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dgm22

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Tout ce qui a été posté par dgm22

  1. En copié-collé à sa demande, écrit par Grand père, le récit particulièrement savoureux d'une sortie qui lui a permis de sortir un très joli maigre avec une arme fatale... Vous voulez tous un CR. Bien, bien, mais lisez jusqu’au bout et buvez le calice jusqu’à la lie, vous l’avez cherché. Bon courage, bonne lecture et bonne soirée ! Hier donc, aux aurores, Eric, Mickaël et Pépère s’embarquaient sur les eaux du 44 ou peut-être du 85. Je ne le sais pas exactement. La navigation n’étant pas mon fort je préfère en laisser le soin aux marins, même si l’un d’eux a quasiment coulé son navire dernièrement et fut sauvé du naufrage uniquement grâce aux efforts énergiques du petit vieux qui l’accompagnait (Bon ! Ça c’est fait !) A l’issue d’un temps d’une navigation parfois houleuse, nous jetons l’ancre sur le premier poste. Eric m’avait décrit l’endroit dans un style dithyrambique : eaux cristallines et bleu lagon, poissons à ne savoir qu’en faire, éboulis de roches monstrueux, failles repaires de gibiers somptueux. Bref, le paradis du chasseur. En réalité, ce ne fut sans doute pas l’enfer de Dante à la place du paradis promis mais une approche assez crédible du purgatoire. L’eau est sale, chargée en particules et durant tout le temps que nous passons à errer de ci de là dans cette ambiance un morne et tristounette comme Pépère un jour dédié à l’eau minérale. Nous ne voyons pas un gibier digne d’un tir. Pas même une vieille, c’est vous dire. Sans doute dans cette pauvreté en vie aquatique y a-t-il un effet dû à une certaine cause. En effet, je dois vous dire que Eric et moi avons été les témoins involontaires et offusqués d’une vision d’horreur, d’une atteinte effroyable à l’écologie. Je vous le fais bref : A peine avons nous ancré que, Mickaël, grand poète devant l’Eternel, nous déclare tout de go: « Bon ! Moi, faut que je chie ! » Et il l’a fait !!!! Scène quasi apocalyptique que ce gros derrière perché sur le plat-bord du bateau, suspendu au-dessus de l’eau, lâchant un chapelet de fèces malodorantes. Tu parles d’une boëtte cette succession d’étrons ridicules dérivant dans le courant. Dans le Sud il y a les Saintes Marie de Mer. Ici, grâce à « Micka » nous avons maintenant « Les Saints Colombins de la Mer ». Il fallait le voir, coude sur le genou, poing sous le menton, rouge non de confusion mais d’un effort soutenu et puissant. C’est à ce moment que j’ai compris : RODIN n’a pas sculpté un penseur mais un constipé. En revanche, à l’issue de notre chasse sur ce site ainsi outragé, ce qui nous mit en joie, Eric et Moi, fut le retour de Mickaël au bateau. N’est-ce pas Micka ? 200 mètres à contre-courant alors que la veille « on » s’est octroyé trois généreux whiskys avant de s’attabler à un roboratif repas entre amis, ça fatigue ! Ancre levée, direction le second poste. Notre torturé des intestins n’est pas vraiment à la fête. Lui qui n’affectionne guère les fonds dépassant les 7/8 mètres, est servi. En effet, il faut sonder à -10 pour trouver les premiers cailloux qu’il ne découvre qu’à l’issue d’une demie heure passée à tâtonner entre -12 et -13 m. Pour ma part, à l’instar d’Eric, je visite les fonds situés entre -12 et -15. Sol de gros sable parsemé de quelques cailloux et de blocs erratiques de la taille d’un 4x4 et ne présentant aucune faille ou anfractuosité. Quelques petites vieilles, de menus fretins de marques diverses et variées papillonnent alentour. Revenant près du bateau, je descends et me pose sur le fond. – 12 m, j’en prends plein les yeux car passés dix mètres, l’eau s’éclaircit et sur 5 à 6 mètres je vois tout le paysage sous marin. Ce sera d’ailleurs une constante durant toute la sortie, à l’exception du dernier spot. C’est un amoncellement de blocs, une succession de tables rocheuses façon dolmen d’où sortent des myriades de tacauds de belle taille, des vieilles au tour de hanche affriolant. Du coin de l‘œil j’aperçois un fort beau mulet et deux bars corrects gicler de sous une dalle. N’y tenant plus, je cède à mon vice et assassine l’une des aguicheuses labridés. Je remonte et fais