Aller au contenu

dom85

Membres
  • Compteur de contenus

    24438
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par dom85

  1. J'ai pondu dans les techniques de la chasse, un sujet sur les pelagiques et je viens d'y ajouter un appendice pour ceux qui se posent la question, dans cette page: Les techniques de chasse - Page 14 - Chasse en général & Présentations - Forum Chasse sous-marine & Apnée (chasse-sous-marine.com)
  2. Où trouver les pélagiques? Ou plutot comment les trouver? Pour répondre à une question de René J'en ai parlé un peu plus haut, au départ de la technique. Vous avez deux solutions si le gros poisson vous titille la gâchette. Soit vous vous payez un guide de haut niveau, avec des références en la matière, tel Adzoo ou Gerard Grave par exemple, mais cela coute cher la sortie et il faut une dizaine de sorties pour être à peu prêt sur de rencontrer une bête digne de ce nom. C'est normal que ça coute cher, il a passé des années à chercher, repérer et analyser les rencontres, et à chaque sortie on consomme de 50 à 200l d'essence selon le bateau... Soit vous vous payez un beau bateau qui tient le mer et le large, vous ajoutez quelques mètres cubes d'essence pour les recherches, un ou deux sondeurs/GPS de haut de gamme, plus au moins cinq années de recherches souvent ingrates et vous aurez vos propres coins à TDC et autres pélagiques. Je chasse à Madagascar depuis plus de 35 ans, dont 11 années à y vivre et je ne me suis mis au bleu que depuis 5 ans. Pendant 30 années je n'ai rencontré que exceptionnellement un thazard ou un marlin, une rencontre aléatoire qui relève du loto. J'ai sorti une dizaine de thazards et un seul marlin durant ces 30 années, mais en cinq années, je dois être proche de cent thazards, une bonne dizaine de TDC(dont 7 gros) et 8 poissons à rostres, marlins et surtout voiliers Il faut chercher impérativement le pélagique pour le trouver et ne plus chasser le benthique, les deux chasses ne sont pas compatibles si vous voulez réussir la recherche du gros. Voici pourquoi: vous êtes sur des fonds de 15 à 25m susceptibles de croiser les deux sortes de poissons, si vous regardez le fond pour voir un mérou, une carpe rouge, ou une carangue, vous ne regardez pas les cotés où vont surgir les thazards ou voiliers et surement que vous en avez croisé sans les voir. Plusieurs fois en chassant avec des chasseurs aguerris aux benthiques mais pas aux pélagiques, j'ai tiré des poissons qui passaient au dessus d'eux sans qu'ils ne se soient rendus compte de leur présence. Donc oui on peut trouver des spots à TDC mais ça a de toutes façons un certain prix, et aussi comme déjà dit plus haut, il faut de plus un matériel parfaitement au point et une certaine expérience pour ne pas perdre ensuite, un tel poisson. J'ai perdu mes 3 premiers maigres (il y a plus de trente ans) avant de ne plus jamais en perdre un, j'ai également perdu mes deux premiers TDC et je n'en ai plus perdu un seul depuis, ni un marlin ni un seul voilier, ça c'est seulement l'expérience. Et vous pourrez remarquer que la majorité des chasseurs de BW sont des anciens , pas spécialement fortunés mais qui petit à petit sont arrivés au summum de la CSM
  3. dom85

    Retours/avis contact RGZ

    Chti'max a raison, la résine est un liant c'est pas sa quantité qui change la résistance d'une palme, c'est bien le carbone C'est juste une question d'esthétique
  4. aie, aie, PDM déteint sur le forum
