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RonanE

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Messages posté(e)s par RonanE

  1. :fffff:

     

    avec ce barbuc c'est quand même dur de rater une cuisson

     

     

     

    la différence après se fait aussi selon le type de charbon utilisé ...

    certains chauffent bcp mais se consument très vite .. (aucune allusion)

    d'autres sont plus dans la durée avec une chaleur plus homogène ..

     

     

    La cuisson étant vraiment plus rapide que sur un barbecue plus classique, il n'est pas rare, effectivement, de se faire avoir sur le temps de cuisson. Au début du moins. Et ce n'est pas que mon avis.

     

    C'est vrai que la qualité du charbon joue. J'utilise pour ma part du charbon "qualité restauration". De gros morceaux (cela évite que le charbon traverse la grille du dessous), mais qui se consument rapidement.

  2. J'ai testé en vacances ce type de barbecue, j'avais été séduit sur de la viande : cuisson homogène et facilement maitrisable.

    Tu t'y prends comment pour le poisson ? Fin de braise et couvercle fermé ? Tu mets un peu d'aromates dans le feu (brindilles de vignes, lauriers, thym...) ?

    Je pense que c'est un bon investissement :)

    Il faut que les braises soient cendrées (blanches), on met le poisson et on ferme le couvercle. Cuisson effectivement homogène, mais très rapide. Pas de flamme.

    Au départ, je cramais tout. Maintenant c'est mieux, je ne fais plus l'erreur de mettre à griller les viandes lorsque les braises sont bien rouges (trop chaud).

     

    Pour mon poisson, j'aime y glisser de la citronnelle fraîche du jardin, ça parfume beaucoup. Parfois je prépare un mélange d'épice et d'huile d'olive, et je badigeonne l'intérieur du ventre et la peau.

     

    Le poisson au barbecue, c'est un régale.

  3. Oui, c'est très bien résumé. Pour ma part, je souhaite mettre toutes les chances de mon côté pour être protégé. Et comme il ne s'agit que de courts séjours, je prends le risque de les gâcher en prenant les médicaments cités. Car mes vacances ne valent pas ma santé. Je ne peux me résoudre à l'éventualité que, par peur de perdre le bénéfice d'un séjour de 2 semaines, je prenne le risque d'attraper le palu que je garderai probablement à vie, avec des crises régulières tout au long de mon existence (pour les formes que l'on garde en soi bien au chaud...)

    Et pour mes enfants, le problème est encore pire! N'ayant pas leur libre arbitre, je ne peux concevoir le fait que je ne fasse pas le maximum pour leur éviter d'avoir le palu.

     

    Effectivement, le palu tue beaucoup, essentiellement par le manque d'accès au soin.

     

    Pour la tolérance aux traitements profilaxiques, je peux témoigner pour ceux que je connais, notamment sur un échantillon restreint de 9 personnes, aux durées de séjours différentes au Burkina Faso, essentiellement à Ouagadougou, un peu dans le sud (Bobo diolasso, plus tropical), de février à fin avril (donc pas la saison des pluies) :

     

    Malarone : homme 25 ans (mon dieu que le temps passe vite!!!), 17 jours, parfaitement supporté le traitement.

     

    Doxycycline :

    - 1 homme et 1 femme, 50 ans, 15 jours, ont parfaitement supporté le traitement

    - 1 homme, 25 ans, 17 jours, a parfaitement supporté le traitement

    - 1 homme et 4 femmes (le veinard!!!), 2,5 mois, ont supporté globalement le traitement, avec légère réaction cutanée (photosensibilité) pour une personne, et une fille qui avait régulièrement le bide qui l'embêtait. Ils ont tous pu travailler, voyager, et abuser du dolo, de la brakina, et de la flag (c'est d'ailleurs probablement leurs abus qui leur ont fait du mal...)

     

    Maintenant, presque tous ont eu, à un moment donné, des troubles digestifs ponctuels. Mais c'était plus une question de tourista, voire de régime alimentaire pas forcement habituel, qu'une question de tolérance aux traitements. Le truc qui nous plombait un peu le bide, c'était les pastilles de chlore dans les bouteilles d'eau du robinet. En plus, il faisait tellement chaud, qu'on buvait entre 3 et 5 litres par jour, sans jamais pisser... Et pour avoir une eau buvable, on congelait les bouteilles, et donc on buvait de l'eau très fraiche (dans l'eau fraiche, on sentait moins le goût de chlore). Mais rien de méchant, juste une sensation de lourdeur. Moi, j'ai fait caca tout dur pendant mon séjour....

     

    PS : je dis pastille de chlore, car c'était des pastilles achetées en pharmacie, et je crois que c'était une micro dose de chlore.

  4. Le temps doit paraître bien long sous l'eau quand on reste sans bouger tout ce temps! Moi, je n'y arrive pas (je n'ai pas d'assez bonnes apnées non plus), si je ne vois rien arriver, au bout d'une minute sans broncher, il faut que je remonte.

     

    Chapeau bas, les vidéos sont courtes, les bons moments sélectionnés, et il n'y a pas 2 minutes d'annonces publicitaires avant de voir la première apnée... C'est assez plaisant je dois dire!

  5.  

    Le fait d'être médecin ne fait pas de la personne quelqu'un d'irréprochable.

    Tu le connais, tu as confiance ... ok, mais son métier n'a rien à voir.

    Au risque de passer pour un enculeur de mouche, il est précisé que le monsieur est docteur. Pas médecin. Peut être s'agit-il d'un docteur en mécanique quantique, ou en littérature antique...

  6. Je vais cuire comme un Homard costarmoricain!!! J'ai l'habitude d'être bleui par l'eau fraiche de la Manche, je vais rougir dans l'eau chaude Corse!!!!

     

    Je vais devoir annuler si l'eau est si chaude....

     

    Edit : Breizhdenice, où as tu trouvé cette info?

  7. Pantalon de 3 et veste de 5 (sachant que c'est une tracina de cressi, pas supère isolante) ça devrait le faire non? Surtout que je chasserai essentiellement le matin, très tôt, pour pouvoir profiter de femme et enfant le reste de la journée.

  8. La doxycycline a aussi ses effets secondaires... Moi, j'ai pris de la malarone, environ, et de mémoire, 150 euros pour 2 semaines. Et je l'ai très bien supporté. Mes collègues tournaient à la doxy et s'en sont bien tirés, le principal Pb étant la photosensibilité. Mais on était en Afrique de l'ouest, en saison sèche, alors on ne trainait pas trop au soleil...

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