Grandpère

Le prix d'une combinaison sur mesure !!!!! Il y a intérêt ce que ce soit bon mais je ne doute pas qu'un bœuf gros sel doit être plus comestible que du néoprène grillé. Ceci dit, il faut se faire plaisir. J'ose espérer que tu as prévu le vin qui accompagnera cela. Sinon, j'ai quelques idées. ;)

A y est !!! Ca marche depuis aujourd'hui :) :) :) Un grand merci à ceux qui ont contribué à la restauration du site.

Oui, mais te connaissant ce sera fait avec le sourire.

Comme d'habitude ! :thumbs_up: Désolé pour la "visi" du 44 lors de ton passage à la maison. J'espère que lors (*) du prochain les conditions me permettront de te faire prendre un bain de boue. :lol: Je constate que tu as renoncé à mon idée du balsa pour ton 60 cm. :D (*) Non, non ne cherchez pas, il n'y a pas de jeu de mot.

Ben, mon Thierry, tu ne chasses plus maintenant ! Tu préfères jouer au "petits chevaux". Ce sont les dentis qui vont être contents. :lol:

Beau CR. Récit prenant d'une très belle chasse malheureusement clôturée par une énorme frustration. Cette dernière étant à l'évidence, le résultat d'aléas indépendants des qualités physiques et techniques du chasseur (Si je pouvais avoir les mêmes !!! )

Le repas : oui. Le poisson cru, non. Je t'apprendrai à le faire :D Et la carte vermeille ? :lol:

Pour répondre à tous ;) Ce midi, en guise de "mises en bouche" : Vieille crue en dés cuite au citron vert, égouttée puis macérée 1/2 heure dans mélange dès de poivron rouge, larme de vinaigrette balsamique/ miel et sanglot de lait de coco.................. Cela a très bien accompagné le jus d'orange/rhum/soho. :hyp: Ben moi, je vais continuer à "flinguer" de la vieille. Mes invités m'y ont fortement encouragé. :D

J'avais bien pensé à te proposer de m'accompagner mais compte tenu de l'éloignement du site, le retour ne pouvait se faire qu'en début de soirée, ce que les "Juniors" n'auraient pas autorisé. Quant aux vieilles, elles ont été bien aimables d'être coopératives. Sans elles, c'étaient un vrai désert la dessous. Par ailleurs, j'espère que nous en ferons une ou deux avant la trêve hivernale.

Merci mais il n'y a pas quoi. Je suis content d'avoir des infos. La moindre des choses et de faire de même.

Pas le temps d'un C R circonstancié. En conséquence, ce sera laconique. (pour une fois :MRD2: ) Lieu : Secteur Piriac / Le Castelli. Heures : Mise à l'eau 11h55 sortie 17h00. Visi : La Corse ou La mer Rouge :thumbs_up: :thumbs_up: :) :) (au choix)....................sur les 30 premiers mètres. Ensuite, ben le 44, hein ! :'( 1.50m/02m vraiment trouble et jaunâtre devant le masque. Pas de houle, courant faible portant sur La Turballe, tant à la montante qu'à la descendante. Température de l'eau de 14 à 16°C. Fonds de 2 à 10 mètres Résultat : Une belle collection d'étrilles. 06 tourteaux et 02 araignées. 03 Vieilles dont une très belle. Vu 02 gros mulets et rien d'autres.

Je t'ai laissé un message sur ton portable. Les loups ont intérêt à se planquer, je suis certain que la condition va vite revenir.

Je préfère le "jaja" mais comme c'est pour une bonne cause........fait A la tienne François et tous mes vœux de réussite. ;)

J'en ai épinglé un cet été. Mangeable sans être un met de boyard. Je ne lui avais pas trouvé un goût si fort que cela. Equivalent à celui d'un mulet.

Ben, je n'ai pas été raisonnable. J'y suis allé quand même. En ce début d'après midi j'ai donc pris la route de Noirmoutier sous un ciel un peu terne. Pour autant, je n'avais encore rien vu en matière de ciel plombé. Quelle ambiance sur le Nord de l'île. Il y avait comme une vague atmosphère de fin du monde. Le ciel était d'un gris triste uniforme où la seule touche couleur était celle apportée par quelques goélands qui ouvraient les guillemets de leurs ailes. Petites touches de blanc acrylique sur un gris de plomb. Sur place, il me fallut me persuader que de cette ambiance glauque et crépusculaire ne présageait d'aucun évènement funeste. Je dus me motiver car le Rocher du Cobe ressemblait davantage au "Port de l'angoisse" qu'à un simple cailloux.Quant à Pépère il ne s'identifiait en aucune manière à H. Bogard. Il y avait tout de même trois points positifs : Pas de vent, pas de houle, pas de vague. Durant cette session qui dura tout de même de 14h15 à 17h30, je regrettais l'absence de lampadaire sous la surface. En effet, sous les 02 à 05 mètres d'eau où je naviguais, la faible lueur sépulcrale ne permettait pas de chasser à trou. Quant à l'indienne, on ne discernait le poisson qu'en le télescopant. Ce fut donc à une succession d'agachons en plein courant que je me livrais avec application. Mon horizon devant les yeux se limitait à guère plus d' 01.50 m devant le masque. Cette persévérance ne fut récompensée que par une vieille du kilo, un petit mulet et 02 lieux portion. Un bar à peine maillé fut entrevu. Quant au reste, les cuisses ont bien travaillé et j'ai peaufiné mon endurance dans les veines de courant qui se faisaient bien sentir durant ce qui sera sans doute l'une des dernières sorties de la saison, voire la dernière si les conditions climatiques hivernales s'installent.

