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Indonésie 2014


Ptit Plouf

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Oui les photos sont superbes ! une belle aventure mais il y a interet a bien ce connaitre pour que tout le monde adhere ,Non ? ;)

Sur quelques jours, c'est facile de faire quelques efforts... On se connaît tous et avons l'habitude des voyages pas toujours très confortable. Rien de vraiment risqué et en cas de problème, on peut compter sur l'efficacité des Papous et notre téléphone satellite.

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Le culinaire par contre est très décevant ! je m’attendais à des petits plats pleins d’épices….le pain de mie et surtout le beurre de cacahouète baaaa j’aime pas [/size][/font]:) et les insectes ! ils n’en mangent pas ? [/[/size] :D

Non, pas d'insectes à ma connaissance ici. On retrouve, comme un peu partout dans le monde, des ragoûts d'un peu toutes les bestioles environnantes accompagnés de légumes. N'étant pas un boulimique de la bidoche exotique, il m'arrive parfois préféré devenir végétarien.

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4) - Dernière partie : Du Timor aux Molluques vers les îles kai :

 

Bon, les requins-baleines, ça commence à être balaise, mais il y a peut-être moyen de passer à la catégorie au dessus, celle des lourds…

 

Nous sommes fin Novembre, des amis nous rejoignent à Bali pour faire une croisière « reconnaissance ». Le principe est simple, chaque année, nous allons pendant 15 jours naviguer dans une région que nous ne connaissons pas et souvent peu fréquentée de l’Est Indonésien.

 

Au menu cette année, partir de Flores, passer au Nord de la délicate région du Timor en suivant un chapelet d’îles plus ou moins habitées pour terminer dans l’archipel des îles Kai (ou Kei) d’où nous reprendrons l’avion. Les îles Kai ont la réputation de détenir les plus belles plages d’Indonésie et des sites de plongée réputés.

 

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Après un court vol intérieur, nous retrouvons le bateau à Maumere, au NE de Flores. Les habitants de cette partie Est de l’île ont la particularité d’avoir de verbe haut. Les caractères sont chaud et les discussions plutôt bruyantes, un peu les Marseillais indonésien !

 

Après une nuit de navigation, nous nous réveillons au pied d’un îlot isolé qui est en fait un volcan. Nous nous étions déjà arrêtés il y a 3 ans. C’est un volcan en activité avec une éruption environ toutes les 20 mn. Le spectacle est grandiose, inoubliable. Cette fois-ci nous resterons le soir pour voir ce show de nuit. Feu d’artifice de lave, bouquet final incandescent revenant toutes les 20 mn… un grand moment.

 

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Je suis le seul chasseur à bord. Je dois m’adapter au rythme de la croisière et me met à l’eau dès que l’occasion se présente. Ju, Couz et parfois ma femme Céline m’accompagnent.

 

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Je suis souvent seul, me met souvent à l’eau au pied du bateau qui mouille en général en limite de tombant. J’adore cette sensation de peut-être être le premier à tremper mon fusil dans un endroit.

 

Le lendemain, branle bas de combat au petit déjeuner, il y a des souffles à l’horizon. Tout le monde saute dans l’annexe. Nous sommes sur la route de migration des baleines qui se rapprochent à cette période de l’équateur pour se reproduire. Dédé notre barquero, n’est pas très rassuré quand on lui demande de se rapprocher au plus prés de ces géants de la mer. Nous sautons à l’eau en pleine mer et un requin de belle taille (que je pense soyeux), fonce dans nos palmes. Petit moment de panique, tout le monde remonte dans l’annexe, mais la majorité retourne à l’eau une fois l’émotion passée.

 

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Le spectacle est grandiose, je n’ai jamais vu ça, il y a 13 cachalots qui semblent en apesanteur dans le grand bleu. Leurs mouvements, semblant se faire au ralenti, dégagent un sentiment de surpuissance. Nous nageons à coté d’eux… moment de grâce…

 

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La navigation autour du Timor est toujours compliquée. Nous devons systématiquement envoyer nos « ambassadeurs » (des membres de l’équipage) au village pour leur demander ce que nous avons droit de faire. Des fois c’est : rien ! D’autres fois c’est juste snorkelling. J’arrive de temps en temps à avoir l’autorisation de chasser, je propose alors de leur donner le poisson pris.

