Grandpère

Tout a été dit supra concernant la visibilité, la température et la vie. Pour autant, rien ne m’empêche de relater les mésaventures qui me sont advenues hier. Rassurez-vous, je vais faire court, enfin, pas trop long. :D Figurez-vous que « Mich 44 » se piquant de gérontologie a de nouveau convié « pépère » à son bord. C’est donc aux environs de 09h30 hier matin que nous réalisons notre première apnée au large de La Turballe. Arrêtons-nous un instant afin que je vous décrive l’équipement pour le moins hétéroclite de l’un des deux chasseurs. Tâchez de deviner de qui il s’agit, de Romain ou du Vieux ? L’un de ses pieds est glissé dans le chausson 40/42 d’une palme carbone dont la jumelle a défunté en novembre dernier. L’autre « panard » quant à lui nage dans la charentaise 44/46 d’une palme H.Dessault dont la paire fut acquise en 1976. Il doit être ici indiqué que le recours à un fixe-palme a été nécessaire, le dit « panard » pointant au 40/41 fillette. Le résultat de ce panachage improbable et pour le moins étonnant, donne une allure de nage fort peu académique, hésitant entre valse lente et rock endiablé pour ne pas dire salsa arythmique pour peu que le courant forcisse. Quant au nageur, vous aviez bien sûr compris que c’était l’ancêtre qui était ainsi affublé, il avait le sentiment d’avoir une jambe de bois greffée d’un mol appendice (G.Mère précise que ce n’est pas qu’un sentiment mais une réalité n’ayant rien de virtuel et aucun rapport avec une jambe de bois ) Pourquoi ce curieux harnachement ? Tout bonnement un petit souci avec les nouvelles palmes récemment reçues et réexpédiées pour réparation. J’ai espoir de les recevoir sous 05 jours et de retrouver une nage plus conventionnelle et appropriée à notre sport. Cela aura au moins eu le mérite de bien fait rire mon petit camarade qui toutefois eu l’élégance ne point trop se gausser du vieux. Ne croyez pas qu’il s’agisse là d’une marque de respect envers un petit vieux fragile car le bougre n’a pas hésité un instant à se moquer quand, alors que nous devisions ancre dûment frappée sur le fond, un paquet de mer tendit l’amarre, chahuta l’embarcation et propulsa « Pépère » les quatre fers en l’air, cul par dessus bord. Je peux vous assurer que la première chose que j’ai entendu en remontant en surface, crachotant et pestant, c’est un rire inextinguible et une série de persiflages sur les personnes du 3 ème âge et leurs prédispositions nautiques. Bon, dans tout cela me direz- vous, qu’en est-il de cette journée de chasse au large dans une eau à 12° et une visibilité de 3 mètres environ ? Vous avez raison, voyons cela de plus près : Sur le premier poste visité vers 09h30, la vie est absente. Sur le second je verrai quelques petits labres et une aiguillette. Connaissant mes goûts pour les fonds rocheux et tourmentés, mon capitaine nous emmène sur un 3 ème site, superbe visuellement mais hélas tout aussi désertique que les deux premiers, au grand désarroi de mon mentor qui espérait y voir de beaux poissons. A la 4 ème station, nous ancrons sur un fonds rocheux semé de laminaires. Romain s’éloigne du bateau tandis que « Pépère » s’équipe avec une lenteur empreinte de célérités spasmodiques avant de s’immerger juste sous la proue du S.R où un lieu du kilo, sans doute intrigué par l’aspect incongru du visiteur vient dire bonjour. Le pauvre a payé très cher sa curiosité. Le plateau rocheux est truffé de trous et de failles. J’y verrai deux superbes homards impossibles à prendre. D’une part en raison de la configuration de leurs tanières noires, profondes et inaccessible pour le chasseur et d’autre part en raison de la présence de cerbères serpentiformes à grosses mâchoires rédhibitoires pour mes phalanges. Pour autant, c’est dans l’une de ces caves que je vois deux silhouettes argentées. Les jumeaux « Labrax » y ont élu domicile. Las, le temps que j’engage le « 93 » ils disparaissent sans trop se presser par la porte de derrière. Patience me dis-je, ils n’ont pas été effrayés. Je veux leur laisser le temps de revenir. Ça pour leur avoir laissé le temps, ils l’ont eu. Une demie heure de recherches avant de trouver cette :badw: de rague que je n’avais pu marquer. Cette fois, je prends la porte de service. Les deux frères sont là à me regarder, un peu nonchalants et dédaigneux. Grave erreur ! L’un des jumeaux reçoit l’inox pleine face, le rocher caché par le noir également. Résultat, un poisson d’un bon kilo et demi :) et une tahitienne en « S » majuscule. :blink: Le bateau étant un peu trop loin, j’ai la flemme d’y rechercher une seconde arquebuse. Je redresse quelque peu l’acier. Enfin, de la majuscule cela passe à la minuscule et je continue de farfouiller dans le chaos des roches. Sous trois mètres d’eau, la tête en bas, les palmes pointant vers la surface, le bras armé à la perpendiculaire, j’enfourne la tête dans une rague ensoleillée. Un œil rond m’y épie. Son propriétaire, sentant le danger venir tandis que je tente d’orienter l’arbalète vers lui, se détourne et s’escampette sans trop de précipitation. Croyez-moi, je ne suis pas déçu, mais alors pas du tout d’avoir ainsi laissé échapper un bar de 04 kilo pour le moins. :fffff: Si peu déçu que quelques instants plus tard je passe mes nerfs sur une grosse rouge venue me narguer et se moquer de moi de cette occasion ratée. Romain est tout aussi marri que moi. Je pense qu’il aurait eu davantage plaisir à faire prendre un beau poisson au grand-père que de le flécher lui-même. (Heu…le poisson, hein, pas le G.P). Cette désillusion l’a certainement travaillé. En effet, au dernier spot, tout à ses pensées moroses, il jette sa ligne de bouée à l’eau avec, en prime, mon tuba qui coule à pic après quelques secondes d’hésitation. Je ne lui en veux aucunement d’autant plus que mon compère désirait me montrer l’un de ses trous à bar…….qui sera vide de tout locataire, hélas. Ah, j’oubliais ! Au pénultième poste, troquant mon « 93 » amputé de sa tahitienne, j’empoigne mon 75 et part en vadrouille sur un beau et vaste rocher immergé où nous a déposés Romain. Au pied d’un un tombant miné de failles et embroussaillé d’une flore abondante, je me poste en agachon caché par les laminaires. Des petites vieilles s’avancent et des lieux adolescents me survolent quand deux étroites silhouettes apparaissent. Aucun doute, des sars en approche. L’arme est braquée dans leur direction. Ils sont encore trop loin. Je ne bouge pas et baisse la tête jusqu’à la limite de vision. Ils viennent tout droit puis amorcent une très légère bascule latérale. J’ai peur qu’ils ne partent et lâche le tir…...dans le vide. Le « 75 » n’a pas eu assez de puissance ou du moins j’ai surévalué sa portée. Ce sera pour une autre fois. Pour conclure ce court CR :MRD2: je dirai que l’eau est quand même fraîche, que le poisson arrive tout doucement et qu’il faut s’attacher à raguer, c’est du moins mon sentiment. Profitez bien du week-end !

