-
Compteur de contenus
1902 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Calendrier
Tout ce qui a été posté par Chao-le
-
Tes verdicts sont comme tes tirs : rapides et précis ! Oui cette sortie de chasse, c'était du rafting en eau calme : l'Aventure n'est pas là; la seule Aventure qui existe, c'est l'Aventure féminine ! Allez, quelques photos pour ceux qui ont eu la patience de suivre : parmi ces 2 photos, devinez à qui j'ai ramené du poisson ?
-
L'aventure ?? Oui, l'aventure, c'est quand tout peut arriver, et c'est vrai que parfois, il arrive qu'on tombe sur une grosse pièce ... Et là, ce n'était qu'une petite pêche facile, dans une eau à 29°, calme, claire, sans courant et en descendant à 10m maxi.
-
La sortie suivante se passe le surlendemain; elle na pas un grand intérêt, si ce nest de donner un aperçu de ce à quoi on peut sattendre. On va koh Khiaow, où en général, leau est claire, cest pas très profond et le courant est faible ; les poissons sont en général petits, mais sait-on jamais Le problème, cest que cest loin, 25 miles au Sud-Est, pas très loin de koh Phi Phi. Dim 21 sept. Réveil vers 7h00, le bungalow inondé de lumière. Il y a un peu de vent; il souffle dOuest. Chaï me dépose à Rawaï à 10h00. Il ne vient pas, il doit rester bosser à son restau. Nous sommes 4 . Le bateau sarrête à koh Maïton, dans la baie orientée Nord. Pas de courant, visi 15m, profondeur 7-8m. Sable et petits blocs de coraux. A la 2° apnée, je vois 2 grosses seiches : jen tire une, elle laisse un nuage dencre. Elle doit avoisiner les 3 kg ; je ne cherche pas à prendre lautre, à peine moins grosse, et qui était restée près du nuage noir. Javais pour mission de ramener du poisson pour deux charmantes Thaï qui passent le WE à Ao Sane : cest fait ! Le RA 120, avec tête Roisub, tire droit. Et cette première prise ma décontracté un peu au niveau de lapnée. On rembarque : direction koh Khiaow. Le vent est arrière, les vagues sont petites, le bateau fonce avec la puissance du 200CV. A koh Khiaow, un bateau est ancré dans le creux de la côte, juste là où on aurait dû sancrer. Visi 18-20m. Pas de courant, mais pas de poisson. Après 2-3 apnées laborieuses, je vois quun petit barra est resté stationnaire dans son enclave entre deux rochers. Tourné vers le large, il ne fait pas attention à moi : japproche doucement, vise soigneusement la flèche frappe derrière la tête, de trois quarts arrière, et le foudroie : 1,5 kg (maxi !) à laccroche-poissons. Un autre de 1 kg (maxi) subit le même sort. Et je vois le CSM passer devant moi, avec des palmes C4 (ou Trigons ?), un moulinet de ceinture et un RA 120 à tube carbone et poignée blanche : le dernier modèle RA. Je reconnais Charly, le représentant RA en Thaïlande, avec qui je suis en contact par mail depuis 5-6 ans. Je lappelle : il est stupéfait je lui montre mon RA 120 avec tête Roisub, il tente un tir On change de coin, pour se poser du côté abrité, sur un fond de sable, à 6m, parsemé de petits blocs de coraux. On mange tranquillement nos barquettes de riz au poulet sur le bateau, puis on retourne pêcher sur ce fond sableux, où de loin en loin, des bandes de coraux rabougris fixent des petits poissons. Sur un fond de 10m, je suis soudain entouré dun banc de petites carangues rapides, suivies de petits Rainbow Runners. Jen prends deux et un Rainbow Runner ; on retourne à la face profonde : je prends une petite carangue « goutte dor » dans un groupe de 6-7. La vie revient, mais on rembarque. On se dirige vers lîlot aux parois verticales. Visi 15-18m, eau laiteuse, les vagues frappent les parois calcaires. Pas de poissons, seulement des petits Cest sinistre ! On finit par rembarquer pour rentrer. Navigation vent de face, avec du clapot : les embruns mouillent beaucoup, je nai pas très chaud, mais on arrive enfin à la protection de la côte, cest plus confortable et moins humide. Le soleil vient de se coucher quand on arrive à Rawaï.