part de cette « découverte». Las, Eric douche cet enthousiasme enfantin (qui vient de dire : « sénile est plus adapté ») en déclarant : « Ah oui, j’y suis descendu tout à l’heure mais il faut changer de zone maintenant !» Petit mousse aux ordres du commandant du navire, j’obtempère aussitôt. Prenant pied sur le fier vaisseau, je constate que le capitaine en second est avachi sur la plage avant, le teint pâle et l’œil terne. Il annonce qu’il a un « petit coup de mou ». La profondeur et le courant l’ont un peu fatigué. Eric et moi opinons du bonnet et l’assurons de toute notre amitié en ces instants difficiles tout en pensant perfidement : « Fallait pas abuser de la tisane d’Ecosse et de la cuisine de Mme R.Shoot » A l’issue de quelques encablures de navigation ,revigorante si l’on en croit le rétablissement impromptu de Mickaël, nous mouillons sur un site qui se révèlera magnifique pour les pupilles……mais pas pour les papilles. Les apnées sont exécutées entre -8 et -13 dans un paysage sous-marin tourmenté et torturé de tombants, de failles, de grottes et d' abris sous roche à vous en faire perdre la notion de l'espace. Des vieilles plus accortes et plus girondes les unes que les autres jaillissent de toutes parts. J’en prélève deux dont l’une avec le 95 roller. Se trouvant à plus de 03 mètres de la flèche, elle s’enfuyait sans demander son reste mais ne fut pas assez rapide. Alors que j’accrochais cette dernière victime sous ma bouée, Mickaël m’appela. Je me dirigeais vers lui illico afin de l’entendre m’annoncer que, sous nos palmes, un mur de lieus était cantonné sur les roches immergées. Mon compagnon me recommande de ne pas tirer, le spectacle étant trop beau. En effet, sous quelques mètres d’eau, une multitude lieus de 20 à 30 cm se livre à une ronde espiègle et vive, véritable plaisir des yeux. Respectant la recommandation de surface, je me contente de les observer. Je crois bien qu’à l’heure présente, cela tourne et virevolte encore. Eric décide alors de changer une nouvelle fois de place afin d’explorer d’autres horizons. Nous stoppons à quelques centaines de mètres de notre point initial. Nous retrouvons les mêmes configurations de terrain. Première apnée. Je descends sur des éboulis chaotiques véritable HLM à vieilles monstrueuses. Considérant la taille des poissons, cela ressemble à des hangars à autobus. Pour autant, je résiste à la tentation de tirs faciles et surtout malvenus et hors de bienséance compte tenu du fait que j’ai bien assez de poissons de la même famille accrochés sous ma bouée. Je me pose sur -12 entre deux gros blocs. La visibilité est excellente jusqu’au 04 mètres, au-delà c’est brumeux. C’est dans ce brouillard que j’aperçois des silhouettes larges et hautes. Sars, daurades ? Je ne sais. Je ne bouge pas d’un pouce, arbalète braquée dans la bonne direction. Malheureusement pour moi, je n’ai que mon 92 simple sandows et je ne tire pas, les poissons sont à plus de 05 mètres de moi. Avec le 95 roller, j’aurai tenté ma chance. Je remonte et j’informe Eric de ce que je viens d’observer. Il me précise qu’il va partir plus loin sur ma gauche. Je comprends qu’il veut me laisser ces gibiers potentiels. Geste élégant que j’apprécie. Je sonde une nouvelle fois et bis répétita : Coucou, nous sommes là mais looooooin ! Eric tu aurais dû y aller, peut-être que….. Nous ne sommes plus que deux chasseurs à l’eau. En effet, Mickaël a jeté l’éponge. La fatigue fait son effet et il juge plus sage de se reposer. Attitude responsable à mettre au crédit de notre compagnon. Je suis persuadé que certains drames auraient pu être évités si les victimes avaient accepté de reconnaitre une petite faiblesse passagère et s’étaient retirées avant qu’il ne soit trop tard. J’englobe tous les sports dits à risques dans cet aparté et non pas seulement la pratique de la CSM. En conséquence, c’est un « Rifle shoot » torse nu et « enshorté » qui remonte l’ancre quand de nouveau tous à bord (Eric a occis un fort beau mulet durant la présente escale) nous rejoignons la dernière halte. Celle-ci est choisie au « pifomètre » ou plutôt en fonction des variations du sondeur. Je suis chargé de jeter l’ancre. Je stoppe le bout au taquet et jette un coup d’œil