Souvent des responsables du village montent à bord pour surveiller le respect des consignes.

 

Plusieurs fois nous serons abordés par des bateaux, ce sont des sanguins, ils montent avec autorité à bord en demandant du poisson et de l’essence.

Il faut toute la diplomatie du Capitaine et de l’équipage pour adoucir ces entrevus.

 

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Je me souviens de cette après-midi. Nous avons eu le droit de faire un snorkelling sur Pulau Teun. Les chefs du village ont voulu inspecter la manœuvre et boire un coup sur le bateau.

Nous sommes dans l’eau lorsque nous voyons foncer un bateau avec une quinzaine de jeunes hommes visiblement énervés vers le bateau. Nous nous dépêchons de remonter sur l’annexe pour aller voir ce qui se passe. Les gars en fait sont à cours d’essence et doivent poursuivre un gars du village qui a fuit avec une petite pirogue à pagaie. En effet, nous apercevons bien au loin une barque. Le tord du fuyard ? Avoir demandé la main d’une jeune fille et devant son refus, avoir tenté de lui couper la main… des broutilles ! La sanction prévue est simple : après l’avoir rattrapé et passer à tabac à tour de rôle, il aura, lui, la main de tranchée !

Nous ne donnerons que le minimum d’essence en espérant donner une chance à l’amoureux éconduit.

 

Les îles sont compliquées à aborder. Certaines recèlent de précieuses matières premières. Une fois nous allons avec l’annexe glaner des informations auprès d’un village qui nous a l’air particulièrement bien organisé avec bâtiments neufs et débarcadère. Nous sommes à la recherche d’une rivière ou vivent des crocodiles. Nous trouverons d’ailleurs la rivière, mais pas les crocodiles.

Nous approchons de la côte et déjà des gardes puissamment armés viennent à notre rencontre. Ils nous font vite comprendre que notre visite s’arrêtera là.

Ils nous donnent gentiment les informations dont nous avons besoin et en bavardant, nous apprennent que le lieu est en fait tenu par des Australiens qui exploitent une mine de cuivre et fabriquent directement le fil de cuivre sur place.

 

Les problèmes avec les autorités se multiplient, nous nous retrouvons coincés dans un port.

 

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On nous demande fréquemment des sommes astronomiques pour mouiller nos palmes.

Pour la première fois, nous finissons par tenter d’éviter villages et pêcheurs. Nous croiserons même un bateau de plongeurs (le seul que nous croiserons en 15 jours) qui revient d’un spot des îles Kai et qui a eu la maladresse d’envoyer ses palanquées sans demander l’autorisation. Du coup, il a du verser 1 million de roupies par plongeurs, soit environ 1500 Euros pour pouvoir repartir.

C’est le problème ici ou quelques bateaux très « haut de gamme » ne regardent pas à la dépense pour faire plonger leurs richissimes clients. Derrière, on raque, ou on passe son chemin…

 

Aujourd’hui nous arrivons à Pulau Serua, minuscule île des Molluques.

 

Cette fois, notre petit déjeuner est agrémenté par la visite d’un Marlin. Celui-ci prend un malin plaisir à venir me narguer en sautant à quelques dizaines de mètres du bateau. Il est curieux ! Il se tourne sur le coté dans ses figures de voltige pour mieux nous observer. Ma mise à l’eau restera sans suite à part m’être laissé accompagné par une magnifique spirale de Barracudas.

 

Serua est une tête d’épingle au milieu de la mer elle a toujours suscité curiosité et convoitise. Elle détiendrait de l’Uranium.

Nous descendons rencontrer les habitants de cette île. L’accueil est particulièrement chaleureux. Ces gens nous racontent un peu l’histoire de l’île. Elle a joué un rôle important lors du bombardement d’Hiroshima. Elle n’était pas détectable par les radars et un camp de scouts interceptait les informations des Japonais pour les transmettre aux B52 Américains.

Elle a aussi la particularité d’avoir donné beaucoup de pilotes à l’aviation Indonésienne.