On attend ton CR et celui de Francis. ;) Pas vilain quand même le "barounet".

Ah quand même ! (Pssitt,.......... attention aux queues.) ;) Petite !!!!!! :o Nous n'avons pas les mêmes valeurs :D Et demain........? Il y a petit vieux qui voudrait faire une dernière trempette sans doute côté baie et peut-être le rocher du Cobe Tiens, tu es là. ""Comé va ! """ ;) :)

Petite sortie ce matin sur Noirmoutier côté baie en partant à la palme du bord. ( Non, non rassurez vous, je ne vais pas vous faire un roman en 5 tomes.) Horaires : 10h45/ 13h15 durant le montant Visibilité réduite de 1.5 m à 2.00 m devant le masque. Eaux vraiment chargée en sable. Une légère houle de fond mais tout à fait gérable Pas de vie . Ce fut le désert absolu. Durant tout mon périple effectué dans 2 à 5 m d'eau je n'ai vu que 02 mulets et une vieille que je n'ai pas tirés. (Je préférais garder ma flèche afin qu'elle puisse louper un gros bar :P ) J'ai croisé la route d'un canot qui remontait ses lignes dormantes. Il n'avait pas davantage de prises que moi. J'en conclue que la zone était vide aujourd'hui. Profitez bien du week-end, la semaine prochaine s'annonce sous les plus mauvais auspices.

Visiblement le courant n'a causé aucune gêne. Bravo !

C'est fait Francis. ;) Je lui ai demandé d'attendre jusqu'à lundi ou mardi. :P

Fait dès le retour à terre : """......La journée fut conclue chez Mickaël par une petite bière rafraichissante et une rasade de bourbon....

Le bar serait entièrement de ton avis mais la grosse vieille ne serait pas d'accord du tout mais alors pas du tout. :D Merci Eric de ta compassion. :D Effectivement, ce fut encore une superbe journée en compagnie de Mickaël qui sort régulièrement le vieux de la maison de retraite.

