Grandpère

Je confirme............................gamin ! Sinon, très belle pêche et beau moment d'amitié.

L'eau est toujours claire mais pas vu d'écailles en âge d'être sacrifiée durant les 04 heures de temps que j'ai passé à barboter (qui vient de dire à radoter ?)

Désolé, impossible de me dégager un créneau.

Ouais, bof ! Comme d'hab quoi ! Vais pas lui faire de compliment, il sait ce que j'en pense depuis sa sortie d'hier. P.S : Magnifique..........ne te fais pas d'illusion, je fais référence à la pastenague la mobula (Merci Rouget !)

D'autant plus que j'ai la haine tenace, je vais pas le lâcher le sniper.

Bon ! Toi, tes poissons, tes apnées de dauphin et tes tirs de l'impossible, vous me faites, au pauvre chassouilleur brocouilleur que je suis, le même effet qu'à ton pneumatique : Tu me gonfles !

A quand même ! Conterais-tu te reconvertir pour ta retraite et installer un vivier à homards ? Impressionnant !

Ce n'est pas toi ! Impossible ! En effet, regarde bien, le chasseur a la taille fine, la cuisse musclée, le ventre plat, les pectoraux développés, le biceps avantageux. Conclusion : C'est moi qui tient ton poisson ! P.S : Oui, je confirme ce que mes deux jeunes camarades ont dit : l'eau était claire hier. J'espère qu'elle le sera cet après-midi, j'y retourne à la palme.

Ton 75 sera tout à fait opérationnel sur le coin. Un moulinet (on en trouve pour 20 euros) ne sera pas inutile. En effet, eau sale et courant peuvent entraîner la perte d'une arbalète enraguée. Ce serait dommage.

Les deux se feront avec grand plaisir également.

Désolé de ne pouvoir t'accompagner, je serai absent cette semaine là. Toutefois, peut-être le lundi matin 15 ? De toute manière, le terrain de jeu est bien assez grand. Tu le constateras par toi-même. Il n'y a que l'embarras du choix et les accès y sont des plus aisés. Permettant même le mixte "plage Mme et Enfants/Papa plongée" Le poisson est tout aussi bien en côte qu'au large. A cette occasion, il est préférable de sortir le matin quand les "autres" font la grasse mâtinée sous peine de chasser dans les piscines que deviennent certains spots ultra-fréquentés. Tu trouveras pas mal d'infos sur "Visi 44" . N'oublie pas le 75, le 130 ici............ça fait rire le poisson.

Les eaux du 44 ne te manquent pas ? Non ! Vraiment ?

J'ai eu de la chance (Pour une fois) et merci à tous mais arrêtez, je rougis de confusion. Tato, bisous à "Poulette" et n'oublie pas de t'arrêter de temps à autres, la cave n'est pas encore vide.

Attention, ne vous faites pas avoir ! Ce garçon n'a que des défauts : Il est grincheux, ne rit et ne plaisante jamais. Mauvais chasseur, il vous piquera tous vos points GPS et tentera de subtiliser vos prises. Il boira toutes vos bières quand vous serez dans l'eau. Il profitera de cette occasion pour vous jeter des galets(1) sur la tête lorsque vous serez en surface. Par ailleurs, il n'aime pas les p'tits vieux et je ne sais vraiment pas pourquoi. (1) Il s'est en muni au préalable, ils seront dans sa glacière en lieu et place des bières qu'ils vous a promises. P.S : Eric ! Mickaël et moi sommes impatients de connaitre tes mésaventure insulaires et savoir si quelqu'un a osé t'inviter.

Idée et réalisation signées "Poulette" du forum alias Mme Tatosan. Non, j'étais à jeun. Pas bu une goutte depuis la veille au soir Me suis décidé hier dans la soirée. Peut-être vendredi ? Merci ! Quand reviens-tu par ici ? Nous pourrons refaire une sortie.

Merci ! Le dessin est de Mme TATOSAN. Il tient depuis 02 ans. Mon nom , adresse et N° de Tel sont inscrits sur ma planche.(C'est vrai) ainsi je les ai sous les yeux et ne les oublie pas ce qui ne manquerai pas d'arriver si c'était sur les palmes. Merci mais il y a toujours une part de chance.

Ce matin, c’est bien esseulé que je prends la direction de la côte. En effet, mon petit camarade de jeu est au travail tandis que je profite paisiblement de ma retraite * Enfin, quand je dis « petit » c’est une boutade, attendu que 03 G.Père = 01 R.Shoot. En conséquence, c’est en solitaire que je me jette à l’eau aux environs de Pornic. Il est 09h30 et c’est parti pour 04 heures de déambulations subaquatiques. La visibilité est exceptionnelle pour le site. Elle flirte avec les 05 mètres par endroit et ne descendra pas en dessous des 2/3 mètres. En revanche, il y a de nombreuses particules en suspension, imitées en cela par des myriades de petites méduses, ombrelles diaphanes aussi transparentes qu’urticantes. Je ne sais par quel miracle j’ai réussi à sortir indemne de leurs nuages opalescents. Je vagabonde sur des fonds de 03 à 08 mètres sans rencontrer âme qui vive dans un désert à 13° au plus creux. Pas un poisson ! Rien ! Même les mulets d’ordinaire bien présents sur le coin sont aux abonnés absents. La bredouille est plus que certaine…….encore une fois. Je désespère. J’indienne et agachonne depuis 03 heures sans réussite. Allons, il va être temps de faire demi-tour et de rentrer " gros jean comme devant." Le courant se renverse et forcit, la planche se fait plus lourde à tracter. Je décide de l’ancrer et m’en éloigne d’une centaine de mètres afin de revenir sur elle en dérive. Première descente. Le fond est à 08 mètres. Je me cale dans une bauge de graviers, sable et galets incluse dans un socle rocheux parsemé de laminaires rachitiques qui ondulent sans conviction dans le courant. Je précise qu’ils ne sont pas les seuls à être sans conviction. C’est un peu désillusionné que je tends le bras, visant l’opacité du lointain quand des formules 01 surgissent devant moi, freinent hors de portée de tir et m’observent. Il n’y a pas 20 secondes que je suis posté sur le fond. Des bars….ronds, gras, étincelants mais……inaccessibles. J’attends. Eux aussi. Ils tournent, sioux prudents et craintifs. Il faut remonter. La légère impulsion du bras gauche sur le fond me sort de ma baignoire sans brusquerie. Les poissons s’éloignent sans précipitation. Surface. Je me cale dans le courant et palme doucement avec toute la discrétion possible afin de rester sur place. Je me ventile et redescends. Las, je ne suis plus au même endroit. J’ai dérivé de quelques mètres. Je me colle sur le fond entre deux pierres. Je ne suis plus du tout sans conviction. Plusieurs dizaines de secondes après, deux gros mulets surgissent. Je les ai en ligne de mire mais les ignore. Grand bien m’en a pris car le temps de le dire et des silhouettes plus larges se profilent, viennent vers moi et m’offrent leur flancs. Le banc de bars est là. Argent vivant dans le soleil auquel je tourne le dos. Les sandows claquent. Un joli poisson est sur la flèche. Il prend un peu de fil et se rend sans difficulté. Je retourne à la bouée afin de l’y accrocher en ayant, auparavant, pris des amers. Pépère a une idée derrière la tête. L’accroche-poisson migre de la planche vers ma ceinture. La bouée va me servir d’amer, elle aussi. Je retourne sur le poste, du moins approximativement. Je me coule dans une dépression entre deux têtes rocheuses. Je suis sur 06 mètres quand un banc de petits bars m’entoure. En limite de tir, l’un d’eux semble correct. Je lâche la tahitienne. Elle atteint son but mais je suis désappointé. En effet, le gibier est à la maille mais pas plus. Le temps de démailloter la proie, d’abréger ses souffrances et de réarmer, je suis à nouveau déporté hors zone. Ne doutant de rien, j’y reviens plus motivé que jamais. Enfin, j’y reviens ou pas puisque je ne reconnais pas le paysage. Je suis posé sur un plateau rocheux désert et dénudé. A 01’10 ‘’tandis que j’étais occupé à regarder ma montre un aréopage éclectique de bars de toutes tailles m’environne. Trop loin ! Je ne peux tirer et j’attends un peu, seulement un peu puisqu’il me faut absolument remonter. Cela se fait en douceur sans effaroucher le banc outre mesure. En surface, j’essaie de ne pas quitter la zone. Je glisse à nouveau vers le fond où je constate que j’ai dérivé de quelques mètres, peut-être une dizaine. Calé entre deux gros blocs de pierre arrondis, par 08 mètres de profondeur, je suis mussé dans une tranchée de sable de 02 mètres de large. Je braque l’arbalète sur la crête de gauche et ne bouge plus. Ils arrivent. Un banc entier de bars tout à fait respectables. Certains sont à distance de tir. Ils évoluent prudemment mais sans nervosité excessive. Deux silhouettes plus massives se profilent au fond. Elles changent de cap, se dirigent vers moi puis, virant de bord, m’offrent leurs flancs. J’ai choisi, le plus gros. (Vieux, d’accord mais pas encore complètement débile). Je déclenche le tir, la flèche touche et le moulinet grogne ** Le quota est atteint, l’heure de sortie annoncée à G.Mère est plus que dépassée. Il est temps de rentrer. Heureusement que le courant me porte à mon point d’abordage. Je sais que certains seront navrés. En effet, une légende tombe. Pépère ne tue pas que des vieilles ! Bilan : 01 bar maillé – 01 bar 2,300 – 01 bar 2,500. Et c’est GMère qui a vérifié*** *Pas méritée ! Qui a trahi le secret ? ** Je sais, les vôtres sifflent mais moi, c’est un vieux et bas de gamme…..comme moi ? Oui, oui, je sais aussi ! *** et qui n’a pas râlé en raison de mon retour tardif ! P.S : Pas le temps de corriger les fautes. Désolé (Même pas vrai) Afin de me faire pardonner, je joins une petite photo.

