eau + sucre et une petite pincée de sel

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Deux semaine depuis le dernier CR et quatre plongées dans les palmes,

 

Y'a pas à dire les poissons c'est vraiment ma passion.

Va falloir réussir à combiner ça avec mes deux sorties hebdomadaire de pêche au bar aux leurres et trouver le temps de rentabiliser le permis eau douce.

Mais yiahh, maintenant je connais enfin les fonds de mes spots de pêche que j'explore méticuleusement.

 

Mais revenons à nos moutons d'eau douce.

Hier, samedi, ciel presque bleu, vent du sud, coeff pas trop violent et mer calme.

Le temps rêvé pour découvrir ce nouveau spot en bas de la falaise, loin de la foule des cueilleurs.

Et nous voila reparti, deux acolytes un peu patauds sur le sentier des douaniers à croiser tout entubaillé les promeneurs du weekeend.

 

Mais dès la mise à l'eau on oublie bien vite la marche. L'eau est très claire et nous fait oublier les milliers de particule en suspension.

Quelques coups de palmes, visite de la première faille, ouach la vache cette taille d'ormeaux, je continue sous l'eau y'a du fond pile comme j'aime, quand je tombe sur mon premier lieu.

Pas de vitesse, ni de précipitation, je vise, j'ajuste et je tire. Et paf c'est dans le filet. Pas bien gros 37cm, mais c'est le premier poiscaille hors vieille de la saison.

Mon pote remonte quelques secondes après avoir joué avec un bar tout juste maillé.

 

Le paradis est à nos pieds.

Je raterai encore un autre lieu un chouilla plus gros, et puis on se concentre sur les crustacés. Les araignées sont là mais plus petites que sur nos autres spots. Aucun très gros mâle

On trouve un tourteau chacun, c'est assez facile à sortir de son trou ces bêtes là.

 

Et puis viennent les looses, à 6-7m de fond une araignée dans la main gauche, le fusil dans la droite, je croise le premier homard de la sortie. Et la décharge d'endorphine et la libération d'adrénaline me remonte ma gauge d'oxygène de 30 bonnes secondes mais diminue mon pauvre Q.I. d'au moins autant de point.

J'essaie de le sortir de son trou le bloc par l'arrière, rechigne à mettre la main par dessus bouge mon fusil, frôle l'apoplexie, m'énerve, et paf il s'enfuit inaccessible.

Je remonte, j'enrage sur ma bêtise et continue à avancer.

 

Le filet se remplit, mais les poissons se font plus rares. La fatigue avance à chaque apnée et je descends de moins en moins souvent profond me limitant à 5-6m de confort.

Il n'empêche, sans même trop le chercher, paf je tombe sur Roger le Homard. Evalué à au moins 1.5Kg vu la taille de ces pinces.

Et rebelote de la connerie je cherche à le sortir en une fois j'y suis presque, je pourrais presque le prendre si je n'avas pas si peur de me faire pincer. Et ce sacridiou finira par se faire la malle au fond de sa crevasse. Mais que je suis naze.

Je remonte à toutes berzingues et crie ma rage.

Oups, des collègues mis à l'eau depuis me regardent curieux...

 

Question cruciale pour la prochaine sortie : Ca fait mal comment une pinçouille de homard ? Vous êtes pas obligé de me bizuter hein ! Même si j'imagine que c'est la bonne blague préférée du plongeur. "T'inquiète, mets ton doigt, les grosses pinces c'est juste pour séduire les femelles"...

 

Sinon la sortie se finira entre crampes et énormes vieilles.

Aussi heureux que déçu, le cocktail parfait pour n'avoir qu'une envie,

Y retourner...

 

 

 

PS : Un jour je serais moins pauvre et j'aurais un appareil photo...

PPS : Si jamais un pro du homard est prêt à me montrer sous l'eau et pour de vrai comment on les sort de leur trou ces sacrés bestiaux je ne dis pas non... Parce que pour un sortie de l'eau j'en ai perdu beaucoup plus...

 

 

Merci pour CR

 

..............C'est la secte des crustacés ?................... :D ..........lol

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Merci pour CR

 

..............C'est la secte des crustacés ?................... :D ..........lol

 

je me suis dit exactement la même chose, c'est le Rael des araignées de mer !!!!!!!!!

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le homard quand ça pince ça fait mal tout court saut que sous l'eau, en milieu hostile et bien (manque d'oxygène, ego, etc....) bah ça fait très mal

pour la photo je pense qu'elle aurait plus sa place dans la rubrique zoophilie et gladiateurs, rubrique qui n'est pas encore crée mais dont notre administrateur se fera un plaisir de créer juste en dessous de celle consacrer, à divorce et chasse sous marine(car il faut admettre qu'après un divorce on a vraiment beaucoup plus de temps)

bises à tous bonne semaine

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Ton CR me rappelle mes débuts?