sur le filin immergé. Beurk ! L’eau hésite entre le vert malpropre et le marron souillé. A croire que toute une compagnie de « R.Shoot » s’est libéré les boyaux au-dessus du bastingage. Eric, courageux s’est mis à l’eau bien avant moi. Je le rejoins et respecte un intervalle de 30 mètres de sécurité. Prenant en compte la turbidité de l’eau, j’ai en main mon 92 home-made dont je détaillerai plus tard les caractéristiques, ô combien techniques et de haute technologie. Je descends pour une première apnée. Aux environs des 7/8 m j’aperçois les dos de bars calibrés entre 2.5 et 3 kg. Je tends le bras vers l’un d’eux quand un individu me passe sous le masque à 01 mètre. Je vois très nettement les écailles. Point de bar, que nenni ! Du maigre ! Je lâche le tir en direction du dos le plus proche. Je m’attends à ce que le moulinet chante mais non, rien ! Un peu dépité et frustré, je remonte en surface. Là, j’appelle Eric et criant : « Maigre, maigre » J’ouvre ici une parenthèse. Après avoir fait la fête à « Micka », au tour de Eric. En effet, juste avant que je ne l’appelle, notre bon ami s’est trouvé face à un mur de bars. C’est lui qui nous l’a rapporté, je n’invente rien ni ne déforme. Voici, dans l’esprit ce qu’il nous a dit. Je lui laisse la parole : « « « Ho ! ce n’étaient que des petits, 2.5 à 03 kg maximum. Ils défilaient tranquillement devant moi. J’avais espéré qu’il y en eut de plus gros en queue de peloton et attendu mais rien n’est venu. J’ai alors bougé l’arbalète pour en tirer un mais à peine mon mouvement amorcé que le banc a explosé et je n’ai pu tirer. » » » Bonne leçon de chasse. Quand tu as une belle cible, n’hésite pas! Par ailleurs, face à une forte concentration de poissons de même taille il ne faut pas espérer plus gros en voiture balai. En revanche dans une troupe de quelques dizaines d’individus de tailles disparates, il peut être utile d’attendre l’ambulance fermant le convoi afin de lui tirer dessus. Bon, reprenons ! Me revoici donc en surface à m’égosiller en criant : « Au maigre, au maigre !» Pour autant, Pépère ne perd pas son calme, empoigne son escopette de compétition, bande ses petits biceps, arme la flèche au dernier cran en priant que ses sphincters ne le lâchent pas, ventile et descend mode 02 de tension. C’est tout noir la dessous, je ressens nettement le passage « thermoclean » des -10. A -11 mètres, j’aperçois le banc de maigres. Il évolue à environ 1.50 m au-dessus du fond. Je ne palme plus, tends le bras gauche qui stoppe ma descente sur le fond. Je suis à plus de 12 mètres sur une zone de gros sable mêlé de quelques petites cailloux. J’ouvre grand les yeux. L’ambiance crépusculaire est plus que glauque. La visibilité ne dépasse pas les deux mètres devant la pointe de la tahitienne. C’est un convoi de poissons de taille quasi identique, je les estime de 50 à 70 cm, qui défile devant moi. Ils sont cools ces maigres. Je dirai même qu’ils se baladent en pères peinards et me snobent complètement. Visiblement, je ne les intéresse nullement. Il faut préciser que je dois leur paraître comme une sorte de gros laminaire, mon bras ancré sur le fond en est le pédoncule tandis que mon torse, mes jambes et mes palmes, à l’horizontal, stabilisés par le courant en sont le feuillage. (Ca y est, vous avez l’image ?) Dommage pour eux, enfin pour l’un d’eux, qu’ils aient oublié le bras droit. Celui-ci tient l’arbalète pointé droit devant mes yeux. Je profite du spectacle mais n’oublie pas ce que je suis : un chasseur ! A l’instant où je m’apprête à choisir ma victime, une silhouette bien plus grosse et allongée surgit du néant noir sur ma gauche. Je le distingue maintenant nettement. Un superbe poisson. Un instant, j’hésite à lâcher le tir. En effet, je n’apprécie pas outre mesure la chair du maigre, GMère si ! (Une autre raison de ne pas tirer) Mais j’ai une pensée paternelle pour mes deux petits camarades, là-haut en surface. Le gibier passe devant moi, débonnaire et placide me fixant, je pense, sans prendre conscience du danger. Très rapidement j’ai fait la « check-list » des conseils de VCTERIC et ma décision est prise au même instant Le poisson est à 1.50/1.80 m de la pointe de la tahitienne. Nous sommes sur la même