Il y a deux semaines, je n’ai pas eu le temps de relater ma sortie avec Romain et Maxime et celles réalisées avec Anthony, Jérôme et Mickael. Ce furent des moments de convivialité, de plaisir à revoir MICH44 et RIFFLE SHOOT85 et à rencontrer MAX44, ROXY et Jérôme. Je ne saurai oublier les quelques poissons qui eurent la gentillesse de stopper nos tahitiennes. Mais vous le savez puisque « Mich », « Max » et « Roxy » vous ont relaté cela en temps opportuns. Aux fins de ne pas réitérer cette omission consécutive à un emploi du temps chargé, je me propose de vous faire partager la sortie d’hier, réalisée sous l’égide du « cap’tain R.SHOOT. » En effet, Mickaël m’a fort obligeamment invité à son bord pour une virée subaquatique dans les eaux du 85. Les conditions de mer furent bonnes, ni vent, ni houle. En revanche, le soleil nous fit défaut et la luminosité sous-marine en pâtit de manière préjudiciable. Sur le premier spot, les crêtes affleurant des moulières et l’écume alentours nous semblèrent pleines de promesses « royales ». Ce fut dans une eau jaune chargée de sable que nous nous mîmes à l’eau. Lors de cette session la visibilité varia de 01,5 m à 02,50 m selon la nature du fond. La plus restreinte sur les platiers rocheux cernés de sable, la plus large sur les têtes de roches dures. Chacun partit de son côté respectant les distances de sécurité qui s’imposent toujours en pareil cas. Après avoir constaté le manque de vie au petit largue des roches, je m’approchai de celles-ci. C’est là que je battis tous les records de durée, homologués ou non, en matière d’agachons et ce tant sur notre forum qu’à travers le monde. Que dites-vous ? Le vieux nous mène en bateau ! Que nenni ! Mais vous avez raison. Il y a un truc, efficace, que nombre d’entre vous connait. Confortablement allongé derrière le ressaut du platier, tuba émergeant de l’eau, je scrutai la pente déclive de la moulière qui s’enfonçait en pente douce vers les fonds. Je restai ainsi plusieurs minutes sans bouger dans l’espoir qu’un gros « labrax » ou qu’une belle royale vienne là, dans l’écume, se repaître qui de juvéniles qui de moules. Las, ma patience ne fut récompensée que par deux bars sortis de l’adolescence et ne justifiant en aucune manière d’un lâcher de tir. Force fut de constater l’absence de vie à tous les étages. En conséquence, Mickaël sonna le retour à bord. Nous primes alors la direction du second poste et ancrâmes dans un champ de roches couvertes de laminaires et frangées de vallées sablonneuses. La visibilité y était correcte mais chargée en sable. Elle s’établissait de 02.00 m à 02.50 m dans une ambiance jaune, crépusculaire où les formes et contours s’estompaient rapidement. Le courant y était…….comment dire ? Disons…..viril. Je commençais par de courts agachons que je concluais par de courtes indiennes. Je ne vis que de petites vieilles avoisinant le kilo et les imposantes caudales de grosses mémères se glissant subrepticement entre les laminaires couchées par le flux de marée. J’en étais là quand je descendis le flanc abrupt et nu d’un écueil rébarbatif pour glisser sur un cailloutis pierreux et sableux large de deux mètres environ. Cette calanque miniature séparait le récif d’une seconde roche couverte de végétation. Après quelques secondes de nage à contre-courant, je sortis de cette vallée et débouchai sur un plateau d’algues que je discernai dans le clair-obscur ambiant. Un tâche noire apparut alors dans à la limite ma vision qui s’apparente davantage à celle d’une taupe que de celle d’un aigle. La tache se transforma soudainement en une silhouette allongée, ronde, pansue, ventrue et argentée. Un bar splendide m’offrait son flanc magnifique à 1.50 m de la pointe de ma tahitienne. In-ra-ta-ble. Et que croyez-vous qu’elle fît cette flèche ? Cette idiote manqua l’immanquable. Je la vis passer à 05 cm du dos monstrueux dont le propriétaire, en un éclair fulgurant, fusa dans la pénombre salvatrice et mit ses 04 kg pour le moins à l'abri. Je crois que c’est le plus pitoyable tir jamais réalisé par Pépère. Tato, (si tu me lis) j’ai bien pensé à toi et ta vidéo : « Rater l'immanquable et faire des tirs de l'impossible ». C’est donc de très mauvaise humeur que je continuai mes errements subaquatiques. Pensez donc, je suis certain que si j’avais ramené un tel trophée à la maison, Grand-mère aurait retrouvé ses 20 ans ……….. :hyp: Chemin faisant, trois labres ont la malchance de croiser ma route. Oui, je sais, c’est mesquin mais que voulez-vous, on passe sa colère comme on peut. Le plus frustrant ou amusant, à vous de décider dans cette histoire, c’est que l’un de ces poissons fut tiré par l’arrière, dans un angle de tir on ne peut plus fermé, à deux mètres de distance tandis qu’il filait se réfugier sous la frondaison aquatique. Un tir quasi impossible. (Plus de 03 kilos le bestiau quand même). De nouveau à bord, je relatai ma maladresse à Mickaël qui, pour me permettre de corriger mon erreur, me proposa d'effectuer quelques dérives dans le courant qui était devenu plus que vigoureux. Ainsi fut fait. Je me dois de préciser que mon compagnon avait, quant à lui, accroché une magnifique dorade grise d’un format quasi hors normes qui aurait fait la fierté de tout un chacun. Durant une bonne heure nous enchaînâmes les coulées sur un fond où les laminaires se plaquaient sur la roche, où les débris d’algues filaient bon train, où les deux chasseurs, le vieux et le jeune, s’accrochaient comme ils le pouvaient à tout point d’encrage passant à portée de main. Bonne fille, notre embarcation nous accompagnait, ralentie par son parachute d’ancre dérivante. Ce fut agrippé à un gros caillou salvateur que j’enlaçais comme un amoureux transi que j’ « inoxai » un fort joli mulet. Mickaël en avait passé commande et je fus ravi de lui rendre ce petit service. Je me dois de préciser que Mickaël m'avait prêté son "Josh-gun" en 90. Ca tire fort, juste et loin. Dommage que je ne l'avais pas en main lors de ma décevante mésaventure avec "Magnum bar". Peut-être que...... Las, les agachons et indiennes se succédèrent sans résultat probant quand bien même Mickaël vit quelques royales et bars mais de trop petit format pour justifier d’un tir. C’est donc en fin d’après- midi que nous remontâmes à bord et regagnâmes la terre ferme. La journée fut conclue chez Mickaël par une petite bière rafraichissante et une rasade de bourbon réconfortante. Ceci dit, ce fut encore une bonne journée d’amitié à l’issue de laquelle mon capitaine du jour, afin de me consoler, me garantit que le bar ne s’en tirerait pas à si bon compte et que nous retournerions sur les lieux pour lui faire un sort.

Comme d'hab : de la vieille. :lol: