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YoannRev

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Tout ce qui a été posté par YoannRev

  1. Tu peux partir de la plage du portuais, c'est accessible mais faut marcher un peu. Sinon tu as l'ilot saint michel qui est une zone sympa. Tu peux eventuellement visiter le cap d'Erquy, mais c'est chiant faut se garer loin. Au cap d'Erquy tu as les 3 pierres à faire et la pointe.
  2. Il s’agit bien de sargasse, zone idéale pour le bar, voire la royale ( le poisson en général d’ailleurs). Tu peux également trouver des zones d’hymantales (longs spaghettis de plusieurs mètres). Ces dernières poussent généralement sur des zones rocheuses qui affleurent à marée basse, et dans lesquelles on y trouve également du gros bar (généralement endormi, immobile, c'est presque pas drôle), du sar et de la royale. Actuellement, le poisson remonte, et on en trouve plein dans les 5 premiers mètres. Parfois, avec la marée notamment, ou en fonction des conditions climatiques, le bar circule sur des fonds plus important (20m et plus). C'était le cas fin avril où on n'a rien trouvé sur une sortie dans les premiers mètres, pour finalement trouver les bars et lieus sur 20m.
  3. Ne t'inquiète pas, c'est une des meilleures périodes pour taper du gros bar au bord...
  4. parce qu'on les a payé quand on a su que tu montais, pour qu'ils viennent te voir. Fallait bien te remettre du baume au coeur....
  5. Je vous mets ici le lien vers le dernier CR http://www.chasse-sous-marine.com/forums/topic/65423-nuit-dorage-dans-le-finistere/ "Je prends donc le relais sur une zone d'hymantales, où la visibilité est très médiocre. Je fais quelques apnées qui me premettent de décrocher un joli sar. Quelques instants plus tard, je remets le couvert, et surprends un joli banc. J'arrive à tirer à la volée, mais vois la flèche taper le dessus du crâne d'un sar sans qu'il ne soit blessé. Le banc éclate dans un bruit de tonnerre, mais j'aperçois un sar couché sur le flanc, pris de spasmes. Je me suis donc rué dessus pour l'attraper... à la main!!! Crise cardiaque du poisson? Assomé par ma flèche? Je ne sais pas vraiment ce qu'il s'est passé. La seule chose dont je suis certain, c'est qu'il a fini sur mon accroche poisson." Et ouais les mecs, moi il n'avait pas de fil à la patte... Je l'ai juste tué de peur! ou de rire avec mon tir raté... je ne sais pas!
  6. C'est pas pour me justifier, mais pour planter le décors poulet... Tu auras noté que dans mon récit, j'essaie d'apporter autant, voire plus, d'importance à l'ambiance, l'esprit, qu'à l'action de chasse en elle même. C'est pour cela que j'ai répondu. M'en fout de savoir si on a une bonne condition ou pas, ce qui m'importe c'est de passer une bonne journée. Normalement je refais une grosse journée ce we si la météo se maintien. Et si je ne suis pas trop épuisé de ma semaine erreintante.
  7. Tu dis cela pour la précision de fin de sortie? Quand Cyp était fatigué? Parce que si c'est le cas, on l'était tous les deux, moi j'avais juste un peu de motivation à faire mes deux dernières pierres parce que je sais qu'il y a souvent du poisson dessus. Pour être honnête, je pense que n'importe lequel d'entre nous aurait été rincé. Pour annecdote, pas de petit dej le matin pour moi, et je n'ai mangé qu'une petite dizaine d'abricots secs pendnat de la sortie, vers 14h (pareil pour cyp). Mais j'ai bu 3 power rade, et pris un dolipran vers 15h quand mon crâne a montré les premiers signes de douleurs (j'ai cela tout le temps à partir d'un certain temps de chasse, même si je m'hydrate bien). On a chassé non stop, et on faisait des dérives de 4/5 apnées max chacun, pour tourner rapidement et se déplacer vite. Franchement, le rythme était soutenu, avec peu de temps de repos. Je pense que je t'aurais lessivé, éparpillé façon puzzle...