-
Ach, natürlich que ça tient toujours ! Voici des photos d'Ao Sane vu de la mer : c'est marée haute, la mer est à 6m des bungalows Pijot. (20m à marée basse) .
-
Yess ! Tu aurais quelques références précises, des marques, des sites ? Je connais le magasin et le site DPSG , mais je préfère avoir quelques avis autorisés ...
-
Je pensais que tu allais froncer les sourcils ... En fait, j'avais ma dose, plus trop envie de retourner à l'eau; mais plus Chaï attendait de moi, plus j'avais envie qu'on m'oublie ... Et Chaï était désolé, il voulait absolument me faire prendre un beau poisson; je ne devais pas le décevoir. La rupture à la traction du fil, ce me semble un paramètre fondamental : l'info devrait figurer sur l'emballage, avec le diamètre. Il me semble que Rob Allen annonce pour son nylon 200/100° une résistance à la rupture de 300 lbs.
-
J'ai fait 5 sorties en tout, en 3 semaines : en fait, après 9 premiers jours de vent et de pluies, le temps s'est mis au beau. J'ai fait 4 autres sorties en 10 jours : j'aurais pu en faire 3-4 de plus, la météo le permettait, mais Chaï n'était pas disponible, il y avait 3 de ses employés absents, il devait bosser aux cuisines. Les CR viendront plus tard, même s'iI n'y a rien d'extraordinaire : c'est pour montrer ce à quoi on peut s'attendre en septembre. Le fil jaune, non, c'est pas du fil de tondeuse : c'est du 180/100°; je l'avais acheté il y a une dizaine d'années, mais je ne suis pas certain de la marque (Cressi ? Imersion ?). Ce fil, je lui trouvais un avantage : il est joli (mais joli ne veut pas dire costaud !), et devait avoir l'avantage de bien se voir si le poisson va à trou. Chaï m'a dit que c'était pas costaud, qu'il en avait eu et qu'il l'avait changé tout de suite : de la merde !... Et en effet, le fil a été coupé par la GT en moins d'une seconde; c'est un fil beaucoup trop tendre, qui se coupe très facilement (je l'ai remarqué quand je l'avais monté sur cette flèche RA neuve). J'avais une autre flèche montée pareil : j'ai tout de suite remplacé le fil par du 200/100° RA, qui est beaucoup moins mou. Le trou de la flèche ne semblait pas particulièrement coupant - Sur les RA, c'est ébarbé à l'origine - mais j'ai passé un coup de fil abrasif, par précaution, avant de remplacer le fil. Pour mes apnées, c'est vrai que je n'étais pas au point ... Chaï m'a d'ailleurs dit que j'étais beaucoup moins bon que les autres fois ... kc Je revois l'image de ces carangues ignobilis, de face, montant du fond : je me demandais ce que c'était, on aurait dit des crânes lisses, blafards, qui apparaissaient dans l'eau sombre ; elles étaient 40 ou 50; je les estime à 15 kg minimum; c'est à cet endroit que Chaï avec pris 4 GT, fin mai, et il y avait largement plus de 80kg pour 4 poissons.
