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Citation du site web de Navionics : Depuis l'acquisition de Navionics par Garmin, les deux entreprises travaillent de concert afin de créer des produits de cartographie de qualité supérieure, combinant le meilleur de leurs données et technologies respectives. Cette alliance est bénéfique pour tous les plaisanciers. Elle permet aux nouveaux produits g3 de Garmin d'offrir une couverture et un niveau de détail inégalés grâce aux contenus Garmin et Navionics intégrés. Ensemble, nous pouvons offrir à nos clients le meilleur de nos deux domaines sous la forme de contenus, services et innovations sans précédent.

Autre point, qui fait d'ailleurs que je ne prendrais pas le risque. Tu pôurrais recevoir une carte SD vierge de la part d'un mec qui t'assure par la suite que c'est toi qui ne sait pas la lire. ça doit être lucratif comme bizness, vendre des cartes SD vierges comme des maps Navionics.

C'est un avis de profane, mais je pense que c'est une question de mise à jour. En général, les côtes et les fonds ne se déplacent pas beaucoup. En revanche, il pourrait y avoir des changements de balisage, zones protégées, accès interdit... Tout dépend donc de l'âge de la carte que tu vas prendre et du prix demandé en comparaison du prix d'une carte plus récente. Je vois qu'il existe aussi des cartes "small". Celle autour de chez toi irait de l'île de Batz à Carentan, ce qui est déjà pas mal. A vérifier au minimum, ce serait con de mettre plus de 120 € dans une carte incompatible.

Ben oui, les pros continuent à pêcher. Les pros se plaignent aussi de devoir aller les chercher toujours plus loin et plus profond. Mais les pros se plaignent toujours de la diminution de la ressource. Jusqu'à ce qu'on restreigne les quotas, les mailles, ou qu'on impose un moratoire total, là d'un coup la ressource est en pleine forme. Perso, n'ayant qu'un observation à mon actif, j'ai pas de recul. Par contre, je connais quelques chassous qui ne se gêneront pas le jour où ils croiseront une belle pièce

L'eau refroidit jusqu'à Mars/Avril et se réchauffe jusqu'à Septembre. La température de la mer a toujours un train de retard sur la température de l'air, qui a un train de retard sur les durées d'ensoleillement. Si tout était synchro, les températures extrêmes se ressentiraient aux dates de solstices. Est-ce que la fonte des neiges a un impact significatif sur la température de la mer ? Je ne saurais m'avancer. Ce que je sais, c'est que certaines rivières de basse et moyenne altitude (moins de 600m) ne dépassent pas les 10°C avant la mi-juin, et 15°C avant la mi-juillet. Je cite en exemple le Loup, dans lequel j'ai passé mon adolescence à me geler les c*uilles avec les potos.

J'allais le dire. J'en ai croisé qu'une, mais elle fut épargnée. En plus en pleine période d'oursins, la bleusaille tourne pas mal à cause des bracos qui revendent. Après, l'arrêté date de 2014, donc pas mal de monde en a fait avant, je suppose. Surtout qu'il y a quelques coins "connus" par ici où en trouverait fréquemment. C'est déjà une taille correcte. Suffisant pour une bonne recette ?

J'en ai déjà croisé une en baie d'Ajaccio. On dit qu'il y en a devant Sète (un ami a vu sortir un chassou avec 4 langoustes à la ceinture). Elles sont bien présentes et en nombre mais généralement plus profondes, 40 mètres et plus. Parce que dans moins, elles sont vite prélevées. Il y a aussi des homards, mais ils sont encore plus rares. Les prises dans peu d'eau (<20m) restent cependant exceptionnelles en méd. Comme pour le St Pierre ou la Lotte. Il faut savoir que la langouste est planctonique dans ses stades larvaires, elle peut donc se développer partout où elle trouvera une cachette qui lui permettra de grandir sans se faire bouffer. En haute Corse, le labo universitaire "Stella Mare" a créé des récifs artificiels et y a implanté des post larves de langoustes. Lors des premiers comptage (pour connaître le taux de survie), ils ont cru qu'une bonne partie s'était faite bouffer, parce qu'introuvables sur site. Par la suite, ils les ont vues presque toutes réapparaître, les petites coquines étaient juste super bien cachées. Félicitations en tous cas pour cette prise, une petite photo de 'la bête' ?

Je me mettrai pas dans cet état pour de la HK, mais si je vois un tel volume de frigo réservé à la bière, je ne réponds plus de moi ?

Pareil, pas de "vrai arrêt". Je sors quand j'ai un créneau et que la mer n'est pas trop agitée. A savoir : En méd, plus tu vas vers l'ouest, plus l'eau sera froide. De ce que je connais, pour avoir un exemple. Aux périodes de Noël, l'eau est à environ 16° en Corse du Sud 15° à Antibes 13° à Marseille 11° En Hérault. Pour la combi, c'est à la sensibilité de chacun. Perso, je ne supporte pas la 5mm si l'eau est à plus de 21°C (je sors en shorty). Autant dire qu'à 15-16 en 5mm, je me sens à mon aise. En-dessous de 13°, ça commence à faire froid et mes sorties se raccourcissent, mais je suis toujours en 5mm.

J'aurais appris quelque chose aujourd'hui. Je ne savais pas qu'il existait des lunettes "spécial apnée". En essayant de chercher ces lunettes (pas trouvées, mais c'est peut-être pas si dur à bricoler avec des lunettes du commerce), je suis tombé sur un fabriquant qui s'appelle Hektometer et qui fait depuis 2018 des lunettes auto-équilibrées par membrane. Elles coûtent la bagatelle de 150 € la paire.