Enfin, ses rapports avec l’aviation se sont encore renforcés lorsque pendant la guerre du Pacifique, un avion de guerre Américain s’est écrasé entre 2 îlots (l’épave repose toujours par 30m de fond) et qu’ils ont recueillit les 3 survivants (dont 2 blessés gravement), qui sont restés sur l’île quelques semaines avant d’être récupérés. Quel beau scénario de film.

 

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La dernière île avant l’archipel Kai s’appelle Manuk, elle n’apparait même pas sur certaines cartes. Nous y arrivons au petit matin. Elle n’est pas habitée et il y a un bateau de pêcheur sur place.

 

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Ces bateaux sont impressionnants. Ils partent de régions éloignées de L’Indonésie et partent pour plusieurs semaines, voir plusieurs mois à 12 ou 15 entassés sur une barquasse d’une quinzaine de mètres de long. Ils vivent de leur pêche mais sont aussi curieux de découvrir ces contrées lointaines.

 

Mauvais présage, des milliers d’oiseaux ont pris possession des lieux. Et une île à oiseaux, c’est une île à serpents…

 

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J’ai hélas déjà connu ça à Pulau Gunungapi au milieu de la mer de Banda.

Nous mouillons et nos craintes se vérifient lorsque nous voyons de beaux serpents de mer tourner autour du bateau. Ce sont les même qu’il y a 2 ans. Ils font partie de la famille des Cobras, n’ont pas une grande gueule, mais aiment venir au contact.

 

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Avec Ju, nous l’avons déjà vécu. Nous n’allons pas laisser passer une session de chasse et nous décidons avec Ju et Couz d’y aller.

Session assez spéciale ou il n’est pas facile de se relâcher. Il faut être tout le temps vigilant car les serpents fusent sur nous lorsque nous sommes au fond, il faut les repousser continuellement avec les fusils. Je remonterais une fois en urgence sur l’annexe me sentant débordé par 5 reptiles me taquinant en surface.

 

Nous aurons malgré tout l’occasion de voir un magnifique requin-baleine et un requin marteau.

 

Sur cette croisière, je sortirais quelques TDC (les 2 plus gros faisant 10kg) et une belle carpe rouge. J’étais toujours prés pour « LE » poisson… que je ne vis que de loin.

 

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Le jour où ma montre m’a sauvé la vie…

 

Le fait le plus marquant pour moi s’est déroulé sur un tombant de Pulau Terbang Utara au Sud de Pulau Damar.

 

Après avoir repéré une belle veine de courant sur le tombant, je décide de tenter ma chance.

 

Je fais mon canard et amorce ma descente comme souvent dos au rocher, les yeux rivés dans le bleu, à l’affut d’un éventuel visiteur. D’emblée mes oreilles me font mal. Je mets cela sur l’accumulation de temps passé dans l’eau.

Alors que je ne pense qu’être à 4-5m, l’alarme de ma montre retentit. J’ai l’habitude d’avoir cette alarme à 18m.

Je regarde ma montre, 18m !

Je comprends, je viens de me faire piéger, je suis pris dans un violent courant descendant.

Par chance, je suis en début d’apnée, j’amorce immédiatement ma remontée. Je lutte de toutes mes forces. Heureusement, je n’ai qu’un kg à la ceinture que je ne veux par perdre de temps à larguer.

Je me rapproche de la surface, je pense y arriver, mais les derniers 3-4m sont les plus durs à franchir. Un tourbillon de surface me repousse vers le bas.

Pour la première fois, je pense que je vais manquer d’air. Je perce enfin la surface. Mes jambes flagellent mais je suis sauf…

 

Les courants descendant sont un risque en Indonésie. Il y a des endroits connus mais dans ces lieux peu fréquentés, le risque est là. Ils se déplacent, peuvent être présent quelques minutes, disparaître. Il y a des récits de palanquées de bulleux qui se sont fait absorbés pendant plusieurs minutes pour réapparaître quelques centaines de mètres plus loin. Evidemment, nous, en apnée, l’issue est plus compliquée.

A part le défilement du tombant, le seul indice qui peut mettre la puce à l’oreille, c’est lorsque que tous les poissons ont le museau vers la surface, ils luttent, et là, il faut réagir vite. Moi, je n’ai rien vu. Une fois en chute libre, il faut lutter, ne pas se désunir, larguer sa ceinture si c’est facile.