  5. CR du 21 décembre Sortie à 9h30 du port de Tamatave direction le sud, mer belle à peu agitée, eau à 28°, très peu de houle, mais eau trouble en profondeur partout pour cause courant de sud Arrivé au London l’eau semble claire, hélas c’est seulement en surface sur 8m, dessous c’est chargé et trouble et malgré un vent de nord Est, le courant est de Sud, résultat aucun poisson, quand je dis aucun c’est pas un seul même un chirurgien ou un baliste. L’ile aux sables juste à coté c’est pareil, pas une seule licorne, rien de rien. Pas la peine d’insister, je change de crémerie, je pars vers le nord. Une heure plus tard, sur les plateaux du large je me mets à l’eau : et ben c’est pareil, 10m de bonne visibilité puis eau chargée en dessous. J’essaye même sur la zone de cassure du plateau continental avec 200m de fond, c’est un poil mieux mais c’est Gobi, le désert, pas un seul poisson. Je repars cers Tamatave en passant par 3 spots sur mon GPS, pour y arriver je trouve un nouveau coin où une petite boule de poissons tourne autour des 25m. A la troisième descente, un thazard surgit du néant , il va prendre ma flèche illico. J’essaye plusieurs autres descentes mais je ne verrai jamais ce que c’était cette boule de petits poissons, surement des pêche-cavale. Sur le dernier spot , le coin aux TDC, un requin monte au baron et j’ai remarqué que lorsqu’un de ces bestiaux se pointe , on ne voit plus un seul pélagique, déjà qu’il n’y en a pas beaucoup…. Au moment où il va croquer mon baron(crime de lèse majesté) il prend ma flèche pleine tête, ça ne l’empêche pas de me prendre 100m sur le moulinet. Il est assez vindicatif et cherche même à mordre la coque du bateau et reprend même 20m de fil avant de pouvoir le monter à bord et de l’achever, il me cassera la gaffe ! Bon un bouledogue de moins, femelle proche du parturiant, les plus agressives. Le foie pesait 4 kg!!!! Voilà une sortie bien triste : vu deux poissons en tout et pour tout, même pas un alevin supplémentaire et fait deux poissons Il parait pas gros comme çà, il fit tout de même 7kg
  6. Tiens, j'ai jamais essayé cette methode
  7. Superbe cette carpe rouge, et bravo également pour le cobia On croirait l'eau verte de la Vendée(les bons jours!) J'attends le CR du marlin
  8. Je suis d'accord : un frein de moulinet se gère/règle, avant le tir. Ni trop serré pour ne pas se faire arracher le fusil des mains, mais suffisamment afin de freiner doucement le poisson et éviter les perruques Pour augmenter le frein on peut aussi mettre le fusil à 90° afin que le fil frotte sur la manille de tête, j'ai essayé sur le dernier voilier de freiner avec la main sur la bobine, je n'ai pas trouvé cela très efficace et puis on ne tient plus le fusil à deux mains En tout cas jolis ces moulinets Jager
  9. J'ai l'impression qu'à chaque vidéo je vois un nouveau fusil 😁 Sponsoring oblige? Perso, lorsque je trouve un bon fusil, je ne change pas avant 10 ans .....
  10. Ah oui, j'identifie immédiatement un tdc au fond même à plus de 40m, grâce au point blanc sur les scutelles de la queue, ça se voit fort bien. Je n'ai pas fait attention si l'espèce de fond en avait aussi
  11. L'année dernière ont commencé des soucis avec le démarreur(150cv yamaha), 200h au compteur donc comme neuf Le lanceur du démarreur(solenoide) a même fini par cramer, et comme il est scellé , donc pas vendu séparément , tarif du démarreur 800€ chez yam....300€ chez Acasto, un nom comme ça Je remonte le nouveau démarreur et rebelotte au bout de 15 jours, il ne veut plus démarrer régulièrement et nous a même fait une frayeur il y a quelques jours en mer lors d'une dérive. Après un tripotage , il redémarre et on a plus arrêté le moteur. Après vérification de la batterie , des fils, du démarreur, je ne trouve rien, partout le voltage est de 12.8volts J'appelle un spécialiste du circuit électrique et des démarreurs(si si, ça existe à Mada), et en 3 minutes il trouve la panne: c'était le coupe circuit général qui ne laissait pas passer assez d'intensité et qui avait donc aussi cramé le premier démarreur. On ne peut voir l'intérieur du coupe circuit et l'entretenir, donc recommandation: changer le régulièrement, le mien avait 4 ans ce modèle exactement, donc haut de gamme pourtant:
