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Grandpère

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Tout ce qui a été posté par Grandpère

  1. Vas-tu appâter de la même façon ? En ce cas n'oublie pas le papier hygiénique. Parce que tu te muniras d'un pince-nez. Belle prise. Dommage pour la "pelote". Seul un enroulement à spires croisées remédierait à cela mais quid du prix d'un tel moulinet (si cela est techniquement possible à l'instar des moulinets de pêche classique qui évitent les "perruques")
  2. Chochote !!! Fais donc un peu de musculation, ça ira mieux et tant que j'y suis, apprends à viser. Pour un peu on croirait voir mon alter ego : une p'tite nature fragile et myope.
  3. Grandpère

    Visi 22

    Bravo Dominique. Superbes clichés en couleur. Ici ce ne serait qu'en noir et blanc.
  4. Mercredi prochain après 04 jours de vent E.NE il n'y pas de fortes houles annoncées. Pour autant, je ne tenterai pas le coup et pourtant je ne suis pas timide ( mes binômes pourraient te le confirmer). En effet, en raison des fortes marées l'eau risque d'être sale et les courants, à la pointe, risquent de t'envoyer soit à ST NAZAIRE soit à OLERON selon les horaires. A mon humble avis, ce ne sera guère mieux si tu sors à la côte.
  5. Prendre la combinaison, la mettre dans la machine à laver. En fin de lavage mettre l'essorage à fond. Laisser sécher. Repassage à fer très chaud. Suis certain que tu auras une combinaison toute neuve en 2020. Plus sérieusement : Rinçage à l'eau claire pour tout le matériel et stocker au sec à l'abri de la lumière. Pour la combinaison : Petit passage en machine avec un adoucissant programme "textile délicat" .............................sans essorage !!!!! Suspendre sur cintre large au sec et toujours à l'abri de la lumière. Arbalète : Laisser tremper les crosses dans de l'eau claire, rincer en pression, laisser égoutter et sécher avant de pulser un peu d'huile pour arme dans la cassette. Si cela peux servir sachant que tu auras autant de conseils différents qu'il y a de CSM. P.S : Jamais de graisse dans les cassettes des arbalètes sinon le sable va s'y amalgamer et détériorer le mécanisme.
  6. Une copie de ce que je viens d'envoyer : Magnifique exemple d’écologie que de proposer la pêche au chalut pélagique sur le plateau de Rochebonne entre le 1er décembre 2019 et le 31 janvier 2020. En effet, il apparaît indispensable de persévérer à soutenir ces pêcheurs pélagiques dans leur lutte contre la prolifération d’espèces invasives tel le bar commun (Dicentrarchus labrax) En conséquence, il faut saluer et applaudir les pressions déployées par les lobbyings des pêches industrielles. Ils portent leurs fruits ! En effet, la raréfaction du bar commun joyeusement massacré en période de reproduction sur leurs lieux de fraie en est l’un des exemples les plus significatifs. A n’en pas douter il faut soutenir l’effort d’extermination de masse entrepris. En conséquence, donnons libre accès aux îlots de résistance halieutique qui étaient encore interdits aux écumeurs industriels. Ô combien lumineuse et stratégique cette politique de razzia ! Quasi génocidaire celle-ci épargnera bien sur les dauphins ou autres cétacés, mammifères doués de discernement comme chacun le sait. Ils se garderont bien de se faire prendre au piège des filets. Par ailleurs, les autres espèces marines déclinantes dont il est connu la surabondance passée, auront sans doute retenu la correction infligée par les pêches électriques, les sennes danoises et autres et se tiendront à distance de ces navires régulateurs d’espèces en voie de disparition/raréfaction. Ces populations fantomatiques se tiendront, nul n’en doute à l’écart de ces chalutiers qui n’œuvrent qu’à leur seul profit pour le bien des générations à venir qui, grâce à eux, n’auront plus à se préoccuper des ressources marines. En conséquence, il faudra derechef se pencher sur des méthodes plus efficaces afin d’éradiquer la vie marine et sous-marine qui sévit sur le plateau de Rochebonne à l’encontre de toute bonne philosophie mercantile et consumérisme Par ailleurs, L’IFREMER institut relevant ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie et du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche mais à caractère industriel et commercial, produira, personne n’en doute, une étude sérieuse concernant la pêche au chalut pélagique sur le plateau de « Rochebonne » En conclusion, je précise pour ceux qui ne l’aurait pas encore compris , en l’espèce ceux qui vont affirmer que cette mesure destructrice serait une bonne chose que je suis totalement opposé à la mesure envisagée qui, il faut le noter ne semble pas ébruitée auprès du public ou si peu.
