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joe

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Messages posté(e)s par joe

  1. Il me semble reconnaître la carène. Il y a un indice également ?

    Ces bateaux sont parfois confondus avec les Tornados. 

    Sauf erreur de ma part, il n'y a pas d'importateur en France.

    Je pense que la construction est sérieuse. Mais pour avoir donné par le passé, un suivi de la fabrication s'impose. Les Anglais font les meilleures carènes mais leur construction laisse souvent à désirer.    

  2. Il y a 6 heures, chtimulet a dit :

    après chez chaques fabricants ils ont différentes qualités donc un yama machin de base reste finalement un truc de base même si le fabricant japonais est capable de fournir du très haut de gamme donc pour moi, parler de marque revient à finalement pas dire grand chose.

    Exact, Yamamoto est un fabricant de néo. C'est devenu une référence mais il peut fabriquer, à la demande, le meilleur comme le pire.

    Pour revenir à cette histoire d'écrasement, mon fils (revendeur Yazbeck) avait vendu une 7.5 à un chasseur qui l'utilisait également régulièrement en bouteille jusque 45 mètres. L'isothermie était toujours très bonne. Récemment un autre chasseur portant une Yazbeck 6 se plaignait du froid au-delà de 12 mètres alors que son collègue en 5.5 (même marque) avait quasi trop chaud.

    Tout çà pour dire que la qualité de néoprène peut être variable au sein d'une même marque.

    D'une manière générale, il est vrai que Yamomoto offre des qualités de souplesse au détriment d'un écrasement plus important en profondeur.         

  3. Même constat. J'ai chassé le plat pendant de nombreuses années. Actuellement je ne pratique pratiquement plus car ces zones autrefois très riches sont devenues un simple désert de sable.

    Le plat permettait d'assurer souvent une chasse. Ca ne me dérangeait pas de "bouffer" du sable car on était quasi certains de dénicher quelques grosses soles, carrelets et autres turbots.

    Ce que je peux dire. Le printemps (avril et mai) et l'automne (septembre, octobre et novembre) étaient effectivement les meilleures périodes. Après une un peu de mauvais temps, dès que la houle tombait, le vent s'orientait nord-ouest et l'eau s'éclaircissait c'était idéal, comme d'ailleurs beaucoup d'autres espèces.

    La sole avait une préférence pour les zones de sable fin contrairement au gros carrelet qui se cantonnait souvent sur des fonds de granulats ou de coquillages brisés. Dans les 2 cas, la plupart du temps en bordure de roches, orientées est-ouest, ce qui n'était pas le cas du turbot ou de la raie que l'on pouvait trouver sur de vastes étendues de sable loin des cailloux.

    Il n'y avait pas trop règles concernant la profondeur, mis à part le turbot dont le poids était proportionnel à la hauteur d'eau. On pouvait trouver de la sole dans 2 mètres (début et fin de journée) comme dans 20 mètres +.  

    Mais ça c'était mon expérience en baie de Douarnenez. En Bretagne nord, la donne est peut-être différente.            

  4. Le 09/09/2019 à 13:03, Grandpère a dit :

    Petit retour de mon court séjour dans les eaux finistériennes les 5 et 6 septembre en compagnie d'un chasseur débutant de ..................60 ans.

    Hé oui, c'était  l'EHPAD en vacances. En effet, il y avait 124 ans dans le S.R et 244 ans dans le mobil-home au camping de "Kerleven" à LA FORET FOUESNANT. Il est important de souligner l'âge avancé des chasseurs et de leurs deux  accompagnatrices et épouses légitimes.................(Inutile de vous creuser la tête afin d'innover sur les sous-entendus à propos de  la chasse aux vieilles. En effet, nous les avons tous faits durant le séjour sans d'ailleurs réussir à choquer ces Dames)

     

    Où en étais-je ? Ah Oui, l'âge et ses conséquences !  Nous arrivons au camping et mon camarade s'enquiert de la réservation qu'il avait réalisée 48h00 auparavant.  Rien ! Il n'existe rien à son nom ! Les réceptionnistes sont étonnées, un tantinet gênées,  le front jupitérien de mon camarade blanchit puis s'empourpre. Je sens que nous sommes au bord de l'incident diplomatique et que Patrick est au bord de la crise de nerf, que dis-je, de l'apoplexie quand il se rend compte........qu'il s'est trompé de camping.  Ce n'est pas beau de vieillir, n'est-ce pas ? On se confond en excuses et nous rejoignons la bonne adresse.....enfin.

     

    Le lendemain, jeudi après-midi, nous partons pour une petite chasse de 03h00 du côté de l'île aux moutons. Ca, des moutons avec le vent de NNO il y en avait tout un troupeau. En conséquence, ne connaissant pas du tout le coin, nous nous mettons un peu à l'abri derrière l'île principale afin d'éviter de nous faire un peu trop secouer (Je sais, je le suis déjà assez comme cela). La visibilité est de l'ordre de 06 mètres environ et les fonds de -4 à -12 mètres.  Il n'y a que très peu de vie. J'arriverai, très difficilement, à nous procurer le dîner du soir et le déjeuner du lendemain en épinglant une vieille et un mulet de 01.5kg la pièce. Mon camarade glanera une araignée qui se révèlera bien pleine et goûteuse.  

     

    Vendredi matin, les conditions de mer ne sont guère meilleures. En conséquence, nos "cadeaux de noces" ont renoncé à nous accompagner au Glénan. C'est donc en célibataires que nous faisons route  à la corne Nord-Est de l'archipel.  Nous mouillons l'ancre au hasard près d'un récif.  L'eau est transparente, cela me  change du 44 où une visibilité de 03/04 mètres est considérée comme paradisiaque.  Là, je compte les cailloux 13 mètres plus bas.

    Mon camarade et moi nous nous écartons l'un de l'autre. Tandis qu'il vadrouille sur un plateau rocheux peu profond, je prospecte le long des tombants entre -08 et -13 m.  Premier constat : J'ai froid en bas. L'eau est fraîche et ma combinaison, à bout de souffle,  n'est plus isotherme (Le Père Noël 2019 m'en apportera une autre !) Deuxième constat : Pas de vie !!!

     

    Je décide alors de changer de tactique et me rapproche des récifs. J'y vois de la vieille de belle taille.  Je fais donc demi-tour et vais récupérer mon apprenti chasseur de  Patrick. Je vous rappelle qu'il n'a jamais pratiqué ou si peu. Il est ravi de se trouver dans un aquarium géant où folâtrent des labres imposants. Je lui montre comment s'approcher discrètement et se positionner à l'agachon. L'élève est attentif puisqu'il ramènera deux belles prises. De mon côté, je fais de même. Pour autant, je suis un peu déçu. En effet, de la vieille, de la vieille, encore de la vieille, toujours de la vieille et pas un seul blanc.

     

    Il est 13h30 quand nous remontons à bord du SR à l'issue de cette chasse de 03h00. Un chasseur local  (Hervé, si tu me lis......) ancien blanchi sous le harnais nous accoste à bord de son W.Shark bleu. Lors de cette discussion amicale, il nous informe que le spot où nous avons pataugé est pourtant bon habituellement. Il se dit surpris que nous n'ayons vu aucun bar ou sar. Pour autant, il nous indique qu'il vient de prospecter deux ou trois de ses sites préférés et qu'il n'y a vu que de la vieille......lui aussi. Explications : ????? 

     

    Les estomacs grondant  nous prenons la direction de l'archipel où nous mouillons près de l'île St Nicolas. Nous nous y  livrons à une orgie de casse-croûtes rillettes et saucisson. Je suis puni, ne devant boire que de l'eau (me suis consolé le soir.....)

    Lestés, nous partons vers le Sud-Est de l'archipel et, toujours au hasard, nous jetons l'ancre près d'un  gros récif. Le vent a forci, toute la ligne de mouillage est à l'eau, le bateau tape du nez dans la houle quand le courant amène le cul du S.R vers une patate à fleur d'eau que nous n'avions pas remarquée.  Nous décidons de changer d'adresse.

    Las ! Impossible de remonter l'ancre tant avec la ligne de mouillage qu'avec le rappel frappé à une bouée. C'est "Pépère" qui s'y est collé durant  40 mn avant de réussir à débloquer la récalcitrante. Je précise que le S.R était en sécurité puisque Patrick avait largué le mouillage et se tenait à l'écart du danger.

     

    C'est après un petit temps de récupération et depuis un nouveau poste d'ancrage que je me remets à l'eau. Mon camarade a jugé plus prudent de rester dans le bateau. Il trouve qu'il tape un peu trop du nez en raison de la houle. 