  8. ouais, c'était une bonne sortie. Après la photo, j'ai fait encore du sar. La journée aurait été parfaite si j'avais pu faire un bar de 3 kg, ou une royale... J'ai pas pu faire une zone à royale sur les glenan, y'avait plein de monde sur la zone.
  9. Méthode ikejime dom. Il s’agit de neutraliser le système nerveux du poisson et de le saigner, dès qu’il sort de l’eau. Cela permet qu’il conserve ses qualités gustatives. Technique venant du Japon, s’inscrivant dans la tradition d’excellence et de recherche de la perfection du pays du soleil levant.
  10. Attention , qu’il n’y ait pas de malentendu. Je n’ai rien à reprocher au cpes. Eric sauvage est resté à distance courtoise, la zone était assez grande pour tout le monde. J’ai juste été obligé d’adapter mes plans, mais c’est comme cela avec n’importe quel chasseur sur zone.
  11. Jeudi dernier, je suis sorti au large de camaret. Les journées de travail à rallonge, le stress des projets qui arrivent à la phase de lancement, les enfants qui dorment mal à cause de la chaleur... Autant de facteurs qui motivent en moi le besoin d'évasion. Le poisson était présent, mais frustrant. Les bars que l'on pointe du bout du fusil, qui vous tournent autour, vous jaugent sans peur. Ronger son frein, s'abstenir de tirer, se venger sur les sars... Il fallait donc, pour rétablir l'équilibre, que j'aille faire un tour côte sud, histoire de voire si les bars y sont aussi coopératifs. On s'organise avec mon collègue (skip), je lui donne rendez-vous sur le parking de super U Plougastel à 7h. C'était sans compter sur mes invités du samedi soir, de bonne compagnie, avec qui nous sommes restés discuter jusque 2h30 du matin. Petit décalage d'horaire, finalement nous avons décollé à 8h30. Dans la nuit, le tonnerre gronde, tel les cavaliers de l'apocalypse annonciateur de la fin des temps. Il y'aura des morts, c'est certain. Arrivé port la foret, nous nous équipons rapidement : la partie de chasse peut commencer! Capitaine du jour, j'ai joué le guide de pêche, emprunt d'exitation et de détermination. Nous avons mis le cap sur des roches au large de Concarneau, vitesse de croisière de 20 noeuds. Je brieffe mon binome du jour sur les dérives que l'on va faire avant de filer plus au large, quand on aperçoit le semi rigide jaune canarie du CPES. Je râge, il nous passe devant, se met sur la pierre que je voulais visiter. La zone étant suffisamment grande, je scrute la carte marine et l'horizon afin de fixer un nouveau point de chute. Mais je constate que si le semi rigide de notre concurrent du jour se trouve à moins de 100m, il n'en reste pas moins qu'il a quadrillé la zone de tous ses stagiaires, éparpillés un peu partout! nous arrivons tout de même à réaliser quelques dérives, en cohabitation, sur une zone poissonneuse que je connais. Nous y verrons et ferons de la grise, du bar, et du sar. Alors que nous alternons les dérives, je décide d'en faire une dernière avant de filer au large. je distingue tant bien que mal une pierre au fond, malgré une visibilité rendue opaque du fait de particules dans la couche supérieure d'eau chaude. Une coulée, une petite indienne conclue par un petit agachon : les sars, bars, et dorades grises pointent le bout de leur nez. Je suis là pour les prédateurs et prélève un bar. Sur une autre dérive, je fais ma coulée, et vois tourner les bars et dorades sous mes plames. Au milieu de tout ce monde, un Saint Pierre m'attend, immobile au dessus des laminaires. Prise exceptionnelle, mon cerveau se déconnecte, et oublie complètement la raison de cette escapade sudiste. Je le tire, il fait un bruit pas possible, et je le remonte plus aisément encore que je l'ai approché. Les stagiaires d'Eric sauvage se rapprochait de plus en plus, signe annonciateur du moment qui marquerait notre départ pour l'archipel des Glénan. Nous avisons une première pierre, ou plutot un plateau, facilement identifiable puisque les roches émergent tels des dolmens posés sur l'eau. Cette fois ci nous avons ancré, la chaleur ambiante nous étouffant sur le bateau. Chacun à l'eau de notre côté, l'objectif