Pou pêcher le thon, il faut de la chance, c'est un peu une loterie. D'ailleurs ne dit-thon pas une thonbola. Comment ça j'ai picolé ? Cela se voit tant que ça ?

Plus tard dans la saison, si tu as un créneau, je t'emmènerai en partant du bord afin de te faire découvrir un ou deux spots.

De qui ou de quoi parles-tu Eric ? De la machine ou de ton épouse ? Ce n'est pas une réponse mais je pense que c'est de la machine dont tu parles. P.S : Ne m'en veux pas de trop mais je m'ennuie un peu ce matin. ;)

Hélas, je ne pouvais pas me joindre à toi. J'espère que tu as trouvé un matelot, il serait dommage de ne pas répondre à une telle invitation. Encore merci pour la journée. ;) Trouverais-tu que je suis trop bavard ? Au fait je ne porte pas de couche mais une culotte anti-fuite de marque "SAMBA".* C'est celle qui serait la plus indiquée pour un apnéiste. * La marque existe réellement (recherche Web) Je suis certain que vous avez passé une bonne journée tous les deux. ;) :)J'espère que nous aurons l'occasion de nous faire encore une sortie cette année . Quant à Riffle, nous en aurons l'occasion, au plus tard, à l'Ascension. Je crois savoir où tu as traîné tes palmes. Ce ne serait pas un endroit fréquenté par un p'tit vieux ? :D Dommage pour le dormeur, la prochaine fois......

Avec un peu de retard. De retour de vacances en Bourgogne (Et oui, le vieux picole toujours autant et choisit ses destinations de farniente afin de combler ses appétences) je découvre un message laissé par Romain. Il m’invite à son bord pour une virée dans les eaux turballaises. Rongeant mon frein depuis Novembre dernier, il eut été du dernier mauvais goût de refuser. C’est donc à 09h30 hier matin que je m’équipais à la cale du port de LA TURBALLE. La journée promettait d’être belle sous un soleil resplendissant et un ciel d’un bleu azur. Tout aurait été parfait n’eut été la petite bise froide qui me faisait frissonner avant que de capeler la combinaison. A son arrivé, mon capitaine de jour fut tout surpris de me voir entièrement harnaché. Pour une fois du-il penser le « vieux » ne nous mettra pas en retard. Il me fit part que nous serions trois larrons pour la journée. En effet, quelques minutes après nous vîmes arriver Jean-Yves, plus connu sous le pseudo de « Plongeur fou ». L’équipage embarqué, nous faisons route sur le premier spot, un plateau rocheux point trop éloigné de la côte. Je me glissais à l’eau avec plaisir pour découvrir avec effroi qu’elle était à 12° et qu’elle le restera toute la journée. Au moment présent la visibilité est excellente, 3 à 4 mètres. Je commence par une série de petits agachons de courte durée. En effet, je suis maintenant un vieux diésel et il me sera nécessaire une heure de chauffe au petit pas afin de trouver un rythme de croisière. Non pas celui d’une grande routière mais l’allure cahotante d’un tacot pétaradant. S’en suivirent quelques indiennes qui n’amèneront pas plus de résultat que mes pauvres agachons. Au détour d’un petit caillou je découvre un amoncellement de plus gros. C’est furetant et fouinant leurs recoins que je discerne une ombre chinoise en contre-jour. Un homard du kilo est mussé dans son trou, hors de portée de main. Qu’à cela ne tienne ! Je fourrage avec la flèche par la porte d’entrée afin que le locataire se sauve par la porte de service. Celle-ci débouche sur un large glacis sableux et rocheux, plat et dénudé où je le cueille sans difficulté. Nous quittons l’endroit sans que l’un ou l’autre d’entre nous n’ait aperçu la moindre écaille. Nous explorerons sans plus de succès plusieurs autres postes situés plus au large. La