     

    Dans un premier temps, je reste à l'abri du récif. Les fonds varient de -6 à -14 mètres. L'eau est claire mais je ne vois rien  hormis les sempiternels labridés. J'en tape quand même un gros qui à eu l'outrecuidance de passer sous ma pissette  (Allez-y, lâchez vous sur les leurres à vieilles !)

    En conséquence, je décide de contourner la roche et de chasser sur le versant exposé au vent et à la houle.  Au pied du récif, sur un à-plat de gros  sable, je prends un petit rouget. 

    Quelques agachons plus tard, j'aligne un  sar puis une daurade grise. Je ne suis pas trop mécontent mais j'ai aperçu, là-bas, dans un dédale de roches, la silhouette d'un joli sar. Durant une bonne demi-heure nous jouons à "cache-cache". Je finis par le surprendre au détour d'un caillou au pied du récif par -11 mètres de fond. Il est de belle taille. Démuni de peson, j'estime son poids entre  1.5 et 02 kg. Il fera d'ailleurs  l'excellent  repas du lendemain midi avec la grise. 

    Enfin satisfait, je regagne le bord. Patrick se met à l'eau pour une trentaine de minutes. Il me rejoindra tout heureux du paysage sous-marin qu'il a vu et des vieilles qu'il n'a pas eu le cœur de tirer, estimant à juste titre, que nous en avions assez. 

    C'était notre première au "Glénan". Je souhaite qu'il y en ait d'autres. Le jardin est superbe et je pense qu'avec un peu de connaissance des lieux de belles pêches doivent y être possibles.

    En petit mot de remerciement à "Joe" pour ses conseils......dont nous n'avons pas tenu compte. (Cf : Un p'tit coin pour Pépère).  En effet, nous avons préféré nous "casser le dos" au retour plutôt que de rester à la côte. J'espère qu'il ne nous en voudra pas mais avoir l'archipel pour la première fois à proximité et ne pas y aller à cause d'un vilain vent de NNO.......

    Et un grand merci à "Coryphaena" pour toutes les informations données en M.P.

            

     

     

      

    T'inquiète, c'était juste histoire de se conseiller entre "anciens".  

  5. Il y a 13 heures, DUF87 a dit :

    Perso je vais souvent au Portugal pour les vacances (toujours moins d’un mois). À chaque fois fallait que je passe par le multibanco et Numéro contribute de mon beau frère pour avoir une autorisation régionale d’un mois... c’était assez chiant et surtout au numéro de mon beau frère... jusqu’à il y a 3 ans ou j’étais Tombé sur un article dans apnéa qui expliquait que tu n’avais besoin de rien dès l’instant où tu étais en vacances pour moins d’un mois...(ils avaient fait un reportage sur la chasse au Portugal donc ils avaient précisé la réglementation). j’avais Même scanné l’article pour un pote... je sais je réponds très tardivement mais je vois tout le monde dire et écrire la même chose... donc si ça peut servir.... par contre il faut le drapeau bleue et blanc ici...

    Cà c'était avant... Jusque 2013, il me semble, moins d'un mois de séjour ne nécessitait pas de permis.

    Maintenant obligatoire quelle que soit la durée. Mais ce permis est plus simple à obtenir. Tu vas à la capitainerie ou au club naval local, ils te le donneront ou te diront où aller. 

  6. Il y a 13 heures, chtimulet a dit :

    Comme chaque années, depuis maintenant 10 ans, je serai au camping du grand large à la pointe de Mousterlin à essayer de choper des dorades royales entre le 10 et le 24 aout 2019 et suis toujours ravi de découvrir la bretagne et des sorties avec des locaux ou même des touristes comme moi. Donc si vous voyez une planche rose dans l'eau, n'hésitez pas à venir me saluer et pourquoi me proposer de boire un coup en refaisant le monde, la composition de l'équipe de france, la réglementation de la csm, etc etc ... 

    Je suis à 30 kms. Si tu veux une royale contre un lieu... 

  7. Le 11/06/2019 à 23:50, VCTERIC a dit :

     Oui mais dans la houle ,je ne suis pas sure que ton truc se voit beaucoup mieux que des grosses bouées orange de 35 l .....

    Ben franchement sur internet a part le comet ,je n ai rien trouvé d etanche en fumigéne  ......Donne moi un lien ,merci

    Pour avoir fait des essais du système Neptonic je trouve çà bien efficace.

    Maintenant, ce système est peut-être plus adapté à nos zones de chasse bretonnes où l'on pratique de longues dérives dans le courant, dans une mer hachée et sans bouée. Ceci étant, sur les DCP guadeloupéens, nous les gardons à la ceinture car leur utilisation à bout de bras reste plus facile qu'une bouée de 35 L...    

    Le récit de William met en tout cas en évidence la difficulté de trouver un système de repérage idéal dans ce genre de situation. A creuser.    

  8.  

    Il y a 7 heures, wood a dit :

    Tout à fait d'accord avec Joe,  c'est vraiment dommage de ne pas privilégiés le pélagique. 

    Je serais au Nicaragua dans moins d'un mois et je passerais par le Costa Rica également. Il est interdit d'importer des fusils au Nicaragua pour information, tu peux toujours essayer de louer ou acheter du matériels mais c'est hors de prix. La situation politique au Nicaragua est toujours tendu, même s'il y a des améliorations. 

    Sur la Côte Pacifique l'eau y est plutôt trouble, c'est une côte renommer pour le surf. Entre Mai et Octobre (à vérifier) c'est la saison ou il pleut le plus, donc moins de touriste, bien que la houle y est présente toute l'année, tu peux toujours avoir des conditions suffisantes pour chasser du bord. Comme dit Joe, il faut être très discret et éviter toutes les zones protégées bien qu'il n'y est pas forcément de texte ce n'est pas super bien vu et les limites pas vraiment clair. Le plus difficile sera de trouver la zone non protégé ou tu peux facilement y avoir accès. Parfois c'est plus simple d'y aller par bateau.

    Pour les charters tu en trouveras, mais ca coûte un bras et un poumon surtout si tu es seul. Le tourisme à changer les moeurs, mais tu pourras toujours négocier une sortie avec des pêcheurs. Les prix donnés par Joe sont juste voir peut être plus élevé. Pour la locations de matos aucune idée.

    Pour les guns, pour le plus petit je dirais un 100 pour la côte, mais faut pas s'attendre à une bonne visi. Par contre pas besoin de chasser profond. Si tu fais du pélagique c'est 120 minimum.

    Pour les spots je ne peux pas vraiment te conseiller.

    Bon séjour

      

    Dommage pour les guns au Nicaragua. Je n'avais pas eu ce souci en 2010. Mais maintenant tout çà a tendance à se durcir.

    Tu vas où au Nicaragua? J'étais à San Juan Del Sur, petite station balnéaire plutôt sympa. Les conditions de chasse n'étaient pas top en mars, toujours à cause de ce vent de nord est. Eau sale, froide (à peine 20°) mais de la vie, avec surtout de belles sérioles dans peu d'eau.

  9. J'y suis allé à 2 reprises.

    Un de mes meilleurs souvenirs.

    A privilégier, la côte Pacifique, beaucoup plus riche. J'étais à Playa Del Coco, province de Guanacaste. 

    C'est dommage que tu ne souhaites pas trop t'intéresser aux poissons pélagiques. Tu as un panel assez conséquent de ces derniers à la côte: sérioles, toutes sortes de carangues, thazard, wahoo (là-bas c'est un poisson que tu peux croiser en côte)...

    Tu verras également le poisson coq, pélagique fétiche du pays... mais vivement déconseillé de le tirer. Mon barquero m'avait d'ailleurs clairement interdit de le pêcher. Sa capture est uniquement réservée aux no-killers. A ma connaissance, il n'y a pas de textes légaux d'interdiction mais une règle que ce sont imposés les locaux.

    Si tu veux en pêcher, tu peux aller Nicaragua (un peu chaud ces temps-ci), la frontière n'étant pas très loin. Là-bas ils capturent et consomment le rooster fish. 

    Concernant les poissons de fond, tu y trouveras essentiellement les carpes bien sûr (pargo rojo, rondelo...) et quelques mérous.

    Tu peux partir du bord, mais fais attention, ne laisse rien dans la voiture, un chasseur de ma connaissance s'y est fait tout piquer.

    Tu peux négocier une sortie avec les pangas de pêche au gros. N'hésite pas à faire le tour, tu peux avoir des différences de tarif conséquentes. La grosse demie-journée (7h-13h), tu comptes entre 150 et 180 $, tout au moins la dernière que j'y suis allé en 2012. 