  7. Non, non, pas de souci en dépit des conditions disons........viriles mais sans danger.
  8. Petits CR du week-end. (Z'avez vu c'est au pluriel) Hier, du côté de Préfailles, profitant du peu de vent................. (guère plus de 40 km/h) et de houle............. (Pas plus d' 01.00 mètre mais pas moins) , je me suis jeté à l'eau. Le séjour fut court.....14h30 à 18h30. (Basse mer : 16h00) Si je compte encore bien cela doit faire 04h00 à mariner. Comme le temps passe, je ne m'en suis pas rendu compte, trop occupé sans doute à ne rien faire. Les goélands me survolaient avec insistance. Certainement afin de voir qui était le fou non ressortissant de Bassan (Je sais, c'est mauvais mais moi, ça me fait rire) qui trempait ainsi dans cette petit lessiveuse. Pour autant, à ma grande surprise, l'eau était claire. Je distinguais nettement les différence de fonds (sable/ roches végétalisées) jusqu'à 06m. A la première apnée, un beau mulet s'absente définitivement du banc qui me tournait autour. Les rescapés ont dû sonner l'alarme car durant plus de 03h00, je n'ai plus rien aperçu. Ce n'est qu'au retour que je découvre un petit groupe de lieus portions dans un couloir sablonneux entre deux aplombs de roche. Je prélève un individu de 35 cm et fait retour à la côte. En effet, il est l'heure de regagner mes pénates. Assez satisfait du résultat de la veille, je ne fais pas allusion ici au résultat de la pêche mais aux conditions de visibilité , je me dit : "Pourquoi pas ne pas tenter le plein à 10h00? ""Aléa jacta est" comme le disait Julot de Rome. Allez, j'y vais. Départ à 07h30 pour un lever à 06h30 ce dimanche matin. (Ca mérite un César un tel courage, non ?) Ah oui, mais .......!!!!! Pas pareilles les conditions. Sur le spot, avant de m'habiller et de m'aventurer dans ce qui ressemble à des montagnes russes, je m'interroge sur le bien fondé de ma présence matinale. En effet, les goélands volent à reculons et la houle est une succession de jolis toboggans dont la hauteur varie de 01.20 m à .1.50 m. A l'issue d'une courte analyse, il apparaît que : ---- La mise à l'eau et la sortie se font sans aucun danger dans une crique large et sablonneuse à l'abri des vagues. ---- Il n'y a aucune falaise, aucun récif affleurant là où je veux me rendre. ---- Le courant sera faible (44 de coef) ---- Pépère, bien que n'aimant pas les danses de salon va valser et s'initier au tango en même temps (03 coups de palmes en avant et deux en arrière) durant la session...... s'il ose se mettre à la baille. Ben......! Le vieux fou l'a fait de 08h30 à 11h30. Tu parles d'un tour de manège, une vraie fête foraine..... Bon, durant les 90 premières minutes cela a été tout à fait chassable. La visibilité m'a permis d'utiliser le 90 et de trucider 02 lieus de 40 cm, de rater un mulet inratable et de voir un bar de 02 kg environ qui reluquait mes palmes tandis que j'étais couché l'agachon. Je n'ai pu le tirer. En effet, à ce moment là, mon bras gauche enlaçait une grosse pierre afin de me cramponner et combattre les effets de cette houle pernicieuse tandis que le bras droit braquait l'arbalète devant moi. C'est en fin d'apnée que, me retournant, j'ai vu Monsieur Labrax qui s'en allait bien tranquillement dans mos dos. Le temps que je ramène le fusil dans l'axe le camarade écaillé avait disparu dans le jaune. J'ai lâché la tahitienne à l'aveugle mais rien, pas même une écaille. Les conditions de visibilité se dégradant, j'ai troqué le 90 contre le 75 et j'ai chassé, bien balloté, dans le pastis durant 01 heure et demi, sans rien voir ou si peu. Quelques ombres fugaces et impossibles à aligner. En conséquence, l'environnement étant devenu franchement défavorable à pratique de la chasse, j'ai regagné le bord sans trop de difficulté. Enfin pas plus que celles d'un "cow-boy" chevauchant un mustang sauvage. Pour autant, les deux cents derniers mètres furent tranquilles dès lors que j' étais à l'abri de la crique ou j'ai mis pied à terre bien sereinement.