L’autre sécurité, c’est la float line, on peut la saisir et remonter le long.

 

Nous nous rapprochons des îles Kai autour desquelles nous caboterons quelques jours.

 

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Au fil des jours, les pluies sont plus fréquentes. Nous sommes début Décembre. Depuis quelques jours nous essuyons la nuit de terribles orages.

 

Une nuit, notre bateau sera touché par la foudre dans un « bang » assourdissant. Le paratonnerre a bien joué son rôle mais nous retrouvons Man, qui pilote le bateau à ce moment, terrorisé par un arc électrique qui est rentré dans la Capitainerie et a frappé la paire de jumelles posée à coté de lui.

 

Les 2 derniers jours se feront sous la pluie, inhabituelle à cette période de l’année a cet endroit, mais nous apprenons qu’un terrible cyclone s’acharne sur les Philippines et nous devons en subir les effets collatéraux…

 

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Un volcan qui s’énerve, un chasseur sans palme, un jacuzzi sous l’eau, un cimetière de filets, un requin taquin, des cachalots qui n’ont pas voulu nous attendre, un thon qui attire les thons et des attaques de serpents, c’est ici (la vidéo de la croisière "chasse" arrivera plus tard) :

 

 

 

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Quel voyage haut en couleur ! cool et les photos des cachalots trop merveilleux, j'en rêve :) quelle chance de les avoir vu comme cela, c'est vraiment rare !

Une théorie sur les "danses" des marlins selon les pêcheurs siciliens, ils feraient cela pour attirer les femelles. Les pêcheurs en sicile harponnent d'ailleurs la femelle en premier car après les mâles restent autour et se font harponnés eux aussi !

 

Sinon ! bienvenu au club des tarrés des moluques sud ! nous c'était l'ile de Dawera ! idem grosse pirogue bien chargée de tarés alimentés à l'Arak :) je déconseille l'endroit :) bien qu'au final au village ils furent charmants !

 

Merci la montre ! moi j'en ai pas, je suis au feeling et depuis le gros bouillon de notre ami Bélouga, j'utilise sa technique, lui a eu la vie sauve grace à sa grosse bouée de flasher, elle lui a permis de remonter mais si mes souvenirs sont exacts plus de 2mm d'apnée pour s'en sortir ! du coup je ne descends plus en dessous du flasher.

Des tourbillons, ils y en a partout ! faut vraiment faire super gaffe et bien observer dans l'eau avant, on les voit se former en surface mais pas toujours c'est vrai ! c'est ma hantise.

Et le peï avec sa Kretek dans la bouche et ses lunettes de piscine ! il allait comment :) ? moi la kretek ça me réussit pas pour l'apnée mais l'odeur du clou de girofle hummm j'en raffole :)

 

Fait Ch...r ! tous ce qui est bon ...n'est pas bon :papy:

Merci pour le CR et vidéo ce soir au programme :P

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Top le film ! Par contre les serpents pas cool ... Ils tentaient de mordre ou juste de curieux ?

Ta vidéo en tracto rouge et ces bars de Normandie ...

 

Ils fonçaient directement sur nous et quand on sais qu'ils ont un venin des plus foudroyant, j'avais pas envie de les laisser gouter ma tendre chair. Par contre ils ont une petite gueule donc le risque est limité.

 

Ah mon vieux et fidèle tracteur rouge, c'est un Farmal de 1954. Le suis surpris du nombre de vues pour cette vidéo Normande.

 

 

 

Merci la montre ! moi j'en ai pas, je suis au feeling et depuis le gros bouillon de notre ami Bélouga, j'utilise sa technique, lui a eu la vie sauve grace à sa grosse bouée de flasher, elle lui a permis de remonter mais si mes souvenirs sont exacts plus de 2mm d'apnée pour s'en sortir ! du coup je ne descends plus en dessous du flasher.

Des tourbillons, ils y en a partout ! faut vraiment faire super gaffe et bien observer dans l'eau avant, on les voit se former en surface mais pas toujours c'est vrai ! c'est ma hantise.