    Location de matos, je n'ai pas vu.

    L'eau n'y est pas forcément très claire, voir même sale à partir de février que le Nordeste s'installe. Idéalement, prends 2 guns: un 110 et un 120, simple 18 et flèche de 7, moulinet bien sûr.

    La première année, j'y étais début janvier et la visi était de l'ordre de 6-7 mètres, la seconde mi-février avec une une visi entre 2 et 4. 

    Une dernière chose, sois discret, n'étale pas tes pêches. Les locaux, les Ticas plutôt agréables, sont particulièrement susceptibles avec ce type de choses.     

  10. il y a 5 minutes, rene a dit :

    Je vous rassure, c'est mondial le problème des entourloupes aériennes.

    Pour venir au Mexique depuis le Canada par exemple, on vous demande 200$ pour le transport d'une arbalète.... et on vous redemande 200$ de Mexico à La Paz sans vous avertir. Tout les transporteurs font la même chose, aucun n'averti, pire il est impossible d'avoir l'information même en demandant directement au comptoir, soit on ne répond pas, soit on ment.

    Il est donc beaucoup moins cher d'acheter une Rob Allen localement et de la donner en cadeau au départ.

    Pour aller à des destinations sécuritaires, où la poste fonctionne (on oublie tous les pays d’Amérique latine, surtout le mexique), j'ai posté mes arbalètes avec une assurance de 2000$ (fait ca pour Hawaii). Étonnamment, ça arrive à bon port dans ces cas là. Il faut toutefois avoir une adresse à destination.

    C'est l'option que j'ai retenue pour les Açores et le Cap Vert: flèches et arbalètes dans un colis et le tout reste sur place jusque la fois suivante.

    J'en avais un peu marre de me prendre la tête aux comptoirs de la TAP. 

  11. Donc 9 îles réparties en 3 groupes: oriental (2 îles), central (5 îles) et occidental (2 îles).

    Pour visiter un maximum, et pour ne pas être tributaires des vols intérieurs, relativement chers, la meilleure option est de se poser sur le groupe central.

    A partir de Faïal, on peut se rendre facilement en bateau sur Pico et Sao Jorge. Pico est très bien dotée en structures pour le whale watching.

    Concernant les avions, tu as une seule liaison directe de Paris pour Sao Miguel, capitale située dans le groupe oriental.

    Au départ de Lisbonne, tu peux atterrir sur Faïal, Pico, Terceira (toutes 3 du groupe central) et Sao Miguel.

    Pour les hébergements, tu as de tout: du roots au haut de gamme. Le budget de 30 à ... On va souvent dans des pensions de famille dont une tenue par un collègue sur Pico, un peu isolée mais les pieds dans l'eau. Les tarifs varient de 60 à 80 en moyenne. 

    Mais ne tarde pas de trop pour les résas. Cà se remplit vite.

    Toutes les îles t'offriront de superbes ballades   

     

  12. Il y a 6 heures, dgm22 a dit :

    Nouvelle sortie coquilles ce matin secteur Erquy.

    Malgré un temps maussade qui donnait plus envie de rester chez soi, une mer calme et une visi d'au moins 7 mètres m'attendait.

    A l'eau à 9h30, arrivé sur mon spot, j'ai recherché un banc de lieus absent ce jour...

    A 10h45, début de la coquille. Je prends mon temps pour choisir les plus belles et faire un joli quota.

    Puis, je poursuis ma pêche à la recherche d'un hypothétique bar de décembre. Mais je ne vois que quelques vieilles et une roussette.

    Je délaisse cette dernière n'appréciant pas trop le goût de sa chair et prélève trois vieilles.

    L'ambiance des chasses d'hiver est bien là...

    Au bout de trois heures et demie, je sors sans avoir ressenti le froid grace à ma veste de 9 mm. Quel bonheur d'avoir chaud dans cette eau froide (12°c en surface) !

    Sur le parking, je rencontre plusieurs "anciens" qui ont fait eux aussi leurs quotas. Le plus agé a 72 ans... Respect.

    http://181205051915302221.jpg

     

    Sympa, comme d habitude.

    Une valeur sure ce secteur.

    Il faudra que j y retourne avant les fetes.

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