visibilité est parfois réduite à deux mètres. Pour autant, certains sites, assez nombreux, nous offrent une transparence de quatre mètres un peu chargée en particules. Pour ma part, j’ai chassé jusqu’à 11 mètres, notamment le long d’un tombant où j’ai harponné ; vous me connaissez bien maintenant ; …… des vieilles. :lol: Je pousserai même l’outrecuidance à en trucider six. Non pas que je compte en remplir mon congélateur ou les vendre sur la place publique. Non ! Mais je veux faire découvrir ce délicieux poisson (ça c’est mon avis et il n’engage que moi ) à deux de mes amis qui sont persuadés qu’il n’est pas bon, farci d’arêtes, bon à jeter au chat ou à donner à …..sa belle-mère. Bref, en exécutant ce massacre j’agissais pour une bonne œuvre d’utilité quasi publique. Au cours de cet exercice de tir avec mon « valeureux 93 home-made » que les plus fins tireurs du forum m’envient (Ceci dit il a fait mouche à chaque fois entre 3 et 4 mètres), une anecdote peu banale m’est arrivée. Voici l’affaire : Guettant ma prochaine victime, calé sous 11 mètres d’eau sur une terrasse ensoleillée du tombant, je vis arriver par le travers une vieille accusant environ ses trois livres. Elle s’arrêta (tout indiqué pour un poisson, non ?) de vivre, la colonne cassée nette par l‘inox de la flèche. Alourdie par le poids de l’acier l’infortunée coula sur le fond rocheux où l’ardillon meurtrier se bloqua dans un ressaut de roche. Jugeant qu’il était préférable pour moi de remonter sans chercher à récupérer l’assassinée, je laissais le tout en plan et faisais surface laissant le frein du moulinet faire son office. Quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis soudain mon poisson reprendre vie et tirer vigoureusement sur la drisse. Je finis tout de même par le remonter mort, définitivement défunté mais écaillé sur la moitié arrière du corps. Je constatais concomitamment que ma tahitienne était très légèrement courbée sur la partie supérieure. Interloqué, je m’interrogeais sur le « pourquoi du comment ». J’en découvris la cause à l’apnée suivante : un congre, un gros, mais alors un gros. Ce pépère que j’estime à 25/30 kilos…..au moins, avait dû penser que cette jolie bariolée verte faisait un en-cas acceptable. Je dois dire qu’en 40 ans de chasse, je n’avais jamais vu choses pareilles. Je mets au pluriel car je parle et de l‘incident et du « bestiau ». Nous terminâmes cette journée par une série de dérives dans une eau devenant illisible et jaune. Jean-Yves ;) et je l’en remercie, flécha à mon intention un gras mulet, superbe, long, rond et dodu qui terminera bientôt en darnes grillées nappées d’un beurre clarifié citronné et accompagné d’un petit Côtes de Gascogne. :wub: Par ailleurs, j'ai accroché sous ma bouée un lieu complaisant de 45 cm dont les filets feront l'objet de mon déjeuner de demain Le commandant du navire quant à lui s’octroiera une pièce rare. En l’espèce, une superbe baudroie :thumbs_up: :respect: dont le poids est à deux chiffres mais faute de peson je ne puis en dire davantage. Ce fut une très bonne journée passée en excellente compagnie. Je remercie encore Romain pour son invitation. Je suis prêt à réitérer même si je dois avouer que le poids des ans commence à se faire sentir et que « Pépère » était quand même bien fatigué le soir venu. Petite info pour ceux qui partiront de la côte à la palme. Il leur faudra bien choisir leur point de départ et zone de chasse. En effet, des nappes d’eau marron stagnent par endroits le long de la côte et s’étendent sur 400 mètres au moins vers le large. C’est du moins ce que j’ai cru constater du bateau.