-
Bonjour, Voici le CR de mon séjour à Phuket, Sept 2014. C'est la saison des pluies, et malheureusement, pas de belles photos de pêche ... 10 sept. L’avion s’est posé à Phuket sous la pluie. Tout est vert, de grandes flaques sur la route. La mer est verdâtre. Vent d’ouest et nuages de pluie. Il fait plutôt frais. Pendant 4 jours, le soleil apparaît parmi les nuages ; vent et vagues. Et puis, pendant 2 jours, il fait frais, le vent forcit et souffle en rafales, les vagues grondent sous les grosses gouttes de pluie. Lugubritude de journées crépusculaires ! Le grondement du vent me réveille à 3 heures du matin, et bombarde de brindilles le toit du bungalow; j’ai l’impression que le vent va arracher des serpents enroulés aux branches, tellement elles sont secouées … mais quand le jour se lève, le vent baisse, puis tombe complètement. Les vagues faiblissent. Encore 2 jours, et sortie pêche ! Mais il faudra aller loin pour chercher l’eau claire ; moi, j’aurais bien aimé une petite séance d’acclimatation avant ! Ma dernière pêche remonte à 5 mois, je suis loin d’être en forme, et pas du tout « au point ». 19 sept. Première pêche Réveil à 7h00 dans le bungalow inondé de lumière. C’est le soleil, enfin ! Chai embarque le matos dans le pick-up d’occasion qu’il a acheté pour trimbaler les fournitures du resort et les poubelles. J’ai rafistolé ma mono, dont une des sangles a cassé au ras du chausson : je prends aussi mes « bi », au cas où … Comme artillerie, j’amène "seulement" 3 flingues RA : le 130 en double sandow, le 140, et le 120 « roller » avec tête Roisub. Chai nous sert de pilote ; il fait deux semaines « vegetarian » : pas de pêches pendant 15 jours, pour acquérir des mérites et se racheter de tous ces malheureux poissons qu’il a tués ; pas de viande, ni d’œufs, ni de laitages, ni de graisses animales, ni d’alcool, ni de femmes … On embarque a Rawaï – c'est là que je perds un des deux plombs que m’a fournis Chaï ; mes gants, ont leur revêtement en caoutchouc qui poisse et colle, et les relents d’essence me mettent mal en point ; ça commence mal ! Première mise à l’eau à Racha Yai : j’ai a peine chargé le RA 120 à tête Roisub qu’un des sandows explose : je l’avais testé avec 5 tirs en piscine, mais un des sandows du dessous s’est déchaussé … Je prends mon 130 RA à la place. Mes « bi » manquent de nerf et de puissance. Je suis maladroit, engoncé, mal à l’aise. Eau laiteuse, visi 7-8m. Les premières apnées, descentes à 8m, laborieuses; j’ai les jambes lourdes en remontant : que je suis mal ! Après 5-6 apnées à peine, on rembarque déjà, pour un autre spot un peu plus loin : « Quickly » me lance Chaï (pour imiter Dietmar) – Que j’ai horreur de me presser en chasse ! – Je ne dis rien, mais que j’aimerais prendre le temps de me ré-acclimater, peinard, en 2-3 chasses calmes, à mon rythme ! On file à Racha Noï sous le soleil voilé. Odeurs d’essence encore ! De la houle et du clapot; et Chaï qui met les gaz comme une brute ! On s’arrête à la pointe Nord. Houle, clapot, visi 10-12m. Je ne vois rien, mais je descends à 10-12m sans problème de sinus … mais je n’ai fait que 3 apnées, qu’on rembarque déjà ! Chaï nous dépose devant de grands blocs, entourés de champagne, où monte la houle … Après quelques apnées anémiques, un barra passe me voir. Trop loin, mais je reste un peu pour l’attendre. Il y a un léger mieux … On rembarque, et Chai se dirige résolument vers une zone ou ça brasse encore plus ! Je lui dis que j’ai besoin d’un peu de temps, que je préférerais le coté abrité : le bateau repasse le cap Nord, et on longe la bordure Est où l’eau est beaucoup plus calme. On ralentit, quand un marlin saute a 40-50m du bateau (un 30-40 kg). J’ai chaussé la mono palme, je suis plus à l’aise qu’en « bi », avec la puissance supérieure. Pas de problème de sinus, je descends jusque vers 12-14m ; cette petite remise en condition était bienvenue, mais la remontée sur le bateau est une galère avec la mono, elle souffre et mes rafistolages se décollent ! L’eau était un peu fraîche, et je fais une pause pour manger