@marc o: certes, l'eau n'est pas indéniablement perdue, mais la question est de savoir quelle utilisation il serait préférable de faire, à partir d'une quantité donnée d'eau disponible. l'important n'est donc pas de savoir quelle quantité réelle d'eau a effectivement été utilisée par la plante / animal, mais bien de savoir combien on en a déboursé pour obtenir ce résultat (la méthode d'arrosage est bien évidement très importante). Parole d'hydraulicien ?
Pour ce qui est de la forêt amazonienne, qu'on nous rabâche souvent "poumon de la terre", c'est un contre sens en effet. l’intérêt d'une telle forêt, est à la fois réservoir de biodiversité, piège à CO2 (valable surtout pour les forêts primaires, les "jeunes" forêts ont une capacité de piégeage du carbone très limitée), et piège à eau (dans le système vasculaire des plantes, les racines, et la matière en décomposition).