Compte sur nous Olivier. Je t'en mets une de côté. ;)

Petite virée ramassage d'huîtres à Préfailles couronnée de succès. J'en ai profité pour jeter un coup d'œil à la "belle bleue". :wub: Je peux vous dire qu'elle ne mérite pas ce qualificatif. :krank: En effet, de la houle brasse une eau qui hésite en le vert-diarrhée :wacko: et le marron-étron :blink: voire, quand ces deux nuances se mélangent, à virer à l'ocre-nauséeux. :'( Cela ne donne pas envie, me direz vous. Vous avez entièrement raison et pour ma part je vais attendre un peu avant de contraindre "Pépère" à se mouiller. :P

Mon Papy s'est absenté quelques jours et vous en avez profité pour faire de belles sorties. Vous avez eu raison. Tout le monde semble content, c'est bien. ;) :) Au fait, la raison de son absence depuis le 26 mars dernier, c'est moi : Sacha, 4,230 kg . Maman se porte bien. Papa est content. Pour le deuxième il espérait un petit garçon. Mes deux Papys m'on fêté avec beaucoup d'application. Je peux même dire qu'ils étaient contents d'être heureux. ( :beer2: si vous voyez ce que je veux dire) J'espère qu'un jour, moi aussi je serai un CSM comme mon Papy. Pour l'instant je biberonne comme lui mais pas le même liquide, heureusement. J'écris bien pour mon âge, hein ?

Tu repars déjà ! Seras-tu présent à Quiberon ? Quant à moi, je suis toujours dispo pour une virée. J'ai de nouvelles palmes :) mais toujours de.........................vieux, très vieux et improbables fusils. :MRD2:

Tiens, notre KHEOPS préféré est sorti de sa pyramide. Cela fait plaisir d'avoir de ses nouvelles. ;) J'espère que son retour annonce une mer claire et poissonneuse même si pour moi pas de mise à l'eau avant 15 jours.

Merci Jean-Luc ^_^ Merci, c'est gentil. Je transmets tes félicitations à la jeune femme qui a 11 ans de plus que toi. :D P.S : A l'attention d' EDK : Eric si tu nous lis, :) tu n'as pas fait erreur de forum. Il s'agit bien de ton "bébé" et non d'un séminaire portant sur la course à pied. Je compte sur ta mansuétude pour nous pardonner ces H.S. En effet, il faut nous comprendre, en ce moment la visibilité dans les eaux du 44 et bien c'est....... Ah non peux pas le dire, mon Pôpa et ma Môman m'ayant interdit de dire des grossièretés :papy:

Merci :) Mes pronostics étaient bons. Ma gazelle me surclasse. Elle cavale vite et longtemps la Grand-Mère. :thumbs_up: :respect: . Quant à moi, l'âge est là :lol:. Pour autant, je suis content tout de même. En effet, par nature je suis un endurant mais pas un coureur de fond capable de bons chronos. Mais, à défaut de records cela entretien Pépère pour la pratique de la CSM. Mis à part ces petits potins, personne ne s'est mis à l'eau ce W.E ? Pas certain que le vent d'Ouest (qui m'a fait un peu souffrir sur la course) ait autorisé la présence d'une bonne visi sur le 44.

Je ne suis pas allé voir mais je ne ferai pas les 90 mn A/R pour me mettre à la baille dans les prochains jours. J'ai dans l'idée que dans l'eau, la visi actuelle se rapproche de celle que tu pourrais avoir dans un fût d'Anjou Village Brissac. Sans compter que le poisson ne doit pas encore être à la côte. Patiente encore une petite quinzaine. Mais ce n'est que l'humble avis d'un non spécialiste.

Petit farceur, tu sais très bien qu'il s'agit d'un petit enfant. Grand-père pour la sixième fois :flowers: Quant à la vigueur, si Grand-Mère était là, elle te dirait que c'est du passé.................lointain :D Il se pourrait même qu'elle dise que la pissette de la combinaison est uniquement là que pour créer une illusion. :lol:

Merci. ;) Je te ferai signe aux beaux jours. En ce moment en attente du 6 ème (Je ne vole pas mon pseudo, hein !) avant d'essayer les nouvelles palmes. En revanche toujours les mêmes arbalètes, les poissons vont encore se moquer de moi et vous autres continuer à me chambrer. :lol:

Pareil et encore.................. je veux bien sauter un repas. :MRD2: Ah, au fait, pour moi le bon agachon c'est celui que l'on termine bien en vie en surface avec ou sans poisson.

Puisque tu es dans les environs dimanche matin, viens donc encourager une p'tite vieille et un p'tit vieux qui trottineront sur le semi-marathon de la Brière à St André des Eaux. ^_^

Effectivement, je me suis fait "allumer" avec ça au Cambodge. (sans dommage pour quiconque, heureusement) mais je confirme, ça fait dévier et baisser la tête. Toutefois c'est un peu encombrant sur une planche ou une bouée. :lol:

Ca doit laisser de la place dans la pissette.

Alors là, chapeaux bas Messieurs ! Des comme j'aime :thumbs_up: :respect:

Vous avez également le même shampoing :

Ben non. Je n'avais pas fini le texte ni apporter les "quelques corrections".