coryphaena

Oui ?

Dire qu'il y a encore 20 ans a part les connaisseurs et gents de la région presque personne ne connaissaient. Merci ?

Merci beaucoup c'est vraiment Génial de ta part. Pour conclure, si on ne prélève que la noix on a finalement rien a craindre au final? Quand j'en ramasse c'est 4-5 de temps en temps ce qui permet de faire un travail propre tranquillement et donc de limiter le risque de contamination par la toxine. Ben oui j'en prends très peu vu que c'est juste de temps à autre pour une assiette de carpaccio ou quelques tagliatelles avec des noix a peine cuite mais dorée en surface puis flambée au cognac avec une bonne crème semie épaisse. ? Bien entendu, quand j'en prends, c'est uniquement dans des zones où on a le droit d'en ramasser comme dans le 22 ou le 35 ? Nota: En tout cas super intéressant ?

J'ai ma petite idée pour des poissons jusque 40kg.... ?

J'apprécie beaucoup l'esprit dans lequel tu me fais don de cette proposition. C'est très gentil. Merci Beaucoup !!!

Pour le dessert tu aurais pu proposer le Bonnezeau ! Sinon +1000 pour le Saveniere ? Merci pour cette apartée fort agréable ?

Et ils stressent beaucoup moins quand on se décale sur le côté en les suivant. Ensuite on essaye de trouver le moment pour lui couper la route. Ce qui permet bien souvent de s'en rapprocher d'assez prêt pour lâcher le tir. (bien pratique quand on sait que l'on pourra pas palmer sur une longue distance). ?

tu aurais pu le dire plutôt :banned: :lol: :lol: :lol:

oui je crois bien que le 44 a fait carton plein cette année avec des gars en plaisance qui en faisaient jusqu'à 4 gros dans la journée.... :respect:

Tous mes guns possèdent aussi un moulinet. Certes j'y perds un peu en maniabilité dans le fort courant et dans nos eaux sales de Vendée jusqu'au bassin d'Arcachon. MAIS, j'y gagne tellement en sécurité et confiance en moi que je ne me vois pas revenir en arrière. Surtout quand il faut remonter en surface avec un poisson que l'on a pu attraper et qui freine notre remonté et qui à cause du courant se prend dans les obstacles. Donc, pour moi, un moulin, pour la France, c'est avant tout un outils de sécu et de confort. Par-exemple durant ma session, très régulièrement, je contrôle le frein du moulinet pour pouvoir anticiper si jamais il y a besoin de desserrer d'un coup. Sans moulinets, je pense que par exemple du côté du cap ferret, j'aurais perdu quelques guns... Mais, parfois quand je suis bien et que je le sens bien, je garde mon frein serré et je cherche à choper le poisson ou alors, si il est bien fléché et qu'il y a moins de 10m de fond, à la bourrin je le remonte en force jusqu'à l’attraper à la surface. Cette dernière technique fonctionne très bien sur les pelamides ou équivalents dans des poids acceptables jusque 5kg à condition bien entendu de faire un tir correcte et d'avoir un ardillon de qualité (pas trop petit non plus). Comme le précisait Dom85, à l'impact de la flèche il y a souvent (pas toujours) un petit temps d'arrêt avant que le poisson démarre. Par-conséquent, au moment de l'impact, c'est là qu'il faut envoyer le pater pour ''déstabiliser'' le poisson reduire la distance entre lui et vous, mais surtout le remonter à la bourin et finir le travail en surface.

+1 et c'est toujours une superbe sensation de satisfaction que de remonter avec ''son'' poisson contre soit. :wub:

C'est vrai que l'idée de nager vers le poisson est pas mal. Mais je préfère, si j'ai un peu de souffle (ce qui est rare :lol: ) de lâcher le gun pour filer sur le poisson l'attraper. Sinon, comme souvent je suis juste en souffle, ben c'est ouverture direct du moulinet. :) En tout cas, Fabiossimo je compatis pour cette belle perte. Mais tu semble bien connaître ta zone et tu auras encore l'occasion de récidiver. :flowers:

la rediffusion est aussi disponible ici >> http://www.france3.fr/emissions/thalassa/diffusions/06-11-2015_425195

Mais plus facile à dire qu'à faire surtout quand on a le doigts sur la gachette prêt à tirer et que l'on ne parvient pas à déceler le meilleur moment pour le tir car le zigoto de poisson n'arrête pas de bouger dans tous les sens :flowers:

oui ça peu être drôle. ^_^ Mais c'est surtout que ça renforce un max le lien entre toi et ton binôme car il faut effectuer un super et rapide travaille en équipe pour remonter le poisson quand ces derniers deviennent tout foufou. Et ça c'est génial car, la pression de bien faire et aussi de tout râter dans cette si rapide séquence est tellement forte que cela génère beaucoup d’adrénalines et le partage ainsi que le lien avec son binôme n'en est que plus fort au moment ou le poisson est dans nos bras ! :wub:

Eric, garde tes sous pour aller en NC retrouver certains souvenirs et partager ainsi de bons moments avec Quentin !!! :flowers:

Hihihi ! :D Et c'est normal, j'aurais mon fiston qui irait en stage en Nouvelle Calédonie, je serais trop heureux de profiter de cette occasion pour y aller. Et puis en plus, il y a un ami d'enfance que j'aime beaucoup et qui je l'espère toujours :fffff: serait heureux que je passe quelques moments avec lui sur terre ou sous mer. :flowers: :flowers: :flowers:

bon ben c'est cool pour toi ! le plus dur sera de se séparer du vieux rémora qui voudra aussi aller mouiller les palmes là ba. :lol: :lol: :lol:

Oui +1 tu as raison d'insister. :) En me relisant on pourrait penser qu'il faut en mettre sur les 40 premiers mètres. Non le plus important c'est d'abord la première couche sous la surface. Après, les thoniers disaient que c'était bien d'en mettre un peu plus bas pour essayer de fixer le thon qui reste à certains moments de la journée à certaines profondeurs. On m'a raconté que sur une zone à DCP, au sondeur, il y avait plein de détection dans la zone des 20-40m et rien entre 0 et 20m. Il fallait tous les jours attendre la fin d'après midi pour que la détection commence à se rapprocher de la surface.

La section radeau en bambou sous la surface de l'eau et après toute la section de filin servent avant tout pour les DCP non fixe qui dérivent avec le courant et qui sont retrouvées via des bouées satellite ou HF qui restent accrochées au radeau et qui ainsi vont pouvoir donner la position et par extrapolation, leur direction et vitesse liés au courant.

Je vous fournis ci-dessous mon pdf si vous n'avez pas envie de chercher. A noter qu'il y a un paramètre important à ajouter, comme on en voit sur la vidéo du post initial: il faut fixer régulièrement dans la zone des 40 premiers mètres sous la surface puis à renouveler vers 60-80m de longs filins comme ceux qui servent pour fixer les cartons sur les palettes. DCP-montages-divers-et-infos.pdf

Pas loin :lol: Derrière le plateau de rochebonne, sur les fonds mou des 80m que la langoustine affectionne, encore l'année dernière il était possible d'en pêcher très régulièrement dans les 800gr.... et vendu à prix d'or pour certains restaurants

Oui, +10000 Surtout que nous avons de la chance que depuis quelques années avec le thon rouge qui revient à nouveau par chez nous. Pour rappel, dans le passé, il y a eu aussi une époque similaire où le thon rouge venait du côté du cap Fréhel ainsi que du côté 44 au 29. Je savais que Zane Grey ou Hernest Hemmingway (je crois que c'était lui) était venu à une époque pêcher le thon rouge du côté du Cap Fréhel. Mais à ce qu'il parait, il serait aussi venu chercher le thon rouge dans le 29 comme Concarneau.....

Tu me fais du mal quand je pense à celui qui a coulé sur les fonds de 15-17m à jard il y a 2-3 ans... les boules, pour une fois qu'il pouvait y avoir une belle épave toute jeune dans le coin... et ben non, ils ont d'abord siphonné les métaux lourds (huiles et carburants) puis ensuite l'épave a été ramenée à terre. :'( :'( :'( Nota: merci encore Voyageur pour ta belle participation avec photos. :flowers:

Je pense qu'ils sont contre car il "semblerait" que les miliers de dcp dérivant dans l'océan Indien, pour le pêche de l'albacore et du listao auraient ''a ce qu'il paraît'' légèrement modifié la route de migration du poisson, devenu, surtout pour le listao, complètement dépendant des milliers de radeaux poussés par les courants. Par exemple, depuis les années 2005, à certaines époque de l'année, le poisson qui se tourvait autrefois sur telle zone, se trouve maintenant sur d'autres zones correspondant aux dérives des radeaux par les courants. L'incidence est importante car on parle parfois que quelques milliers de km. Donc, en effet, sur du poisson pélagique/migrateur cela peut peut-être avoir une incidence. Toute fois, et là où le bas blesse avec nos administrés, c'est que l'on ne sait pas couper la poire en deux. Au lieu de tout interdire bêtement, pourquoi ne pas en autoriser une certaine quantité ? En effet, nous ne parlons pas de MILLIERS de DCP... mais de peut-être une cinquantaine à centaine qui pourraient être posé le long de notre littorale. Mais gros problème que Dom a bien fait de préciser... avec tous nos chalutiers et équivalent, il y a trop de chance pour que ces derniers nous les coupes ou passent dessus. je l'entends assez souvent de la part de fileyeurs qui ont un pue trop décalé leur filets de fond (sur 40-90m par exemple) vers d'autres zone et qui ne retrouvent plus leur filets le lendemain car un chalutier est passé par là. Bien souvent un fileyeur ou équivalent se doit d'avoir des plans de route de chalutiers pour savoir où il peut déposer ses filets sans trop de risques.