hauteur d’eau. La mâchoire passe dans la ligne de mire suivent l’œil et l’opercule droite. Je distingue nettement la ligne médiane. Je soigne ma visée et…..les sandows claquent méchamment, la tahitienne se fiche profondément dans le flanc du poisson à l’endroit espéré. Le maigre durant deux ou trois secondes n’a aucune réaction. J’ai le temps de constater que la flèche l’a traversé, le talon ne dépassant que d’une soixantaine de centimètres environs. Je me prépare au départ façon F1 ou tracteur sur-vitaminé, mon frein est desserré comme il faut pour un nylon 140/°. Mais non, rien ! Le poisson est pris d’une danse de St Guy, sonde, s’enfouit la gueule dans le sable et convulse. Ni une, ni deux, je fonce dessus. Profitant qu’il soit choqué, je saisis la hampe de la flèche, tire le tout vers moi (Je sais que le double ardillon fera office de « stop-maigre ») et j’empoigne la tahitienne de part et d’autre du poisson. Ça fait du monde à remonter : Pépère, ses 10 kg de lest et l’alevin fraîchement harponné. Ne voulant pas prendre appui sur mes palmes, les HP 700 appréciant plus que modérément ce genre d’exercice, je décolle du fond (-12.50 m) comme un vieux « Dakota » en surcharge. La remontée est sans histoire. Toutefois, à deux petites reprises, ma victime à des velléités de liberté et tente de se contorsionner sans que cela ne m’émeuve. En revanche, tout se corse un peu en surface. Je me suis éloigné du bateau et je dois me résoudre à remonter à contre-courant avec le « baudet » serré contre moi. Après coup, Mickaël (Tu parles d’un barquéro celui-là !) m’a dit onctueusement : « Mais Philippe, j’allais te chercher, il fallait attendre » Ben voyons, je crois qu’il jubilait à voir le vieux souffler comme un époumoné dans son tuba. Eric nous a rejoints dans le bateau. Toute modestie mise à part, je dois avouer que je suis content mais ce qui est surprenant et touchant à la fois, c’est de voir Eric et Mickaël aussi heureux que des enfants dans le magasin du Père Noël. J’ai eu le sentiment qu’ils n’auraient pas été plus heureux si c’était l’un d’eux qui avait fait la prise. Le poisson fait la route du retour sans piper mot et sans esquisser le moindre mouvement de fuite, et pour cause. En effet, l’autopsie révèlera que la flèche, non contente de perforer la victime de part en part, lui a traversé la colonne vertébrale en arrière des ouïes. Il est tard et nous devons rentrer. Il faut penser au nettoyage du bateau, du matériel et des poissons. Cela s’est fait sans trop de mal. A l’heure où j’écris ces lignes, le butin a été partagé et il rassit dans les frigos. Au fait, pour la pesée, Mrs ELIHAN père et fils ont eu la délicate attention de me faire monter sur un pèse personne et annoncer à la cantonade que Pépère fait 75 kg (que des muscles, je n’ai pas besoin de vous le préciser, n’est-ce pas ?) pour 1.73 m et que, conséquemment, le maigre accuse un peu plus de 11 kg épouillé vidé pour 01,20 m. A propos de vidé, il n’avait rien dans l’estomac. Ce fût une journée « virile » en raison de chasses prolongées assez profondes et dans le courant. Je suis particulièrement heureux que Mickaël ait pris conscience que les -10 m ne sont pas rédhibitoires pour lui. La preuve en est qu’il a chassé sans problème et sans forcer sur -13. Je ne saurai oublier Eric, chasseur modeste mais plus que confirmé, toujours souriant et amical qui, lui aussi, à l’instar de Mickaël, accepte régulièrement de s’embarrasser d’un matelot du 3 ème âge. Bon, arrêtons la séquence émotion et avant de clore mon propos et passons à la description tant demandée de l’arme « maigricidaire ». La crosse : en aluminium moulé fabriquée en 1972, acquise d’occasion pour 05 euros. Le fut : Section de canne à pêche type « gardonette » en carbone ruban spiralé. 