Pour le homard, le premier que j' avais croisé est apparu par surprise, gambadant sur les rochers, Si je n' avais pas été en surface j'aurais bu le bouillon à faire "ooooooh?".

J' ai pris mon courage à deux mains et l' ai choppé par le col. Victoire.....mais là, c' est le drame.... il a mis un grand coup de queue....Et j' ai eu tellement les miquettes qu' il me croque que je l' ai lâché....et le pire...c' est qu' il n' avait qu' une patte....

Ce jour j' ai rangé mes gants de voile pour acheter des 5MM...

Tu verras, avec le temps ça vient!

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Cimer pour les retours !

 

Le temps d'enregistrer tout ça, de perfectionner mon apprentissage de l'arachnéen et du bas-crustapode.

Et promis je vous envoie d'autres photos de ma troupe de fidèles "En Marche" !

 

Et puis je le redis si y'a des expérimentés qui seraient prêts à me montrer en direct l'art et la manière de déloger un pinçu sous l'eau ils sont les bienvenus.

 

D'ailleurs y en a parmi vous qui sont licenciés au club de Plouezoch' apnée ?

J'hésite à m'inscrire mais si je me sens délicieusement bien dans l'eau j'ai toujours trouvé que je tenais plus de l'hippocampe que de l'espadon niveau performance...

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Salut,

 

Mes conseils pour le homard.

1. Bien baliser le trou, pour se préparer tranquillement. Prendre son temps pour élaborer une stratégie et faire descendre la tension si besoin; il va pas partir.

2. faire 2 repérages sans rien toucher, pour garder la visibilité. voir si le homard à l'air d'avoir envie de sortir ou pas. Voir s'il y a un seul trou ou plusieurs.

Si 1 seul trou, le plus amusant est de mettre un truc a manger devant. tu met d'abord dans le trou, puis un peu au dehors. tu te colle sur le coté et quand il a commencé à manger, tu sautes sur la tête. ça oblige a être bien discret, apnées parfois un peu longue; mais c'est tellement satisfaisant!

Si plusieurs trou (ou trou trop petit pour lui), le retourner pour l'attraper. Plus il est surpris, plus il va sortir vite.

Si le rocher est petit, soulever le rocher!

Si rien de tout cela ne marche, soulever un gros nuage de sable, et espérer que le homard va sortir.

 

Vu que 80% de la réussite c'est de la préparation, et que là tu as l'air d'y aller tout en force, je te confirme, c'est pas la bonne méthode.

 

Bon courage, tu vas y arriver.

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Pour le Homard, tu peux lui préparer un mac do si tu veux et le déposer sur le pallier, ou t'amuser avec ta flèche en calculant le coeff de pénétration des drosophiles et la quantité de lubrifiant nécessaire.

Sinon, tu fais comme on m'a appris. Tu le repères, et tu fous ta main rapidement pour l'attraper par dessus. Tu sers fort, le sors. Le tout en moins de 5 secondes. 90% des homards seront dans ton filet et ça ne prendra pas 2 heures. Le homard peut pincer, mais quand tu auras mal, tu feras comme tout le monde : tu tireras fort pour sortir ta main, et tu constateras que la pince sera accrochée à ton doigt, sans homard au bout... Ce n'est pas si douloureux, on s'en fait tout un monde. Et Si tu vas vite, c'est assez rare de se faire pincer. Une fois que tu l'as attrapé par le dessus, il ne peut pas grand chose, et son reflexe ne sera pas de pincer, mais de donner des coups de queue pour retourner au fond de son trou. Généralement, c'est là que tu as mal serré la main en l'attraprant, et en glissant il te laissera ses pinces...

Le secret, c'est de ne pas avoir peur. Y aller franco.

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Je vais ressortir cette anecdote encore une fois (depuis le temps je l'assume complétement) mais évite de faire comme a mes tous débuts, genre : tendre volontaire 2 phalanges pour qu'il pince dedans et penser le tirer de son trou de cette façon.

 

- 1ere : c'est douloureux

 

- 2eme : c'est inefficace

 

Depuis je me soigne mais je suis toujours aussi nul avec les homards mais en même temps j'en croise pas souvent non plus.

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Je vais ressortir cette anecdote encore une fois (depuis le temps je l'assume complétement) mais évite de faire comme a mes tous débuts, genre : tendre volontaire 2 phalanges pour qu'il pince dedans et penser le tirer de son trou de cette façon.

 

- 1ere : c'est douloureux

 

- 2eme : c'est inefficace

 

Depuis je me soigne mais je suis toujours aussi nul avec les homards mais en même temps j'en croise pas souvent non plus.

:MRD2: :MRD2: :MRD2:

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