  9. Sur quel secteur ? (S'il vous plait poliment ) Cela m'évitera de faire du kilométrage pour rien. (Merci très beaucoup)
  10. Nan ! Je n'ai jamais trempé mes palmes dans ce coin.
  11. Je précise à Elinhan que je n'y suis pour rien, je ne connais pas l'endroit.
  12. J'aime tout, suis polycarburant. Pauvre Emile, nous lui pourrissons le poste. Il va finir par se mettre à boire et devenir comme nous le pauvre.
  13. Excellent choix mais je n'allais pas tous les citer. Pour être plus sérieux : Les régimes dits sportifs sont, à mon avis, destinés aux "pros" et ne sont pas spécialement réjouissants pour l'âme. Je ne suis plus tout neuf mais en revanche ( j'écris sous le contrôle de mes jeunes camarades de chasse) je possède une assez bonne endurance, sans doute grâce à la course à pied. De là à dire que la CSM et la course de fond nécessitent les mêmes qualités foncières et obligations alimentaires, il y a un pas que je franchis mais sans être certain de moi. Pour autant, et à titre d'exemple à contrario à propos des régimes spécifiques, lors de mes préparations "semi-marathon" (- de 02h00) je mange et picole m'hydrate normalement (Allez y, lâchez vous !!) et réalise sensiblement les mêmes performances que mes coreligionnaires pédestres qui s'astreignent à un régime de spartiate un mois avant la course. Sur le net ou en librairie, tu trouveras tous les régimes adaptés aux sports d'endurance. J'ai même quelques recettes en stock sachant que le plus dur n'est pas de cuisiner mais de réunir les ingrédients ad hoc dont certains sont plus difficiles à trouver que de la poudre de "perlinpin". Je conclurai en citant un médecin du sport de mes connaissances : ""Ne pas faire d'excès, manger de tout un petit peu et tout ira bien"
  14. Moi je dis qu'avec un bon cassoulet ou alors pour les estomacs délicats, un confit de canard avec patates sarladaises accompagnés d'un Faugères ou d'un Fitou bien charpenté pour arroser le tout, tu as tous les nutriments qu'il te faut pour tenir la marée et avoir des apnées du Feu de Dieu. Bon, à la rigueur du pâté de ragondin façon "Tatosan" ça le fait aussi.
  15. Merci pour les infos et bravo pour les prises aussi variées que goûteuses.
  16. Mais....mais...... qu'est-ce que nous avons été baguenauder dans l'archipel la semaine dernière ? Bravo ! P.S : Non, non vraiment heureux d'avoir découvert ce site superbe.
  17. Je les pêche à la mouche enfin sur 03h00 :.......10' de pêche et 2h50' à décrocher les mouches des arbres. Beau poisson, tu as raison Edouard, félicitations au pêcheur chasseur.
  18. Oui mais, arrosé avec quoi ? Pas avec de l'eau j'espère ! P.S : Belle pièce, vraiment.
  19. Qui cela peut-il être ? Je ne vois personne correspondant à cette description. Un amateur de filets de vieille panés/poêlés !!! Un psychopathe, surement !
  20. Ca marche pour moi quand bien même je ne suis pas un "extrémiste".
  21. Si d'aventure tu voulais embarquer un p'tit vieux, je suis partant. Pourquoi ne pas faire une session avec les "affreux Jojo" qui ont dernièrement profité de notre absence pour aller au bar et à la daurade ?
  22. Une très belle chasse décrite par un texte bien agréable à lire.
  23. Trop loin pour moi et surtout un emploi du temps trop serré. En effet, il est prévu de longue date une soirée conviviale avec sans doute en prime une "marée haute coeff :+0.5G/L " (mais je ne piloterai pas.) Je vous souhaite une bonne journée.
  24. Quand ? On vous le souhaite mais n'oubliez pas............... le pt'it vieux et l'exilé chartrain !
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