33 mm de section en crosse, 22 mm de section en tête. La jonction crosse/fut/ tête est permise par l’enroulement ad hoc d’adhésif toilé (en vente dans tous les bons magasins de bricolage) autour des manchons de la tête et de la crosse. Ceux-ci sont enfoncés en force dans le fut étanché au « Sikaflex ». Le guide-flèche : Taillé dans le dispositif servant habituellement à maintenir un tuba sur la lanière d’un masque. Il est collé sur le fut par l’entremise d’une colle à la cyanolite et du ruban adhésif. Obus : Dynéma Flèche : Sigalsub 130 double ardillons en 6.5, encoches adoucies par Pépère (Si seulement je pouvais aussi adoucir G.Mère) Moulinet : acheté 20 euros garni chez D4 est fixé avec le même adhésif que celui du fut et ce depuis 03 ans. Fixation plus solide, cela n’existe pas sous réserve de faire 4/5 tours de fut. Sandows : Marque ????? Sais plus ! Gainé noir intérieur marron en 17.5 coefficient 3.5. Biceps : Pas très gros. Cette particularité physique explique le coef en 3.5. En effet à 4 de coef, je m’explose le sternum, me vrille les biceps et salis mon pantalon. Je voudrai indiquer pour les cambrioleurs que cette arme de luxe, haut de gamme est enfermée dans un coffre à la banque. Je sais que DGM, grand spécialiste des arbalètes de CSM la convoite depuis longtemps. En effet, Dominique voudrait ouvrir un cabinet de collection d’objets bizarres et étranges ayant un vague rapport ravec notre hobby. Quant à « Thearthur », j’ai bien lu dans ses yeux cette lueur de convoitise quand, à Quiberon en mai dernier, il a eu ce bijou de technologie entre les mains. En conclusion à cette journée et à cette prise providentielle je tiens à dire que la chance était avec moi, que j’étais au bon endroit au bon moment, rien de plus. P.S : Je viens d’écrire d’une traite, cela m’a quand même pris du temps et j’ai la flemme de corriger. J’espère toutefois qu’il n’y a pas trop de fautes et que vous me les pardonnerez. P.S 2 : Je viens de corriger vite fait quelques erreurs. http:// http://
  2. OSEZ cher ami, OSEZ ! ? Je ne suis pas vraiment doué comme tu le dis. Mais il te suffit de copier-coller ton texte sans avoir à le réécrire dans la rubrique "chasse de Bretagne sud au pays basque" en "ouvrant un nouveau sujet". Quelques photos postées en illustration avec Casimages et le tour est joué... ?
  3. Super CR de notre Grand père national. ?? Un seul regret : il aurait mérité un post spécifique car il risque de n'être lu (et savouré...) que par les chasseurs du 44 et quelques autres curieux... ?
  4. Tu pourras détailler les éléments de ton arbalète "spécial maigre" qui pourra inspirer d'autres chasseurs de "gros"... ??
  5. Arbalète constituée d'une vieille crosse Marlin montée sur un tube de canne à pêche !... ? Trop fort GP !!! ?
  6. Quelle tristesse... ?
  7. Même sentiment lors de mes deux dernières sorties. ? Il est temps que les touristes retournent chez eux. ? Après ce weekend, ça devrait être plus calme... ?
  8. On essaiera peut-être à partir du 7 septembre si on a la même météo qu'en juin 2018 (?)...?
  9. Je n'ai jamais vu de phoque dans cette zone. Dans le cas contraire, je mettrai mes poissons dans le coffre arrière avec le filet par dessus pour les protéger du soleil et des goélands...?
  10. Sortie kayak ce matin en fin de montante, secteur Est de la baie de St Brieuc. Je rejoins une zone de plateaux avec moulières pour chercher les belles aux sourcils dorés. Premier arrêt sur une roche qui retient les bars mais, que du petit... Une première royale se présente, séchée en pleine tête. Une petite grise la rejoint cinq minutes plus tard. Le repas est assuré, je deviens plus sélectif. Seconde zone. J'ancre le kayak et fais le tour de la roche accompagné de ma bouée réglementaire. Il y a beaucoup d'activité sur l'eau : kayak pêche, kayak randonneurs, stand up paddle, bateau à moteur, voiliers,... Il ne manque plus que les jetskis ! Beaucoup de vie dans 5 m d'eau avec des gros mulets peu craintifs, quelques bars non maillés et des grises que je laisse passer. Une seconde royale s'approche et fait demi-tour mais trop lentement. Et de deux. Sans trop y croire je refais un agachon dans la même zone, rebelotte. Le tir est lointain et trop bas mais je me précipite comme un pilier du 15 de France sur un arrière écossais. Et de trois ! Plus tard, je verrai une quatrième royale plus grosse mais qui garde ses distances. Les grises sont toujours présentes mais je laisse passer. Retour à mon kayak ancré sous lequel je découvre un hippocampe qui semble curieux de mon accroche poissons. Rencontre malheureusement trop rare que j'immortalise avec la gopro.? http:// http:// http://
  11. dgm22