peinard une barquette de riz au poulet ... Je n’en ai pas fini la moitié, que Chai lève l’ancre et fonce pleins gaz vers le Sud, double la pointe et rejoint la face exposée ! Le clapot, les gerbes d’eau, les secousses, m’empêchent de manger, et je dois attendre l’arrêt pour terminer ma barquette de riz trempée d’eau de mer. La houle forme de larges zones de champagne autour des gros blocs ; le clapot secoue le bateau dans tous les sens ! Sans combi sous le ciel gris, j’ai un peu froid; je ne me mets pas à l’eau, j’ai eu ma dose … Quand les autres rembarquent, Chaï se dirige vers le Grand Sec. Heureusement, il n’y a plus de clapot, seulement des vagues. Chaï jette l’ancre au sommet du sec, invisible pour moi dans l’eau anthracite ; vraiment pas envie d’y aller, j’ai froid, mais avant que j’aie pu parler, Chaï me dit qu’il va me filmer avec sa Gopro. A quoi bon l’en dissuader ? Ma mono, ses rafistolages ont souffert, alors, bien forcé de prendre mes « bi », qui ne « poussent » pas ! Chaï assure qu’il n’y a pas de courant. Je suis dubitatif. Je charge mon RA 130 dans le bateau et saute à l’eau. Pas de courant ? Je dois augmenter la fréquence du palmage pour grappiller quelques mètres ! Avec l’enrouleur en travers, ma bouée fait parachute ! Visi plus de 20m (30m dira Chaï) ! Le sommet du sec apparaît comme le sommet d'un nuage gris posé au loin, ... Quand, venant derrière moi, un banc de barras a queue noire apparaît : plus d’une centaine, à 6-7m sous la surface … Vu l’énergie dépensée pour gagner quelques mètres, je les ignore, mais Chai s’agite de manière convulsive, me les montre et les filme avec sa Gopro ! Je cherche à me ventiler, mais ne parviens pas à surmonter mon handicap respiratoire ; pas vraiment le temps d’atteindre la sérénité, tant pis, je descends à 6-7m pour un agachon de pleine eau. Le banc, qui s’était éloigné, revient : j’en choisis un des plus gros (5-6 kg), mais je n’ai pas les capacités pour attendre et ajuster le tir ; mal tiré, il file … je ne lâche pas la poignée, il se décroche en laissant des filaments de chair sur l’ardillon. Je dois forcer mon palmage pour regagner le terrain perdu et rejoindre l’amont du sec … Des petits TDC apparaissent en surface (2-3 kg). Je descends a 3-4m, en tire un et le rate : je recharge et dois à nouveau peiner pour remonter le courant. Pas d’étale : en amont du sec, le courant est moins fort, je peux me maintenir en forçant moins – mais je n’arrive pas à résorber le « Déficit respiratoire ». Je reste stationnaire au moins 30 minutes à la verticale de la bordure amont – Rien – Et soudain, venant du fond, des formes lisses apparaissent – Comme des crânes livides, chauves et lisses : je reconnais une troupe d’une quarantaine de carangues Ignobilis vient du fond crépusculaire et remonte la pente, droit sur moi, comme des bisons, lourds comme des enclumes de forgeron ? ! Je descends, l’une d’elles se positionne idéalement plein travers, je tire : traversée aux pectorales ( ?), elle fonce ; je la retiens, et le fil neuf de 180/100 casse ! Je vois la flèche tomber sur la bordure de la pente : je ne la quitte pas des yeux, pendant que le banc s’attarde autour de moi … Je descends 3 fois : la première fois, je vois la flèche en remontant ; la seconde, je l’approche a 3m ; la troisième, Chaï arrive en luttant contre le courant et se rapproche de moi : je descends en ondulations vigoureuses jusqu’à ma flèche posée sur des alcyonnaires, la saisis enfin, et remonte avec ma RA 7mm toute neuve ! Chaï dit qu’il y a 20m a cet endroit (mesuré avec sa montre de plongée). Le fil avait cassé au trou de la flèche : fil de merde ? Flèche mal ébarbée ? On rentre. Chai fonce comme une brute, mais je suis relativement protégé des embruns. Le soleil se couche sous les nuages. On débarque à Rawaï vers 19h30, dans la nuit. Rien pris, mais cette première sortie a montré les faiblesses du matos : j’ai du bricolage à faire ! Mais je suis descendu à 20m sans problème de sinus pour récupérer ma flèche, et c’est la première fois que j’ai pu le faire depuis 4 ans !