est de faire du sar. Assez rapidement, je me suis rendu compte que la première pierre ne m'apporterait pas satisfaction. La vie y est timide, quelques petits sars broutent tranquillement le long des parois. Quelques mètres plus loin, une roche affleure, je m'y rends tranquillement. Autre limonade, de gros sars stationnent au pied des laminaires. Les bruits sont assourdissant, les coquillages cassent entre leurs dents. C'est l'heure d'user de toute ma panoplie de sioux. C'est difficile, car les sars, lorsque l'on fait nos indiennes entre les pieds de laminaires, sont rarement dans le bon axe de tir, et ils fuient facilement avant que l'on puisse les aligner. J'arrive tout de même à en faire un joli. Je tire un deuxième, il est bien piqué mais l'ardillon n'ayant pas traversé, il réussi à se décrocher. Nous décidons de partir un peu plus loin afin de prospecter une autre zone. La pierre découvre, et je distingue une autre roche affleurant un peu en aval. Skip chasse sur la première tandis que je me dirige vers la seconde. Le sondeur s'affole, je fais quelques agachons en chemin. Un banc de chinchard m'entoure, quelque petits bars, et sur ma droite un banc de veirade (sar à tête noir) vient à ma rencontre. Je tourne l'arbalète et en prélève un beau. Je continue mon chemin et trouve la pierre. le spectacle majestueux du balais de bars en banc, que l'on distingue sous ses palmes, commence. Petite coulée discrête, je nage de plaisir, les bars m'encerclent, viennent de partout, accompagnés de dorades grises et quelques jolis sars. Je profite quelques instants de cette représentation unique, avant de me décider à tirer le second bar de la sortie. Le rideau tombe, le spectacle est terminé. Plusieurs autres occasions se présentent, mais la maille que je m'impose augmente au fur et à mesure que les poissons viennent garnir l'accroche poisson. L'heure tourne, le soleil brule toujours autant nos visages marqués par le sel. Nous changeons de cap, et de stratégie, pour essayer de débusquer de gros bars dans les petits fonds. Pour ma part, sur cette zone, peu de chose à dire, tandis que skip décrochera un sar et manquera une fenêtre de tir sur un bar de 2 kg. Mon accolyte commence à être fatigué, il est déjà 17h. je lui avais promis de terminer notre périple en côte, sur des pierres dont j'ai le secret. Arrivé sur le premier spot, je l'ai brieffé afin qu'il mette toutes les chances de son côté. Il y fait sa pêche quelques minutes, puis revient au bateau. Il fatigue, la journée sportive commence à laisser ses stigmates sur notre faciès. Je prends donc le relais sur une zone d'hymantales, où la visibilité est très médiocre. Je fais quelques apnées qui me premettent de décrocher un joli sar. Quelques instants plus tard, je remets le couvert, et surprends un joli banc. J'arrive à tirer à la volée, mais vois la flèche taper le dessus du crâne d'un sar sans qu'il ne soit blessé. Le banc éclate dans un bruit de tonnerre, mais j'aperçois un sar couché sur le flanc, pris de spasmes. Je me suis donc rué dessus pour l'attraper... à la main!!! Crise cardiaque du poisson? Assomé par ma flèche? Je ne sais pas vraiment ce qu'il s'est passé. La seule chose dont je suis certain, c'est qu'il a fini sur mon accroche poisson. Mes deux poissons pris me suffisait, j'ai donc choisi de terminer cette journée sur un dernier spot à bar. Mais un petit bateau de ligneur y pêchait déjà. Jai tourné autour pour voir s'il n'était pas là pour poser des casiers, mais à la vue de la ligne qu'il tenait à la main, nous l'avons laissé tranquile. Dommage, car je voyais bien le money time se profiler, avec un troisième joli bar me faisant l'honneur de prendre une flèche.... Nous avons passé une bonne journée en mer, avec un retour à la maison pour 20h30. La chasse n'était pas simple, avec une visibilité parfois compliquée. Mais le soleil, la mer d'huile, et l'eau à 20 degrés sont autant de petits détails qui vous font oublier tout le reste. Les délices de la vie sont parfois dans ces moments où, le temps d'une journée, nous nous contentons de faire ce qu'on aime.