    Visi 22

    Hier, secteur Fréhel à la basse, visi 4 à 5 m. Vu du lieu, un bar, des vieilles J'en tire une qu'un goéland trop gourmand essayait de manger à l'accroche poissons. http:// http:// http:// http:// Et bien sûr, le connard de service qui n'en a rien à foutre de la distance de sécurité d'un plongeur !... http://
  12. Je confirme. En général dans le 22, c'est principalement les lundis et mercredis, et parfois les jeudis. Et Lancieux est une commune des Côtes d'Armor... A savoir aussi que les dates de rattrapage des pros ne sont pas ouvertes aux plaisanciers.
  13. Exact. Voici les liens à vérifier pour connaître les dates et horaires dans le 22. Ils seront remis à jour pour le début de la campagne de pêche de la csj 2019-2020 début octobre. http://www.cotes-darmor.gouv.fr/Politiques-publiques/Mer-et-littoral/Peche-professionnelle/Peche-a-la-coquille-Saint-Jacques http://cdpmem22.fr/page.php?page=16-infos-et-horaires-de-peche
  14. Tu prends un mètre ruban que tu fais passer par la tête et que déroule le long de la flèche jusqu'au cran. Tu obtiens une longueur à laquelle tu retires 2x6 cms de longueur d'obus dyneema. Tu divises ensuite le résultat obtenu par le coefficient souhaité. En 14 mm, tu peux mettre sans problème du 3,5. Ainsi, tu peux calculer facilement les longueurs de tes doubles sandows.
  15. Merci pour ce rappel. Il est effectivement important de vérifier les horaires juste avant de se mettre à l'eau et de partager les informations d'éventuels changements via le forum, facebooke et autres réseaux sociaux spécialisés pour éviter aux autres ce genre de déconvenues.
  16. dgm22

