Akwajojo

Non le petit c'est un jeune capitaine blanc, Gymnocranus grandoculis. Ca peut devenir assez gros (5 ou 6 kg).

Aujourd'hui la chasse prévue dans le bleu s'est finalement faire sur le fond en raison de l'eau sale sur le large. Premières descentes sur 15 /16m et un beau capucin bleu est pris. On dérive lentement.Nous sommes trois mais un des chasseurs n'arrivent pas descendre, mal aux sinus. Il prendra un petit caesio (précieuse) bleu et jaune en pleine eau et s'arrêtera là. Il nous fera par contre la sécu en bateau ce qui était bien agréable avec le vent qui poussait. Quelques descentes suivante je tire un grand queue "maillé" qui doit faire un peu moins de 2 kg. Et on contiue ainsi sur la même zone sur des fonds entre 15 et 9m à peu près. Lors d'un agachon suivant un belle forme vient droit vers moi, je crois d'abord à un TDC mais reconnait finalement un bel aprion, un gros comme on en voit pas souvent. Il vient sans hésiter et me permet de la tirer assez facilement. Il fait un beau démarrage mai se calme vite. Mon binôme le double pour assurer mon tir très moyen. Il est encore tôt, on pourrait s'arrêter là ce serait déjà pas mal. Mais on continue encore un peu. Plus tard, je prendrais encore un rizdal qui était posé juste à coté de moi sans que je le vois pendant un moment. Mon binôme un petit capitaine à son tour et me signale un beau capucin sur le fond. Je vais voir ne trouve pas mais rencontre deux grand queue dont le plus gros semble un peu curieux. Il est loin mais s'approche et j'en fait de même. Lorsqu'il tourne pour partir sur le coté je tire sans être sur de la portée et finalement il est bien sur la flêche. Celui là est beaucoup plus beau que le premier. Je terminerai avec un belle rougette. On tente par la suite le bleu mais l'eau est très sale, on insiste pas et on rentre. reste à faire de la place dans le frigo maisntenant.

Il ressemble au Caesio cuning mais présente des taches noire à la queue donc pas sur dy-u tout de l'espèce mais Caesio oui. Les Caesio on en voit pas mal en eau chaude. Ils sont souvent en banc et font une belle mange. Il y a pas mal d'espèces, des tout bleu, des bleu et jaune ou encore bleu blanc rouge comme celui-ci.

Ca ressemble beaucoup à un Caesio ton poisson.

La canalisation est un bon coin aussi mais où le courant est souvent fort. J'y ai fait de bonnes chasses des fois et là tu peux chasser jusqu'à 35 ou même un plus je crois. Moi je reste à 26/27 sur cette zone. Au Souffleur tu peux aussi chasser profond. Il y a un tombant bien marqué et après des pierres qui arrivent -30 au moins il me semble et c'est au Sud de la pointe au Sel.

On était au sud de la pointe au Sel. Après on ne peut pas parler véritablement de pierres puisqu'elles n'étaient pas isolées sur le sable mais à la limite corail/sable. Pas de relief non plus sur le dessus, plûtot un surplomb au niveau de la limite sable et corail. Après mon binôme connait bien le coin et il é déjà fait l emême coin sans croiser grand chose comme ça arrive souvent.

Oui on a tout récupéré sauf une flèche qui est resté sous la dalle. On pourra la récupérer un jour de bonnes conditions, météo et physique.