Pour la pêche et plus encore pour le C.R. Pas de "temps perdu" une vraie madeleine (pur beurre breton) à déguster sans modération ce récit.

Un vieux grincheux se prénommant Philippe ne peut être que quelqu'un de bien, de très bien même................................du moins à mon humble avis.

Madame qui aime tant les crevettes bleues a, sans aucun doute, été ravie.

Secteur Piriac de 14h35 à 18h06 (Ca c'est de la précision, hein ! Et encore je me suis arrêté aux minutes) Visibilité : N'hésitez pas ! Au bord c'est un lagon mais un peu plus au large (25 mn de palme pour rejoindre le spot) l'horizon subaquatique est bien de 04 mètres. Sur 08 mètres l'eau est à 15/16°. En surface de 0 à 04m c'est beaucoup plus chaud. Pas beaucoup de vie. Du petit bar et quelques mulets. J'ai prélevé une araignée, un beau tourteau et un mulet d'un bon kilo. Au cours demon parcours de nage, masque enlevé alors que je n'étais aucunement en action de chasse, je me suis fait prendre à parti par un pêcheur pro. Il mouillait ses lignes à 30 mètres sur ma gauche. Il paraît que je lui manquais de respect en passant si près et que le bruit de mes palmes effrayait "ses poissons". Il aurait voulu que je fasse un bon détour à contre-courant pour la sérénité de "ses poissons". En revanche, le bruit que lui faisait en mettant ses lignes et bouées, sans compter celui du moteur ne devait pas être audible. Soit, je n'étais pas à 150 mètres (*) de ses engins qui n'étaient pas encore en action de pêche mais quand même, il y a la lettre et l'esprit des lois. Je ne faisait que nager (*) sur ma planche en prenant le chemin le court afin de rallier le site de chasse situé 500 mètres plus loin. (*) Le texte de loi interdit la pêche à moins de 150 m des engins balisés et des bateaux de pêche. Il n'interdit pas la nage à proximité. Ce qui n'est pas expressément interdit par la loi n'est pas prohibé.

Facile, quand le "chat noir" n'est pas à bord !

Marc, te voila proctologue maintenant ! Pauvre bar, il a été surpris par l'opération. Il en reste bouche bée .

J'ai un J.Gun roller en 95 avec flèche à ergots. J'ai remplacé le dyneema d'origine qui s'abîmait assez vite (2 ou 3 mm il me semble) par du 1.5 mm blanc enduit (D4, Nootica, Vieux papy Plongeur, etc....) Je n'ai plus eu de souci. Vérifie tout de même si les ergots de flèche ne sont pas une abrasifs, au quel cas, il suffirait de les adoucir comme il se fait pour les encoches. Maintenant, je veux bien changer le dyneema tous les deux ou trois tirs si je ramène 03 bars à chaque sortie. Par ailleurs, je te rejoints sur la qualité du Jos-Gun. J'en suis ravi même si je joue parfois à "Papy l'embrouille" lors du rechargement. Eric, je suis vraiment désolé, le "95" n'a tapé que du mulet et de la vieille sur des tirs de loin mais je ne désespère pas. Le plus drôle c'est qu'il y a 04 jours j'ai fait un bar de 03 kg avec ma vieille........canne à pêche 92 cm simple sandow. (Je l'utilise de temps à autres pour ne pas la vexer)