-
Les Compagnies Aerienne
Chao-le a répondu à un(e) sujet de VCTERIC dans Chasse Outre-Mer et ailleurs
Au cours des 8 dernières années, j'ai fait 18 trajets Paris-Phuket : c'est la première fois qu'on demande de présenter la carte de crédit utilisée pour acheter le billet ! Environ la moitié des billets, je les ai achetés dans une agence de voyages (donc à priori, le paiement est sécurisé), et pour les autres, achetés sur internet, j'en ai payé au moins 3-4 par "Payweb card". Il semble qu'il y ait un nouveau logiciel - du moins pour la Thaï - qui vérifie le numéro de la carte de crédit : il doit être identique à celui utilisé pour payer le billet. Le problème se pose non seulement pour les "Payweb card", mais aussi pour les cartes de crédit qui ont été renouvelées entre le paiement et le voyage : il faut pouvoir présenter l'ancienne carte, sous peine d'être refoulé ! Je n'ai pas de chiffres pour la largeur des sièges, mais c'est ce que j'ai ressenti; j'ai dû faire 4 vols Paris-Phuket avec la Thaï ces 7-8 dernières années : 1 dans le B747, 2 en B777, et celui-là en A380; il me semble avoir été moins confortablement installé cette fois-ci, sans pouvoir confirmer mon impression par des chiffres précis ... qui existent naturellement, mais comment y avoir accès ? Je ne sais pas s'ils sont dans le domaine public; mais les services d'Airbus, et les sous-traitants qui font de l'amènagement cabine, les services qui étudient la concurrence les ont certainement ... Quant à l'aménagement des cabines, les cotes des sièges peuvent varier d'une compagnie à l'autre, puisque c'est le client qui choisit. Je note l'info sur le confort des A380 d'Emirates ; leur handicap, c'est que les escales sont souvent très longues à Dubaï, et les hôtels hors de prix ... Mais on m'a dit que sur certains vols d'Emirates, avec escale de 9 heures, une chambre d'hôtel était fournie, et c'était compris dans le prix du billet : est-ce que tu en aurais entendu parler ? Un point fort d'Emirates, c'est la franchise de bagages de 30 kg (Idem pour Malaysia) ... Mais au siège de la Thaï, à la Défense, on m'a dit que Thaï Airways envisageait aussi de passer à 30 kg de franchise. -
Les Compagnies Aerienne
Chao-le a répondu à un(e) sujet de VCTERIC dans Chasse Outre-Mer et ailleurs
Bonjour, CR de Voyage Paris-Phuket avec la Thaï Airways : J’avais acheté mon billet en Mai ; il y avait un prix à 675 € pour l’aller-retour. Et par la Thaï, ce trajet est 2 à 3 heures plus court que sur les autres compagnies. Le Samedi 6 septembre, je me présente au comptoir de la Thaï, à l’ouverture de l’enregistrement, et me fais refouler ! Avec mon passeport, on me demande de fournir le numéro de « Payweb card » qui a servi à l’achat ! (c’est un numéro donné par la banque, différent de celui de la carte de crédit : ça permet de faire des achats sécurisés par internet, en évitant de donner son numéro de carte bancaire) Et je n’ai pas ce numéro de « Payweb card » ! « Si vous n’avez pas ce numéro, vous n’embarquez pas ; débrouillez-vous pour le fournir » me dit le responsable de l’enregistrement. C'est vrai que c'était écrit sur le plan de vol que j'avais imprimé - à la fin - mais