Coup de fil à 8h du matin: "-Tu peux chasser aujourd'hui? -Ben pas trop j'ai une otite et un doigt opéré une semaine plus tôt - Mais on rentre töt, midi au plus tard, - Bon Ok alors…." On se retrouve 1h30 plus tard sur le haut des falaises de St Leu, mon otite est légère et mon oreille n'est pas bouchée alors j'espère ne pas être ennuyé. On accède à l'eau par une descente abrupte dans une éboulis de basalte. Mon binôme est adepte de la chasse à la largable et pour moi ce sera une première. Il connait des pierres qui peuvent être bien de temps en temps. Sur la route il prendra rapidement un joli capucin puis un grand queue de 2kg à peu près. Pendant ce temps moi je loupe un perroquet et décroche un capucin. On arrive sur la première pierre qu'il cherchait et sors le lest de 3,5kg qui nous servira à descendre. Le haut de la pierre doit être à 28 ou 29m surplombant un fond de sable 2 ou 3m plus bas. Il y a pas mal de trous très large pouvant abriter un gros poisson. Lui prend une petite carangue bleue et moi rien. Je ne vois que de gros cardinaux alors que lui croise deux TDC, "trop gros" me dit-il pour tirer sur la remonté. On part chercher l'autre pierre. On fait quelques descente entre temps sans rien prendre. L'autre pierre est trouvée, le haut est à 26m et le sable à 34. Il y a là aussi de grosses cavité sous la pierre. Le coin est magnifique avec pas mal de poissons. Alors que le loupe successivement une belle rougette et un grand queue, mon binôme enchaine avec un gaterin et un monstrueux capucin bleu de 2 kg ou même un peu plus. Il aperçoit aussi un carangue grosse tête, la deuxième de la sortie, juste au dessus de la pierre. Moi j'effleure encore un très beau capucin, ce qui me décide à poser le fusil un moment. Nous chassons entre 30 et 33m. A peine plus tard il remonte le fil tendu vers le bas mais il ne semble pas s'affoler. Il me dit qu'il a tiré la gosse carangue mais ne pas l'avoir transpercé. Il pense l'avoir perdu. Je fais une descente pour aller doubler si besoin. le fil de son moulinet est tendu vers un petit bloc de corail puis par à l'horizontal sur 7 ou 8m, remonte sur la pierre et plonge de nouveau sous la pierre d'où le nylon dépasse mais rien ne bouge. Je suis trop juste pour aller voir dessous. La flèche est enraguée sur 34m… et pour ne rien arranger un fort courant se lève, d'un coup. Il devient très dur de rester sur place même en palmant. On tente quand même quelques descentes, cette fois sans la larguable car on a du attacher la bouée sur le fusil. A chaque fois on tombe trop loin, trop en aval de notre point. On ne voit pas le fond depuis la surface donc ça complique pas mal les choses. Je pense que la carangue est toujours sur la flèche peut-être morte ou bien touchée. Mon idée est de retrouver le trou, la doubler si elle y est et de couper l'autre fil. Le courant est vraiment fort et chaque descente est interrompue à mi profondeur, voyant qu'on est pas où il faut. Et puis sur un descente enfin je vois une grosse masse claire posée sur le fond, la carangue est bien là, sortie du trou, morte sur le dos et sans flèche. Le problème est qu'elle est devant moi, posée sur le fond qui est bien loin. Je me dit que c'est trop loin, trop pas raisonnable. J'y vais tout de même car je sais qu'il n'y aura peut-être pas d'occasion. Arrivé à porté de tir je repique la carangue, c'est gagné! … c'était sans compter une embrouille dans mon fil qui se prend dans la tête du fusil,je ne sais pas, pas le temps de vérifier ou de démêler quoi que ce soit. Pas le réflexe non plus de mettre mon moulinet de ceinture. Je lâche et remonte en me concentrant sur la remonté. Je n'ai pas l'habitude de chasser à ces profondeurs là et je sais que mon binôme ne me vois certainement pas. Arrivé en surface sans encombre le bilan est quand même pas terrible. Mon fusil au fond avec une grosse carangue morte au bout, toujours autant de courant et pas visi depuis la surface. On tente encore quelques descentes, on ne tombe jamais au bon endroit. On s'entraide, on fait le "petit train" pour que celui qui va descendre prépare sa descente. On se passe le moulinet de ceinture à la main, le but étant juste de retrouver le fusil et d'y accrocher le moulinet. On fait des descentes à mi profondeur juste pour repérer fusil et carangue, en vain pdt un bon moment. Et puis, presque par miracle, Damien, le binôme de choc aperçoit le fusil. Avec le courant il est quasiment collé au fond. Ca va être compliqué mais il assure bien encore une fois. Il refait surface le moulinet à la main et le fil à la vertical. On remonte ainsi le fusil et la carange bien accrochée par la tête. Une jolie bête de 25 kg à peu près. Il nous reste à tout remettre en ordre et rentrer. Finalement en tirant sur son fil de moulinet il se cassera au niveau du nylon au talon de la fléche. Le courant est toujours fort et le retour se fera en crawl en tirant la planche. Une demi he plus tard nous voilà enfin au bord. Et après avoir vidé toute la pêche il nous reste à remonter jusqu'à la route, encore une épreuve! Finalement on arrive aux voitures à… 16h! M….! bcp trop tard, les enfants sont sortis de l'école, etc…. Pas le temps de passer à la maison faire une photo comme on voulait. La pêche est vraiment magnifique, que des espèces différentes avec, en plus du grand queue, un capucin bleue d'une taille très rare et une carangue de 25kg. Au final il y a aussi une carangue bleue, un aprion, un capucin barbarin, un gatrerin (dauphin gris). Je lui ai demandé de faire une photo chez lui, si j'en reçois j'essaierai d'en mettre une ou deux. Malgré toutes ces péripéties, l'expérience de la ceinture largable était vraiment pas mal. A retenter dans de bonnes conditions et si possible avec autant de poissons.