  12. Visi baie de Concarneau hier, 3m environ, chargé. On a eu jusque 5m sur les glenan, 3m ensuite sur la montante. Et au bord côté Trévignon javais entre 1 et 2m très chargé. Eau à 20 voir 21 dans une couche de 3m à la surface. 18 en dessous plus bas. Chasse avec skip.
  13. Ouais bah ravary on repassera. Cest pas mister perfect, il traîne ses casseroles aussi...
  14. La visi s'explique, au moins en partie, par deux facteurs : - en début de saison on a eu beaucoup de vent, la mer a bien remué. La visi était dégueulasse. - ensuite on a eu un premier épisode de floraison, fin avril, qui a dégradé la visi. Et il semblerait qu'avec les fortes chaleurs actuelles, on ait un deuxième épisode. PS: c'est quoi ton arbalète?
  15. Sortie entre camaret et le tas de pois. Visi 3m laiteux. Du bar de la grise et du sar. Je ferais du sar. Eau à 16.
  16. Sortie dimanche après midi au large de camaret. Visi très médiocre (4 mètres au mieux), voir carrément sale (à peine 1 mètre par endroit). j'ai fait toute la montante et une partie de la descendante. Température de l'eau entre 15,6 et 17 degrés proche de la surface et des roches. Vu pas mal de bars, beaucoup de grises. Je n'ai tiré aucun des deux, par soucis de la législation, et parce que la grise ne m'intéressait pas. Pas vu de lieu, et ma condition physique médiocre du moment ne m'a pas permis de chasser le pagre. Je ferais un peu de sars.
  17. Ben moi sortie à plougastel. C’etait Deguelasse.
  18. YoannRev

    Un Bon Couteau!

    je te ferais bien affuter mon nogent. Pas cher mais ça coupe bien pour de l'inox.
  19. cool, tu vas enfin pouvoir remanger du poisson... Bien joué.
  20. tu étais à 2 doigts d'être drôle....
  21. fais des apnées poumons mi-vide. Tu verras, au début ca pique. Mais après tu feras du poisson dans les 3 premiers mètres.
  22. Disons que le coup d’arret Pour moi le concerne uniquement les coups du soir car j’avais l’habitude de faire du bar. Maintenant quand je sors Finistère nord, c’est en bateau, et je vise principalement lieus et sars.
  23. La mienne est sportive. Il fut un temps où l’on courait ensemble nos 10km. Et elle me suivait bien!
  24. Comme tu le dis William, tout est question de compromis. Et de motivation. Je travaille en général 45 heures par semaine, j'ai deux enfants (4 et 2 ans), je m'en occupe seul 2 soirs par semaine, et toute la journée de samedi, et je fais du futsal 1 à 2 fois par semaine le soir avec les collègues. Et pourtant j'arrive à plonger. Le plus souvent le dimanche, généralement le matin, parfois un petit coup du soir même si la restriction sur le bar a mis un coup d'arrêt à ma motivation... Il faut juste être organisé, et s'accorder le temps qu'il faut. Je ne sais pas comment font les autres, mais si je n'avais pas ce genre de soupape, je pêterais un cable.
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