  12. Chez moi, la majorité des pélagiques se font à marée montante, avec un gros coef car cela engendre du courant et ils aiment chasser dans le courant, proverbe bien connu: pas de courant, pas de poissons! Et de plus, il est impératif que ce soit un courant de Nord, toujours chez moi, mais il faut aussi qu'il y ait de" la mange" Mais il m'est arrivé, une seule fois, de faire un doublé de tdc fin de marée descendante D'ailleurs à ce sujet, j'ai remarqué que la mange peut etre soit pleine eau et monter facilement, soit etre plus proche du fond. C'est dans le cas de mange pleine eau que je vois le plus de pélagiques, tdc/espadons/thazards.... Les fonds sur lesquels je chasse le pélagique, vont de 20 à 45m
  13. Je ne suis pas un grand spécialiste, mais je commence à en rencontrer régulièrement et je dois approcher la dizaine en capture dont 90% de gros. Alors comportemental, les tdc en chasse sous marine peuvent avoir deux comportements différents. Soit ils sont seuls la plupart du temps, soit ils sont par deux ou trois. Il se tient proche du fond la plupart du temps, quelques mètre au dessus. il peut alors soit monter voir le baron, soit l'ignorer complètement, ce qui se passe en général. Si jamais il est en pleine eau, oui il vient de suite au baron ou alors se laisse bien approcher
  14. L'année dernière, Eric a attrapé un tdc légèrement différent, que j'ai d'abord pris pour un thon obèse car justement l'oeil était plus gros et la dentition légèrement différente, trop parfaite, c'était un petit de 10kg
  15. Bienvenue sur le forum Belle présentation Le forum est fait pour discuter et apprendre, on apprend tout le temps en CSM L'idéal serait de trouver un bon chasseur qui veuille bien t'emmener et donc le suivre tranquillement pendant quelques sorties
  16. De jolies sorties, avec un joli carton de wahoos Dommage pour le marlin, il semble bien à portée de flèche
  17. je suis d'accord avec toi elinhan, sur Bruxelles/Maastrich que l'on nous a imposer. Mais pas sur une taille maxi, car il faut savoir que les tailles maxi sont ravalants, terme employé en vènerie pour signifier que les trés grands animaux(cerfs, chevreuils....) perdent leur qualité de géniteur(et leurs ramures). C'est idem pour l'homme ou le poisson, les ovules et spermatos sont nettement moins bons avec un age qui s'avance. Marc O devrait confirmer
  18. Les ligneurs ont bien le même point de vue que le mien, on ne pèse rien contre le lobby de la pêche industrielle
  19. Ceci c'est l'axe d'un moulinet red-tide 80. La vis inox qui relie cet axe à la platine a fini par céder sous la catalyse. je devais avoir ce moulinet depuis 4 ou 5 ans mais je l'avais acheté d'occasion. Il a donc plusieurs centaines d'heures d'utilisation et parfois intense Pour les minutieux, démontez et graisser une fois par an, ça évitera ce soucis
  20. J'ai essayé le moulinet au bras, mais ma conformation des biceps fait qu'il glisse tout le temps sur le coude Petitbras, c'est ma faute, le muzzlewrap, j'ai bien vu que le fil passait mal mais j'ai eu la flemme de tout défaire avec ces sandows bien raides à tendre
  21. Il est certain que nous chasseurs avons aussi un gros impact sur nos lieux de chasse, surtout la chasse à trou avec le bar et le sar. On peut grave ficher en l'air une belle zone de ragues, seulement notre impact est limité à notre zone de pratique. pas au reste des océans. Lorsqu'on voit les conneries monumentales débitées par le ministre de la pêche, les lobbys et les industries de la pêche ne penser qu'à continuer à se gaver, c'est d'une tristesse désespérante.