    Visi 22

    3 à 4 mètres de visi à l'abri du coup de vent, secteur St Quay. Peu de vie à part en surface avec les toursites... ? Vu trois bars dont un suicidaire que j'aurais pu faire au 60... ? http://
  17. dgm22

    Visi 22

    Il y a deux ans, j'ai eu la chance de trouver sur leboncoin une paire de Breier fibre de verre à 40 € dans ma commune. Bricolés, les chaussons étaient mal collés et je les ai remplacés par des Imersion assez larges pour me permettre d'enfiler des chaussons néoprène en 5 mm. Elles sont désormais mes palmes pour l'hiver. Plus souples, elles sont très agréables et m'accompagnent dans mes sorties coquilles St Jacques.
  18. dgm22

    Visi 22

    De temps en temps, sur leboncoin on trouve des Breier. Neuves, elles sont un peu chères mais c'est le prix de la qualité. Pour ton poisson mystère, difficile de l'identifier avec si peu d'éléments...
  19. dgm22

    Visi 22

    MercI. Oui, ce sont bien des lieus jaunes mais trop petits... Et non, je ne vends pas de palmes carbone (?...).? Je n'en ai qu'une seule paire, des Breier, depuis déjà 12 années de bons et loyaux services.? Je conseille cette marque pour son efficacité et sa longévité. ?
  20. dgm22

    Visi 22

    Pour ceux qui se demandent si c'est chassable dans le 22, cinq mètres de visi horizontale (et plus en verticale) à l'abri du vent le long des hautes falaises de Plouha. Bon weekend ! ? http:// http://
  21. Valentin modifié car monté sur un tube Omer carbone Kevlar en 95, tête Omer avec son pontet métallique et flèche Omer 130 cms en 6,5 mm propulsée par un sandow Devoto en 17,5. Simple, léger, maniable et performant. Un fusil avec lequel je ne me pose pas de questions quand je tire.??
  22. Merci ! ? Il a même fait plus que de les voir et a pris une 4kg200 ! ?
  23. Nouvelle sortie morbihannaise avec Jobreizh et Rahan22 sous un ciel très chargé et une pluie battante. Objectif : bars et royales. Première zone et chasse en dérive. Nico laisse passer des jolis bars à portée en espérant faire venir des royales visibles en limite de visi. Mais les belles passent leur chemin... Seconde dérive. Je vois une belle pierre qui m'inspire. Je descends et me cale à l'agachon au pied, face au courant et j'émets quelques bruits de gorge. Un grosse royale apparaît et vient confiante droit sur mon Valentin. Ma flèche la cueille dans l'opercule et rate la colonne. Mais après une courte lutte, je la maîtrise et l'achève. 3kgs500. Malgré des changements de zones, le reste de la sortie ne sera pas aussi fructueux, le poisson semblant assez rare et fuyant. Peut-être à cause d'un phoque "énorme" selon Nico qui est venu voir Jo en surface. Dans l'après-midi, le soleil revient et le ciel bleu se dégage mais le poisson est toujours rare à part de nombreux mulets XXL... Nous nous consolons avec quelques grises et deux bars. Retour au port après une bonne sortie entre copains.? Merci à Jo pour l'invitation. http://?
  24. Secteur Perros Guirec ? Il faut aller à côté à Ploumanac'h et voir les mégalithes de la côte de granit rose. La presqu'ile Renote est magnifique et on peut aussi chasser au bord. Le fond tombe très vite et c'est un site fréquenté par les requins taupe.
  25. Dom85 a raison. On a tendance à trop cuire le poisson. Et pour le homard, dix minutes de cuisson dans l'eau bouillante pour 1kg.
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