j'avais pas fait gaffe ... Je n’ai pas mon téléphone, pas de micro-ordinateur, et mon agence bancaire est fermée le WE ! Après 3 heures au téléphone (via un téléphone public à l’aéroport), je ne peux pas fournir le fameux numéro de « Payweb card ». L’enregistrement se termine. Plus personne, rien ne sert de faire un scandale. Moi qui rêvais du moment où j’allais, enfin, m’assoir dans l’A380 de la Thaï, près du hublot, à me laisser emporter et regarder les nuages ... ! Je reviens chez moi en taxi, avec tout mon barda ; j’ai payé mon billet depuis 3 mois , j'ai l’impression d’être méprisé ; je songe à annuler mon voyage … Mais avant, il me faut aller au siège de la Thaï, à la Défense. Le lundi, l’esplanade de la Défense est magnifique dans la lumière du matin. Au 5° étage de la tour, à l’ouverture des bureaux de la Thaï Airways, on me confirme qu’il faut le numéro Payweb. Je me rends à mon agence bancaire, à 3 stations de métro plus loin ; il est 9h45, ma responsable clientèle n’est pas là, mais je prends RDV à 14h30 : quand elle me reçoit, elle me garde 45 minutes ; on appelle la Thaï, elle leur dit qu’un Payweb, c’est fait pour un usage unique, c’est la première fois qu’on leur demande le numéro, et que de toutes façons elle ne peut pas le fournir. Mais elle garantit que le paiement a bien été effectué il y a 3 mois : elle met un coup de tampon sur mon relevé bancaire, et je retourne vite au siège de la Thaï, avant qu’ils ferment ! Là, je dois acheter un nouveau billet, ils me rembourseront l’ancien, çe qui évite de payer 150€ pour le changement de date de départ. Ce second billet, que j’ai payé au même tarif, m’a été remboursé au bout de 15 jours. Le lendemain, mardi, je me présente de nouveau au comptoir de la Thaï à Roissy CDG. Cette fois-ci, c’est la bonne ! Mon sac de cabine pèse 8,3 kg (pour 7 kg autorisés). Mon étui d’arbalète et mon gros sac font 27,6 kg en tout, alors que j’ai droit à 20 kg. « Ça dépasse un peu au niveau poids » me dit l’hôtesse « … Mais ça passe pour cette fois ». Soulagement ! L’excédent de bagages est à 45€ le kilo ! Je dépose l’étui d’arbalètes sur le chariot de bagages « hors format » : « Vos bagages vous attendront à Phuket ». Bien entendu, cet incident du numéro "PAYWEB CARD" n'entache en rien la qualité de la compagnie Thaï Airways : mais prenez vos précautions à l'avenir , et ce , pour toutes les compagnies aériennes ! Je suis enfin installé dans l'avion, et je m'envole pour 11h00 de vol dans l’A380 de la Thaï ... 3 jours plus tard que prévu. Vol sans histoires. Le confort de la classe « Economy » du vol Paris-Bangkok me semble un peu en retrait par rapport au B777 et au B747 qui le précédait à la Thaï : il me semble que la largeur des sièges est un peu moins grande sur l’A380 ; en revanche, le couloir de circulation me semble un peu plus large ... C’est sans doute la même définition que dans l’A380 de la Malaysia. 1h50 d’escale à Bangkok. Beaucoup de monde dans la salle d’embarquement : après une heure de vol, le B777-300 se pose sous la pluie à Phuket. Je sors de l’avion à 9h15 , et mon matos, l’étui d’arbalète et mon gros sac arrivent parmi les premiers sur le tapis à bagages ; à 9h28, je monte dans le taxi qui m’amène à Ao Sane – et j’ai eu le temps de changer de l’argent ! Vol de retour sans histoires, j’ai 3 sièges pour moi à côté de mon hublot. Et comme toujours à Paris, j’attends une bonne heure pour récupérer mes bagages. -