Elle a des points jaune en effet, après les noms vernaculaires sont tellement différents d'un lieu à l'autre. La plus grosse que j'ai prise faisait 4 kg pour cette espèce mais souvent elles sont plus petites. Pas mauvaise du tout mais c'est vrai que la bleue est meilleure même si ça peut se discuter. La noire est aussi excellente, une des meilleures pour moi mais un peu trop rare à La Réunion pour en manger souvent.

Carangoides orthogrammus…avec 2m c'est mieux.

Salut Milkman et les autres, ta carangue est une Carangoides orthogramus. Les Macolor niger, on en voit à La Réunion exceptionnellement, j'en ai vu un une fois à la Pointe au Sel et un copain en a pris un sur les falaise vers le Souffleur en 2016. Les carpes rouge (L. argentimaculatus), on en voit régulièrement sur des sites précis, j'en connais sur St-Leu et sur le Port mais jamais pu en prendre ici encore. Ma dernière rencontre remonte à la semaine dernière, 2 gros individus distant. Vu et filmé de très près aussi sur St-Gilles.

Salut, si ton amie ne prend pas son vol il y a de fortes chances qu'on ne vous le rembourse pas, certif médical ou pas. Ma femme enceinte de 6 mois a un jour "loupé" un avion alors que ses bagages étaient déja enregistré. Elle était juste au toilette avant le vol. On lui a débarqués ses bagages illico sur un vol Bordeaux Paris précédent un vol pour La Réunion. Visiblement être enceinte de 6 mois et avoir une contraction n'est pas une raison valable pour avoir 4mn de retard. On a donc trouvé un médecin qui a fait un certificat pour otite. L'assurance de la compagnie, Air France en l'occurence, a demandé ensuite le justificatif d'une pharmacie prouvant que les médicaments avaient rétirés! alors qu'un doc peut fourni aussi des médicaments sans ordonnances. Au final Plus de 700€ perdus avec pourtant un justificatif médical. Merci Air France. En plus je pense qu'une otite en avion n'est pas très douloureux.