 

 

 

 

Très Flippant ces histoires de courant descendant !! Un chasseur balinais reconnu à d'ailleurs perdu la vie il y a pas si longtemps non? Je serai pas Tres serein dans l'eau si j'y allais ...

 

Pour cette histoire de courants descendants, c'est toujours un risque lorsqu'on tente un nouveau spot.

 

Sur la croisière "chasse", il n'y en avait pas sur les spots proposés.

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Oui c'est vrai qu'ils ont un venin très puissant , je préfère voir un requin que ces bestioles la .. Elles me dégoûtent en plus! Une année a bingin , en surf , j'attendais la série au pic quand un de ces serpents est monte sur mon nose pour certainement "se reposer" Jai cru que jellais faire une crise cardiaque !!! Le con !!!! Le coup des courants forts , je l'avais remarqué aux gilis , c'était hallucinant !... Sinon bravo encore pour cettedernière expé .

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Trés joli filme surtout qu il n y a pas que de la chasse ! j aime ce mélange d aventure et de péche .....

 

 

Par contre ils ont une petite gueule donc le risque est limité.

Oui se sont ce que l on appelle en Caledonie des tricots rayés ,on ne risque vraiment rien avec leur bouche minuscule ,meme si leur venin est trés puissant ......Il y a aussi les gris de récif beaucoup plus gros mais pas de venin ,mais ils peuvent mordre dit on ,car je n ai jamais vu de morsure par contre ,il remante les ondes faites par les palmes jusqu a la surface et c est pas forcement trés agréable :lol:

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superbe récit!

Les serpents ça me rappelle ma première mise à l'eau en indonésie.. je checke un bookin de bulleux et je tombe sur la description de ces serpents du style une morsure contient de quoi flinguer une douzaine de bonhommes ! Oula ça calme! Je prends mon masque pour un mode snorkling sur le tombant et en 10 minutes j'en croise une bonne 20taine !! :wacko:

Pas sur que ce soit les mêmes, mais ceux la aussi avaient en théorie une gueule trop petite pour mordre sauf le lobe de l'oreille lol!

Pour les courants descendants c'est vraiment flippant, j'ai eu un binôme une fois qui s'est mis à tournoyer en surface...

En tous cas ça donne envie de mettre des sous de coté tout ça!!

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Merci Didier pour cette suite de récit.

Ton Timor ne me fait pas rêver avec son racket organisé!

Content que tu sois encore là pour nous raconter ton expérience des courants descendants !

Personnellement après ce moment de stress pendant 24 h j'ai eu des apnées inférieures à 1 mn et je ne pouvais descendre sous les 10 m.

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Merci pour vos commentaires !

 

 

 

Oui se sont ce que l on appelle en Caledonie des tricots rayés ,on ne risque vraiment rien avec leur bouche minuscule ,meme si leur venin est trés puissant ......Il y a aussi les gris de récif beaucoup plus gros mais pas de venin ,mais ils peuvent mordre dit on ,car je n ai jamais vu de morsure par contre ,il remante les ondes faites par les palmes jusqu a la surface et c est pas forcement trés agréable :lol:

 

Ici, ce ne sont pas des tricots rayés (que l'on rencontre aussi fréquemment dans les eaux Indonésiennes). Ils sont de la même famille, ce sont des Hydrophis cyanocinctus.

 

Merci Didier pour cette suite de récit.

Ton Timor ne me fait pas rêver avec son racket organisé!

Content que tu sois encore là pour nous raconter ton expérience des courants descendants !

Personnellement après ce moment de stress pendant 24 h j'ai eu des apnées inférieures à 1 mn et je ne pouvais descendre sous les 10 m.

 

Oui, je me souviens de ta mésaventure... Pour ma part, j'ai fini le séjour avec ma floatline raccourcie à 20m.

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Cela s'est vérifié pour moi il y a 2 ans lorsqu'un gros TDC m'a explosé mon élastoc. Depuis, j'ai réglé le problème et trouvé le meilleur rapport qualité-prix en doublant mon bungee systématiquement et quelque soit la marque... Et pour éviter que ce soit le bordel dans l'eau, je les rend solidaire en passant une rondelle de chambre à air de vélo de route tous les mètres.

 

C'est une methode utilisée et éprouvée sur les gros thons rouges...

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