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joe

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Messages posté(e)s par joe

  1. Dans cette notion d'abri, on ne peut pas prendre en compte les cales submergées à marée haute, les cailloux qui découvrent à marée basse ...

    C'est logique : t'as une merde, tu débarques, t'en as pour une paire d'heures, la marée remonte pendant ce temps là : es tu encore sur un abri ????

     

    Donc la petite digue au légeon qui recouvre à marée haute n'est pas un abri ! Vous devez envisager d'être bloqué plusieurs heure. Cet abri, c'est pas pour quand il arrive rien, c'est justement s'il vous arrive quelque chose !

     

    On est bien d'accord ^_^

     

     

     

    Il y a la balustrade qui n'est pas immergé sauf par grand coeff. :hyp:

     

    Je crois que je vais me renseigner sur le cout d'une protection juridique, ce sera peut-être moins cher et plus utile avec ce type de définition à la con qu'un radeau de survie... :D :D

     

    Pierre-Yves, Pour la PJ, j'ai une bonne adresse :D

  2. Merci Buldo,

     

    Donc si je te suit, l'appréciation du chef de bord ne serait remise en cause qu'en cas de pépin.

     

    Si je me fait contrôler par beau temps et condition météo favorable avec un armement cotier et que je peux indiqué quel abris est pour moi à moins de 6M, ce n'est pas contestable et verbalisable.

     

    Ou bien est-ce que je risque d'être verbalisé et ensuite à moi de me justifier devant le juge ?

     

    Il me paraît acquis que la discussion pourrait se terminer devant un juge.

     

    Sur ARMEN, un jour de pétole, on pourrait tout à fait estimer que les derniers cailloux de la chaussée peuvent être assimilés à des abris si on se réfère à la définition, on peut y mouiller et débarquer des passagers. Je crois que les AFF MAR ne partagent pas ma vision...

     

    Tout çà est très subjectif.

  3. La SCAPECHE n'est pas pire qu'un autre armement, tout au moins par ici.

     

    Ses bateaux pratiquent certainement avec une certaine éthique pour éviter d'écorner l'image du groupe.

     

    Ceci étant, qu'on ne vienne pas me parler de pêche responsable dès lors que l'on ratisse le fond avec un chalut.

     

    Le jour où ce dernier sera laissé à terre au profit de palangres, on pourra en reparler.

  4. Par vent de nord, la navigation peut aussi être compliquée entre la Pointe du Van et Tévennec.

     

    Il y a des passages au niveau de Gorle Greiz, ou entre le Chat et le Raz, qui permettent de franchir la zone difficile sans trop de souci.

     

    Douarn, tu rajoutes 8 milles à ton trajet, et avec un vent de N/NE tu vas te prendre plein le dos pendant plus d'une heure.

     

    Audierne reste la solution la plus simple.

  5. Je pence que pour l'année 2016 il vas pas falloir jouer avec la législation du thon car je pence qu'il va y avoir beaucoup plus de contrôle au large et je pence qu'il vaux mieux pas aller au large sans le pavillons belge ou hollandais ou le permis hauturier (un client d'un collègue a pris 3000€ d'amende pour ne pas avoir respecter les 6 milles d'un abris ^_^

     

    Mis à part qu'il est impossible d'obtenir une bague sous pavillon belge ou hollandais, ces 2 pays n'ayant pas de quotas pour le thon.

     

    Donc pour aller taquiner ce magnifique poisson, armement et permis hauturiers de rigueur.

  6. Pas tout à fait çà...

     

    Autant la pratique du no kill est relativement simple, dès lors que l'on respecte les périodes autorisées, autant l'obtention d'une bague pour la mise à bord d'un poisson répond à une procédure bien précise: demande de délivrance auprès d'une fédé pour un couple pêcheur/bateau ensuite tirage au sort pour l'attribution d'une bague.

     

    Période de pêche plus limitée en kill, pour cette année du 13 juillet au 30 août et du 12 au 25 septembre.

     

    Mais tout çà à voir dès lors que le décret sera publié.

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