La Chasse Sous-marine En Polynésie
Chao-le a répondu à un(e) sujet de vaiarii dans Chasse Outre-Mer et ailleurs
Splendide .... On peut dire que G ne lui a pas fait perdre son temps ! -
Ma seule expérience mesurable, c'était il y a longtemps, mais c'est un élément de réponse... J'avais pris un petit TDC de 13 kg, qui a sonde et coule ma bouee : c'était une Sporasub simple enveloppe d'environ 20litres. Au moment ou elle a commencé a etre completement sous l'eau (15m de filin rigide tendu + mon enrouleur de fil maison en styrodur stratifie, rigide, 2,5 litres, qui fait office de pre-bouee amortisseur), j'ai retenu ma bouee et tire de l'autre cote (faut pas deconner non plus ....) Ma bouee, je n'ai pas eu grand mal a la retenir, le thon a cede, et je l'ai remonte doucement, apres son rush initial, il etait cuit ... Donc, un TDC est capable de faire couler le double de son poids. Je l'avais tire de 3/4 arriere, pour menager la fleche de 6,5mm de mon MV5 130 (c'etait du petit calibre, et ca n'a pas trop altéré sa puissance de nage).
-
Et je crois que c'est la bonne methode ! La progresssivite, c'est a mon avis le plus important : que chaque entrainement apporte sa pierre ... Ma theorie, c'est qu'il faut que l'entrainement reste un plaisir, et que le cerveau "fixe" les experiences agreables et positives. Alors, une agonie a chaque seance, a mon avis, est nefaste.
-
Tu es un guerrier ! En effet, Natalia Molchanova fait des series hypercapnques de ce genre en debut de saison, en periode de reprise .... et en effet, les MNS n'y trouvent rien a redire, parce que c'est en surface, et c'est pas du statique. Ses series, c'est du style 800 crawl respiration tous les 5 temps - pour commencer .... Puis elle augmente la distance, pour terminer au bout de 3-4 semaines par 2500m respi tous le 7 temps. Mais la, je suis en vacances (d'ou le clavier anglais, sans accents), mais a mon retour, en octobre, je te retrouverai ce que j'avais noted ... C'est en tous cas tres intense, et je pense que ca paye rapidement.
-
Un Chti En Mer De Cortez
Chao-le a répondu à un(e) sujet de APRION dans Chasse Outre-Mer et ailleurs
-
La Chasse Sous-marine En Polynésie
Chao-le a répondu à un(e) sujet de vaiarii dans Chasse Outre-Mer et ailleurs
-
Balinese Mu: Ya D'la Joie!
Chao-le a répondu à un(e) sujet de sky eyes dans Chasse Outre-Mer et ailleurs
-
Balinese Mu: Ya D'la Joie!
Chao-le a répondu à un(e) sujet de sky eyes dans Chasse Outre-Mer et ailleurs
-
La Chasse Sous-marine En Polynésie
Chao-le a répondu à un(e) sujet de vaiarii dans Chasse Outre-Mer et ailleurs
-
-
Balinese Mu: Ya D'la Joie!
Chao-le a répondu à un(e) sujet de sky eyes dans Chasse Outre-Mer et ailleurs
-
Balinese Mu: Ya D'la Joie!
Chao-le a répondu à un(e) sujet de sky eyes dans Chasse Outre-Mer et ailleurs
-
La Chasse Sous-marine En Polynésie
Chao-le a répondu à un(e) sujet de vaiarii dans Chasse Outre-Mer et ailleurs