  22. CR du 15 décembre Départ 7h du matin de Tamatave. La marée descend jusque 10h, donc on n’est pas pressé. La mer est belle à très belle avec une toute petite houle de 70cm et la température de l’eau au dessus de 29° en surface, 27° environ au fond, bref l’idéal. On monte au nord, Nono qui m’accompagne a passé deux jours dans le sud pour pas grand-chose. Premier arrêt, la petite épave La Dominique posée à 32m. Le sondeur indique plein de poissons et effectivement c’est bourré de toutes sortes de poissons, mais pas de gros gabarits. D’abord, bien sur ce sont les carangues GT qui montent sous le baron, nombreuses, nerveuses et hélas toutes autour du kg. Ensuite c’est un banc de barracudas jello qui arrive, pas très gros non plus, j’en prélève un et Nono a des soucis avec son fusil. Ensuite, je descends admirer cette magnifique épave dans de l’eau très claire, c’est la première fois de cette saison que ça arrive ici. De belles carpes rouges tournent autour des mats, les plus grosses doivent bien faire 9kg, Nono arrive à en prélever une plus petite, perso pas encore chaud, j’ai du mal a atteindre ce niveau de 25/27m afin de pouvoir tirer. On a beaucoup de chance, il n’y a quasiment pas de courant donc on peut rester au dessus de l’épave en palmant doucement . A la troisième descente, bien préparé j’atteins le niveau de l’épave, les carangues m’entourent et au milieu un beau mérou marron me regarde arriver, je lui place bien la flèche dans la colonne au milieu du dos, mais encore actif, il essaye bien sur de rejoindre l’épave. Et là , problème, le fil s’est coincé dans les sandows, donc pas de moulinet . Je clippe la manille de mon moulinet de ceinture pour la première fois, mais voilà, j’ai mal monté le moulinet et le fil se prend régulièrement sur la manivelle, au bout de trente secondes pénible, je comprends la méthode afin qu’il fonctionne, faut que j’écarte le fil avec un doigt et ainsi il peut se dérouler. Seulement je suis à bout de souffle, je n’en peux plus, je pense à larguer ma ceinture. Nono arrive à ce moment et me prend sous le bras pour m’aider à remonter. Merci Nono ! C’est un rare mérou taches de rousseur de 14kg que j’ai harponné, rare car s’il est très courant dans le corail à quelques mètres de profondeur, dès qu’il atteint le kg, il descend dans les fosses jusque plusieurs centaine de mètres de profondeurs. Lorsqu’il est petit, on le surnomme mérou couillon…. Je suis mort et me repose sur le bateau pendant que Nono s’acharne sur les carpes rouges vainement. Spot suivant, la cassure du plateau qui passe de 20 à 30m. Un peu de poissons au sondeur et lorsque j’arrive au dessus de la cassure, je constate un banc de chirurgiens de belle taille. Aussi sec, surgit un thazard, je descends doucement, il tourne à 10m de mon baron et je finis par le rattraper, la flèche bien placée lui casse la colonne vertébrale, il gigote violemment de la queue mais sans avancer. Et voilà un thon blanc dans le bateau en moins d’une minute. Nono descend sur la cassure et fait une babonne, à la remontée il croise un gros thazard. On insiste un peu mais plus rien dans cette eau agréable à chasser, un paradis tropical, chaude et claire. Le spot suivant c’est le banc Rangazava. Je ne sais pourquoi mais je prends le 125 et pas le 150, d’habitude c’est trouble car on est proche de la cote, mais là on voit le fond dès que l’on a franchi le premier mètre de la surface. Un très gros thazard se pointe aussitôt, tout doucement vers les 15m, je descends très doucement aussi pour lui barrer le passage, il s’arrête presque, je pense que je suis à bonne portée, mais la flèche s’arrête avant de le toucher, donc il est à plus de 6m. Nono qui a suivi l’action me dit qu’il atteint les trente kilos. J’ai commis deux erreurs sur ce coup, d’abord je n’ai pas le bon fusil et ensuite je n’ai pas regardé sa pupille, j’aurai su qu’il n’était pas à portée, sa grosseur m’a trompé, mea culpa. Nono fera une autre babonne au bord des ragues. Spot suivant, rien. Direction le banc du