elinhan

C’est pas mal, les miennes arrivent dans ces eaux là aussi à quelques millimètres près. Poignée en main nue, la gâchette est au niveau de la dernière phalange :

Je te ferai une photo demain pour comparer 😉

Laissez un peu plus de chance aux poissons les gars, cessez la course à l’électronique embarqué et gardez vos sous 😜😇

Bizarre, on dirait que la turbine s’est disloquée ? Par vieillissement ? Par contact avec un produit utilisé pour rincer/hiverner le moteur ? S’il y avait un problème de refroidissement, jette un œil au calorstat en passant...

Pour moi, (pour mes montages et les essences de bois que j’utilise) le tube carbone n’est pas là pour apporter davantage de rigidité mais plutôt un éventuel gain pour la flottaison du gun. Notamment lorsqu’on ne veut pas trop monter en section pour équilibrer une flèche lourde/longue. Pour avoir un gain de flottaison intéressant (en tenant compte du volume d’air dans le tube et de la masse du tube, épaisseur de la paroi), il ne faut pas prendre des tubes trop petits (>20mm de diamètre). Si c’est juste pour un gain de rigidité alors c’est une autre approche... Au final, je ne m’y suis pas mis (pas encore en tous cas...)

Avec un modèle, ce sera les doigts dans le nez 😜

Possibilité de mettre un tube carbone interne dedans mais perso je n’y vois qu’un intérêt limité dans mon utilisation. Je mets une latte centrale dans un bois plus rigide (acacia/teck). Certains mettent du carbone entre les lattes. Sans carbone, moins de matière synthétiques utilisées et potentiellement à recycler ♻️...

Le teck c’est mou, facile à poncer et à travailler. Un peu gras, il encrasse rapidement les papiers abrasifs... Après, y a différents tecks, culture ou sauvage, croissance lente ou rapide avec des propriétés mécaniques et une densité variables.

Oui, le frêne c’est du solide (manches, planches à découper, billots...) mais pas imputrescible. C’était pour donner une autre piste pour la version finale. 😉 Le cèdre, très résistant aux intempéries, un des top bois pour une utilisation extérieure. J’avais fait des panneaux d’un arborerum en cèdre, ça n’a presque pas bougé depuis 10 ans et sans traitement. 👍

Ça dépend des tailles, de la flèche, de l’accastillage en fonction du type de propulsion... après, tu peux toujours prévoir deux ballasts pour ajuster. Un dans la poignée et un proche de la tête du gun... Pour le séquoia c’est osé. Au salon de la plongée j’ai vu des guns en frêne par contre ils étaient vernis. Moi je me contente d’une finition huilée

https://www.edosub.it/it/dettaglio/kit-inserto-filettato-edosub-inox-per-arbalete-in-legno.html

Tu devrais partir sur un peu plus de 3 lattes et tu peux éventuellement panacher les essences ( couleurs et densité). J’en ai fait un petit en acacia (dur et dense) et séquoia (mou et léger), il ne bouge pas depuis quelques années et je l’utilise régulièrement. Tu pars sur quelle longueur ?

D’ailleurs j’ai l’impression qu’entre la gâchette et la poignée la distance à l’air importante, pas gênant ?

Au niveau de la fixation/collage de la poignée, tu peux augmenter la surface en l’intégrant en partie dans le fut pour davantage de solidité...

Tu utilises des inserts sur toutes tes vis...

👍 🤣🤣🤣

Je ne connais pas le spécimen en question (dont l’état d’esprit semble plus que discutable). Au niveau de son gun, y a l’air d’avoir des points de conception intéressants mais beaucoup de points perfectibles aussi. L’essentiel pour moi qui suis en train d’en faire un : ça marche mieux avec des poulies avec roulements à billes 😜

Après un double roller 125cm flèche de 8,5mm, je suis en train de m’en faire un invert pour voir la différence. Il sera en 130cm flèche de 9mm avec 4 paires de sandow 18mm normalement... Pour essayer d’envoyer du lourd dans du gros 😜

Merci +1 😉

Oui, je connaissais quelques exemples de ce type d’opérations avec aussi des lâchers de larves de homards anglais (3000/ans sur les côtes charentaises). Il y avait pas aussi France Turbot qui faisait ça aussi un moment ? Pour le maigre, tu parles de freins économiques ? Biologiques ? Autre ?

Bien d’accord pour une masse minimum. 5kg en psm et plaisance ça le fait. Après pour les pros, sans aller jusqu’à cela, au minimum 2kg serait honnête tellement on voit d’alevins portion sur les étals (charentais notamment...). Les pêcheurs pros ont quand même pour certains le mérite d’essayer d’assurer la reproduction. Lorsqu’ils le pêchent en période de repro, ils mélangent les ovules prélevés sur les femelles et le sperme extrait des mâle pour les féconder et remettre les œufs à l’eau. Ça se fait toujours Maigrat ? Si les 🤬 qui chalutent le bar en ce moment dans le golf de Gascogne et autour de Rochebonne avaient la même démarche, peut-être que la population de bars se porterait mieux. En parlant de reproduction, je ne comprends pas pourquoi il n’existe pas des écloseries pour ensemencer l’Atlantique en bars. Des écloseries gérées par ifremer ou autre financées par la pêche pro et plaisance (10€/an/pêcheur et plus pour les pros selon leur quota pour ce type d’actions, ça ne me poserait pas de problème même si j’en entend déjà hurler)...

Tu parles du thon rouge là ou du maigre ? 😜

J’ai tout essayé : en pavés à la poêle, au cours bouillon, en brandade et même fumé. Tout est possible 😉

+ 1 Pour avoir eu la chance d’en tirer des gros et des petits, y a pas photo gustativement pour moi, il faut privilégier les petits 10/15kg max. Et en plus c’est aussi moins chargé en toxines et tellement plus simple à traiter qu’une grosse bestiole 👌

Tu fais une «fournée » par an ? Une fournée c’est combien pour toi, pas autant que mon boulanger quand même ?