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  1. Source MARITIMA L'incident est quasiment passé inaperçu dans l'été, mais la pollution semble plus importante que prévu L'affaire remonte au 24 juillet dernier. La direction de Naphtachimie Lavéra rédige un communiqué de presse. Une fuite interne au vaprocraqueur laisse passer des hydrocarbures dans l'eau de mer, de l'huile de pyrolyse très exactement, une sorte de fioul. Selon l'industriel, la fuite est stoppée et des moyens de pompages sont rapidement mobilisés pour récupérer les hydrocarbures surnageant dans l'anse Auguette. Les pompiers du Grand port maritime de Marseille interviennent aussi pour éviter que la pollution ne s'étende davantage et ne sorte du bassin de rétention, sécurisé par des barrages flottants, où sont collectées les eaux de refroidissements de la plateforme pétrochimique. Un bassin qui rejoint ensuite la Méditerranée via des siphons. Dans son communiqué du 24 juillet, Naphtachimie affirme que les hydrocarbures surnageants ont été pompés et que les opérations de nettoyage se prolongeront le jour-même et le lendemain. Sauf que deux mois plus tard, on constate encore que des opérations de nettoyage ont toujours lieu. Car si la partie flottante des hydrocarbures a été récupérée, la partie lourde est restée au fond de la mer. L'industriel devra rendre compte des impacts sanitaires sur l'environnement. __________________________________________ Le 24 juillet dernier, la société Naphtachimie faisait face à une fuite d’hydrocarbure dans son bassin de rétention. Fuite qui s’est ensuite propagée dans la Méditerranée. Deux mois après, les opérations de nettoyage se poursuivent. C'est une faille interne dans le vapocraqueur de Naphtachimie qui est à l'origine de cette accident écologique. Une fuite d'huile de pyrolyse issue d'une canalisation située dans un échangeur. Si, dans un premier temps, les hydrocarbures se sont déversées dans un bassin de rétention, elles se sont ensuite propagées dans la Méditerranée (située à proximité puisque son eau permettait de refroidir ces fameuses canalisations). Selon la direction, la plus grosse partie de cette fuite a été contenue dans ce bassin, celle échappée dans la mer est moindre, toujours selon la direction, mais sans pouvoir avancer de chiffre. Deux mois après, les opérations de nettoyage se poursuivent. Si cette huile, dont la consistance se rapproche de celle du fioul, flotte comme toutes autres huiles (et c'est cette partie qui a été ramassée dans un premier temps, le jour même), elle a aussi une composante lourde et c'est sous forme de boulettes qu'elle repose désormais à six mètres de profondeur sur une surface de 80 mètres par 20 (estimation de Naphtachimie). Une équipe de 6 scaphandriers s’attellent, chaque jour, par rotation, au ramassage manuel de ces boulettes d’huile de pyrolyse. Une quarantaine de sacs de 50 litres sont ramenés à la surface quotidiennement. Nous connaîtrons la quantité d'hydrocarbure prélevée à la fin de cette opération qui doit encore durer quatre semaines, puisque d'après le directeur Hygiène, Sécurité et Environnement, Didier Mené: " Pour l'instant c'est compliqué d'évaluer la quantité extirpée des fonds car c'est un mélange d'hydrocarbure, de sédiments et de terre. Il faudra faire la séparation pour donner la quantité finale." Les autorités, la DREAL et la Police de l'eau, ont demandé au pétrochimiste de mettre en place un plan de suivi de l’impact environnemental. Des prélèvements sur les sédiments mais aussi sur la faune et la flore maritimes vont être réalisés. Les résultats de cette étude seront connus avant la fin de l’année.
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