Un marlin ou un voilier ("espadon" voilier)? Ce matin c'était assez calme pour rentrer, pour sortir il y avait un peu d'écume mais rien de bien méchant. Eau très claire et sans courant (ni poisson…)

Je vois que tu es rentré Sylvère et tu commence bien. Moi j'ai remis la tête sous l'eau aujourd'hui après plus de 4mois au sec mais bonne sensation tout de suite même si pas de poisson. J'ai quand même loupé un très beau grand queue sur le grand tombant de la pointe au Sel, mon sandow mou y est pour un peu aussi. Et pour les poissons de la photo à gauche il y a un prodigalson (Rainbow runner) et une petite sériole.

Salut, je vois que les réponse ne se bousculent pas. As tu pu faire des sorties en mer depuis ton arrivée? Depuis un moment aussi la mer n'était pas trop bonne non plus. Pour ma part ça fait plus de 4 mois que je ne suis pas mis à l'eau mais je n'étais pas dans l'île depuis avril, je suis rentré depuis un petit mois. C'est aussi le moment de profiter des baleines, il y en a partout en ce moment et souvent très près du bord.

Ps : bassin pirogue c'est ou ? C'est le lagon de l'Etang-Salé. Très belle satisfaction de voir revenir à la vie cette petite fille qui pourra fêter son premier anniversaire à la fin du mois. Etre au bon endroit au bon moment...

974 parlait de La Réunion. C'est la meilleure façon pour ici. Cette même technique ne marchera pas ailleurs où les requins sont nombreux. J'ai testé ça en Calédonie et dans le Canal du Mozambique. Une seule tentative m'a convaincu d'arrêter tout de suite. A La Réunion en plus de 20 ans de chasse je n'ai eu qu'une seule fois mon poisson bouffé et encore je n'ai pas vu l'auteur. Donc oui pour ici c'est une technique très "safe" et ça maintient le poisson à l'humidité à défaut de frais.

Pour le fait d'incriminer ou non la réserve même si elle n'existait pas où les attaques auraient- elles lieu? Et bien sur les spots de surf et les lieux de baignades et 90% des spots (chiffres estimés) se trouvent sur l'ouest dans le périmètres de la Réserve et encore un peu plus pour les spots de baignades. Le reste de l'île est très peu fréquenté par les surfeurs…. pour risque requins. Il faut aussi préciser qu'une bonne partie de la réserve est ouverte à la chasse sous-marine. L'ouest est aussi l'endroit qui a vu la plus forte augmentation de l'urbanisation et donc la diminution de ses surfaces absorbante. C'est aussi la cote qui a vu son milieux modifié en profondeur et notamment par un apport massif d'eau douce du à un basculement important d'eau de la côte est vers la cote ouest pour l'agriculture et les besoins humains. L'impact négatif sur les coraux était même prédit... https://fr.wikipedia.org/wiki/Basculement_des_eaux Quand au fait divers à Ste-Rose, quand on voit la photo de la prise on voit qu'il ne s'agit pas d'un requin tigre, qu'il ne fait pas 73kg et encore moins 2m alors parler d'attaque me semble très hasardeux. Le chasseur explique croiser des requins 7 fois sur 10, là encore ces propos peuvent mis en doute. Pour ma part je dois en voir moins d'une fois pas an. http://www.freedom.fr/actualites/infos-reunion/exclusif-decouvrez-le-temoignage-audio-de-mickael-attaque-par-un-requin-ce-matin-a-ste-rose-il-a-risposte/

Pour le coup du coureur à pied c'est bien vrai. l'histoire est que c'est un joggeur qui courait le long des falaise sur un petit sentier littoral et a fait une chute. il était alors blessé sur les rochers au ras de l'eau et un requin est arrivé avant l'arrivé des secours. A Etang Salé, c'est aussi véridique, l'attaque à eu lieu sous les yeux de témoins. La victime était en surface et attendait des secours également.

Une belle clarté de temps en temps sur tes images. A 1'50 j'ai cru reconnaitre l'îlot Porc-épic vers Plum. Le premier endroit où j'ai chassé en NC. C'est ça?

