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dom14

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Messages posté(e)s par dom14

  1. Il y a 18 heures, jay62 a dit :

    comment tu gères le quotas de bar par exemple avec un tremail ???

     

    Il y a 15 heures, Ch'ti max a dit :

    Ben t'es bête ou quoi ?( 😉) Tu prends les 2 plus beaux et tu rejettes les autres, même si ils nagent le ventre en l'air. Ce sont des "prises accessoires" ou hors quota. C'est pas sa faute si les poissons sont cons au point de se laisser prendre au delà du quota ou en deçà de la taille règlementaire.

     "Je m'énerve pas Madeleine, j'explique aux gens..."

    ben non tune prends pas les deux plus beaux, es ist strengstens verboten, jeder Zuwiderhandelnde wird erschossen

    tu les laisses tous sur la plage à le disposition des crabes et autres goélands. si ils sont encore en vie retour à la flotte

    encore un exemple des règlementations stupides

  2. j'ai une autorisation (GRATUITE) délivrée par la ddtm pour poser un trémail . 2 fois par an je remplis un questionnaire mentionnant le nombre de fois ou je cale le filet les espèces, le nombre et le poids des prises. franchement il n'y a rien de contraignant à déclarer ses prises.

    je trouve que c'est un faux débat.

    la déclaration permet de suivre l évolution de la population des poissons. les données collectées sont analysées par l’Ifremer.

    personnellement au cours des années ça m'a permis de constater une augmentation de certaines espèces et une diminution d'autres.

     

  3. je n'ai pas utilisé de moule.

    certaines parties ont été stratifiées directement sur le bateau pour avoir un encastrement au plus près sur les boudins.

    pas de problème avec les contredépouilles, il suffit de dégonfler le flotteur pour dégager la résine durcie.

    pour les parties planes j'ai stratifié la résine sur une vielle porte bien plane recouverte de scotch pour emballer les cartons. (la résine n'hadere pas au scotch pas besoin de cire out d'agent démoulant).

    j’ai fais des plaques fines (environ 2 mm que j'ai découpées à la dimension voulue.

    pour l'arrondi de la console un fond d'armoire en carton sanglé pour le cintrer.

    une fois toutes les plaques à ma disposition, assemblage provisoire avec des petits bouts de tasseau vissés( voir photo).

    stratification avec des petites bandes de résine entre les tasseaux.

    une fois la résine sèche, suppression des tasseaux.

    une starification intérieure et extérieure et tu as un  banc , une console ou autre élément sans bois dont le poids est dérisoire.

    enduit, peinture et c'est fini

     

  4. pour les suzuki la commande est réversible néanmoins in faudra prévoir une entretoise pour que la poignée ne soit pas gênée (parce que la poignée , elle, n'est pas réversible).

    de la position gauche comme sur la vidéo, j'ai passé la poignée à droite pour la fixer sur la console.

    n'ayant pas besoin du faisceau électrique, je l'ai viré.

    je n'ai conservé que la coupure moteur.IMG_20211230_124637.thumb.jpg.7bf5a781a017c1c50fd2144b0a623090.jpg

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    IMG_20211230_124700.jpg

  5. ''perso j'ai un 30 cv sur un commando [3m80]. avant j'avais un 9.9, je peux vous dire que ça change tout.

    je peux emmener plus de monde et de matos, c'est plus sécurisant, ça a considérablement augmenté mon rayon d'action et les distances que je peux parcourir.

    moralité  : passe ton permis et trouve un bateau léger avec un vrai moteur.

  6. La loi a été votée le 20 juin 2016. Juste avant l'été. Les bateaux naviguant sous pavillon étranger, mais ayant à bord des ressortissants français devront se conforter aux lois nationales.

    Fini le pavillon belge pour naviguer sans permis, finis le pavillon hollandais pour naviguer avec un matériel de sécurité réduit…

    Depuis quelques années, nous avions vu fleurir ces pavillons dans nos ports. Les ressortissants de l'Europe pouvaient immatriculer leur bateau où bon leur semblait et de dépendre alors des réglementations de leur pavillon.

    Ainsi le pavillon belge permettait de piloter n'importe quel bateau à moteur sans permis. De même, la réglementation hollandaise sur le matériel de sécurité à posséder à bord en fonction des zones de navigation (distance d'un abri) était beaucoup plus souple qu'en France.

    Il était tentant pour un Français de franchir la frontière, non pas pour une question financière, mais simplement pour se simplifier la vie. Des intermédiaires proposaient même contre quelques deniers de s'occuper de toute la partie administrative.

    Mais tout change depuis le 20 juin 2016.

    La loi est rédigée ainsi (sources legifrance) :

    LOI n° 2016-816 du 20 juin 2016 pour l'économie bleue

    "Afin d'encourager le secteur de la plaisance,

    Art. L. 5241-1-1.- Quel que soit leur pavillon, les navires de plaisance et les véhicules nautiques à moteur appartenant à des personnes physiques ou morales ayant leur résidence principale ou leur siège social en France ainsi que les navires de plaisance et les véhicules nautiques à moteur dont ces personnes ont la jouissance sont soumis, dans les eaux territoriales françaises, à l'ensemble des règles relatives aux titres de conduite des navires et au matériel d'armement et de sécurité applicables à bord des navires de plaisance et des véhicules nautiques à moteur battant pavillon français."

    Cet article de loi indique clairement que les avantages du pavillon étranger ne s'appliquent plus aux résidents français naviguant dans les eaux territoriales françaises.

    C'est un peu rude d'annoncer ce changement juste avant l'été. Que faire quand on est dans cette situation ? On peut garder le pavillon étranger et simplement se mettre en règle en passant le bon permis et en embarquant le matériel de sécurité correspondant. Le retour sous pavillon français est aussi possible…

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