large car il est maintenant onze heure et la marée remonte. Les deux spots sur ce secteur sont absolument vides, aucune vie. Nono fait tout de même une plate noire venue gober les tripes des poissons précédents. Direction le large. On est dans le grand bleu, 40m de visibilité facile. Au second point, je jette le baron avant de me mettre à l’eau, saute dans un grand plouf à l’eau et vois un espadon voilier me passer sous les palmes et passer sous le bateau. Je le poursuis illico sans prendre la moindre goulée d’air, je parviens à le rattraper en une dizaine de mètres et lui place bien la flèche. Il démarre mais doucement, j’ai atteint la colonne vertébrale. Par petites saccades, il me prend 100m sur le moulinet puis le sentant fatigué je serre à fond le frein du moulinet et il me tire doucement pendant encore cinq minutes. Nono se met à l’eau et je commence à ramener le fil par brassées, une fois que le voilier est bien fatigué. Nono lui loge une flèche en pleine tête qui l’achève. On continue sur deux autres points de cette ligne du large juste avant le tombant des 100 à 1000m, je ne tire qu’une dorade coryphène, que je laisse tourner car une seconde se frotte à elle et appelle Nono pour qu’il puisse la tirer, mais la mienne finit par se déchirer, le dyneema l’a découpé proprement car elle était sur le fil. Dernier spot le coin au TDC. Nono est fatigué et reste sur le bateau, à la première descente un beau thazard vient me voir, fatal pour lui, la flèche lui touche aussi la colonne vertébrale, comme mes autres tirs aujourd’hui et en deux minutes il est à bord du bateau. Retour au bercail, la banane aux lèvres, il est quinze heures, 8 heures en mer et 6h dans l’eau. Une journée pleine de réussites, enfin !
  23. Ici, dans l'eau claire, on tire les pélagiques à 90% du temps à 5m, lorsqu'ils se laissent approcher à cette distance, c'est à dire moins de une fois sur 3 ou 4 pour les thazards un tir entre 4 et 5m c'est déjà beaucoup plus rare, mais ça arrive plutot avec les carangues, mais pas les thazards et plus près c'est exceptionnel. Pourquoi? par ce qu'il y a énormément de chasseurs et donc le poisson connait la distance d'un fusil et que l'eau peut avoir jusque 50m de visibilité, donc ils ont parfaitement identifier le danger la plupart du temps, la preuve mes deux collègues n'ont pas réussi à en approcher un seul, moins affutés que moi(en toute modestie) Ensuite, ce qui est classique pour le poisson à doubler, c'est qu'il s'écarte au fur et à mesure que l'on descend et s'approche. Il tourne avec le fil et tente de rester à 5m. Je me souviens d'un louper monumental de ma part, sur un marlin d'une soixantaine de kilos tiré par un copain, pourtant il y a de la place sur un marlin, bon ça remonte à presque 40 années....
  24. Non, non, ce sont des petits bateaux de l'ordre de 9 à 14m qui posent ces filets dit à soles, en réalités pour les bars, et ils se positionnent parfois très près du bord Je suis monté sur divers bateaux de pêches et parti une journée sur chacun d'entre eux: fileyeur, palangrier, bolincheur, chalutier à soles, dragueur coquilles et petoncles et dernièrement caseyeur à crabes girafe. J'ai aussi travaillé pour le centre de marée des sables d'olonne en tant qu'indépendant artisan et j'ai encore pas mal d'amis pêcheurs pro : sardinier, longliner thons et légines. J'ai aussi participé au dépeuplement de la mer(mea culpa) , même si ma modeste contribution dans ce domaine reste marginale, je le reconnais, le plus destructeur reste pour moi les chalutiers pélagiques et aussi ceux de fond qui même s'ils sont dix fois plus petits, causent d'énormes ravages sur la faune et la flore avec des tonnes de rejets à chaque trait
  25. J'ai bien compris votre raisonnement, et donc je ne sais s'il avait bien mis la longueur de fil sur le largue-fil. mais je l'ai vu descendre pour doubler mon poisson, le toucher à peine à 3.50m de la pointe et remonter avec une grosse perruque sur le moulinet et ....mon thazard se barrer furieusement 🤥
×
×
  • Créer...