Je vais en parler à mes coéquipiers de chasse, on pourra peut-être se cotiser et mettre chacun un peu moins de 2€. Pour la gratte pas de souci. Pour l'instant je n'ai jamais eu le moindre symptôme à La Réunion, aussi bien avec ce barracuda qu'avec de grosses GT.

Celui que tu montres est une autre espèce (bécune) qui me semble à peine plus fine à taille égale. Celà dit c'est un sacré bestiau. Le mien est estimé à 30kg parceque ça fait bien mais je pense qu'il faisait moins. Il a été coupé en 3 morceaux et le total des 2 doit faire à peu près 22kg aux quelle s'ajoute les tripes ça doit faire autour de 25kg. Mais 30 kg ca se retient mieux… Pour la taille, 1,70 m environ (je mesure 1,80 m).

On prend presque les même et on recommence. Cette fois qui accompagne Sylvere et David. Il y a longtemps que nous n'avons pas chassé ensemble. Direction le large à la recherche des oiseaux et des épaves. Après plusieurs d'heure d'errance sur une mer parfaitement plate et claire nous voilà récompensé par la présence d'une épave faite d'un tuyau de gros diamètre proprement lové, probablement tombé d'un navire. Nous espérons tous du gros, au moins des thons bananes, pour quoi pas des coryphènes ou même un marlin…. Beaucoup de mange sous cette épave mais pas de gros en vue. 2 wahoos se montrent, dont un gros de 20kg qui vient tourner tranquillement devant Sylvère…qui s'est mis à l'eau sans fusil pour débuter. Après leur passage sans retour c'est un gros barracuda que nous voyons mais beaucoup plus profond, peut-être à 16 ou 17m. Un de nous descend vers lui et le barra descend aussi. On stoppe à 24m quand il doit se tenir à 30. Plusieurs tentatives, il vient de loin mais garde ses distances en arrivant. On tente tous notre chance au moins 3 fois. Entre temps deux petites coryphènes se font piquer par Sylvere et David. Le barracuda semble impossible à approcher. Ultie tentative après une bonne préparation en surface tout en regardant le barracuda qui remonte un peu, il doit se tenir à 20m. Je descend en tenant mon leurre qui jusqu'à présent n'a eu guère d'effet sur lui. Il m'a vu et descend aussi sans s'agiter, je fini par lacher mon leurre et coule plus vite que le barra ne fuit, j'approche tout en sentant le m défiler. J'arrive à portée de l'arrière du corps mais à cette profondeur je ne peux pas me permettre un tir juste pour accrocher. Je dois avoir atteint les 30m. Le barra file toujours doucement et d'un seul coup vire sur sa gauche pour me regarder. Quand il va repartir je lâche le tir après avoir hésité un peu. La flèche l'atteint derrière l'ouie, je vois qu'elle ne traverse pas. Tout de suite le poisson saigne et semble accuser le coup. J'ai même cru à un KO mais non. il s'éloigne sans démarrer vraiment. Je remonte en espérant avoir assez de fil, c'est long, long. Dans les derniers m je suis content de voir Sylvere me prendre le fusil et m'aider à finir ma remontée. Très heureux aussi de reprendre de l'air. II reste encore du fil au moulinet! ca fil toujours doucement ce qui me laisse le temps de demander à David de mettre son bunjee à ma crosse. Sage précaution car le barracuda tire toujours et coule mon fusil d'une dizaine de m, ca dure quelques mn et puis plus rien, le fil est mou! Certain de l'avoir perdu et bonne surprise lorsque je ressens son poids. Il est en train de remonter à la verticale quasi mort, on le voit maintenant distinctement. Sylvere le double tranquillement. Le barra est énorme. C'est un de mes plus gros poissons, en tout cas mon plus gros barracuda. Et comme je le disais à Sylvere et David le matin même, c'est un poisson que je prends très rarement et je n'en ai jamais pris de plus de 15kg.