Les yeux, on croirait pas, mais c'est hyper souple. Le souci, c'est que c'est aussi hyper sensible. Pas d'intérêt selon moi à mettre des lunettes plutôt qu'un masque si ce n'est pas pour faire des descentes régulières à -40 et plus.

A l'inverse, si tu portes un masque, tu devras utiliser beaucoup d'air pour équilibrer en profondeur. Profondeur (m) Pression absolue (bar) Volume de gaz (%) Rapport de Quantité de gaz (mol/mol) 0 1 100% 1 1 1,1 100% 1,1 10 2 100% 2 20 3 100% 3 30 4 100% 4 40 5 100% 5 50 6 100% 6 60 7 100% 7 100 11 100% 11 D'après ce tableau, pour un masque qui contient 200 ml d'air, il faudra équilibrer avec (en équivalent de volume à Pression atmosphérique) 20 ml pour descendre à 1m 200 ml pour descendre à 10m 400 ml pour descendre à 20m 1 litre d'air à 50m 2 litres d'air à 100m Autant dire que ça tire pas mal sur les poumons, a une influence non négligeable sur la profondeur à laquelle les poumons de l'apnéiste atteignent le volume résiduel, et oblige au recours à des techniques comme le mouthfill, qui n'arrangent pas non plus la relaxation à la descente.

Herbert Nitsch Morgan Bourc'his Patrick Musimu Natalia Molchanova Si eux estiment qu'ils peuvent mettre des petites lunettes pour descendre, ça doit être possible pour d'autres. Je pense qu'il faut essayer de trouver celles avec le plus petit volume possible, pour limiter l'enfoncement dans les arcades et la dilatation des globes oculaires. Faut penser que plus on descend profond, moins la profondeur supplémentaire a d'impact sur la compression du gaz dans les lunettes. ça fait mal, les yeux sortent des orbites, mais si tu arrives à rester zen malgré ça, ça te fait économiser tout plein d'air que tu n'utilises pas pour équilibrer le masque. Profondeur (m) Pression absolue (bar) Volume de gaz (%) 0 1 100% 10 2 50% 20 3 33% 30 4 25% 40 5 20% 50 6 17% 60 7 14% 100 11 9%

Faut bien que je te laisse chercher un peu aussi ? J'ai mis près de deux ans à récolter tout plein de données allant de Perpignan à la Camargue... puis j'ai déménagé. Là, il y a 70 % du boulot de fait, je t'ai informé que ces données existent et sont consultables gratuitement pour qui saura les trouver. ?

Qu'est-ce que tu veux dire par plus efficace ? à vue de pif, quelques points de comparaison : Rendement : Une hydrolienne aura probablement un rendement mécanique plus important qu'une éolienne. Mais l'éolienne peut "capter" sur une surface bien plus importante. Possibilités d'installation : Les régions avec du vent régulier sont bien plus nombreuses que celles avec un courant régulier Investissement initial : L' éolienne est plus facile à installer, car peu de travaux sous-marin en comparaison avec les hydroliennes. Les matériaux supplémentaires d'une éolienne et la différence du coût de transport contrebalancent-ils le prix d'une installation étanchéifiée à mort, je ne sais pas Impact environnemental : Un mixer sous marin vs un mixer aérien. Les oiseaux peuvent cependant mieux voir arriver une éolienne que les poissons une hydrolienne en eaux troubles. Risque humain : Les éoliennes sont trop hautes pour nous petits terriens et généralement trop basses pour toucher un avion. La couche d'eau où le courant est le plus fort est juste sous la surface, le risque de collision est donc important Entretien : Les éoliennes s'abîment du fait de la vitesse en bout de pale (300 à 500 km/h), entretien tous les 10 ans plus suivi régulier de la boîte de vitesses et des composants électriques. Pour une hydrolienne, en plus du suivi mécanique et électrique, il faudra régulièrement sortir l'ensemble pour détacher le fouling. Sous peine de voir toute la mécanique s'arrêter Pour moi, l'hydrolienne est applicable et rentable dans quelques applications seulement. Zones à fort courant régulier, faible trafic maritime... L'éolienne, dès qu'on est dans une plaine ou sur une crête avec un vent régulier, ça passe. vive le nucléaire, et vivement la fusion.

Merci, je constate avec horreur qu'un golden retriever est meilleur chasseur que moi ?

Homologation obligatoire à plus de 2 milles d'un abri. Mais là, on arrive déjà dans les limites des zones qu'un débutant ou intermédiaire peut explorer et surtout chasser en toute sécurité (fatigue, courant, etc.)

Les déchets, grande polémique. Les Corses un tant soit peu impliqués en politique vous le diront ? Si vous avez 5 min pour rire (ou pleurer) de la situation Ici, les déchets sont enfouis depuis environ 60 ans. Avant ça, tous les déchets étaient balancés dans les ravins. Depuis une quinzaine d'années, les sites d'enfouissement arrivent au max de leur capacité, et les contrats cadres avec les communes qui autorisent ces enfouissements sont dépassés. Ayant vu arriver le truc, les gestionnaires (coopération élus/entreprise gestionnaire financée par la région) ont commencé à travailler dans les années 2000 sur un (ou deux ?) incinérateur(s). C'est une fois le projet en bonne voie (site trouvé, dimensionnement réalisé, plus qu'à le faire voter en assemblée) que les associations écologistes ont mis le nez dedans, ainsi que quelques politiques plutôt conservateurs. Globalement, le projet a été torpillé à cause des craintes liées à la pollution visuelle et aux fumées pleines de dioxines (argument valable jusque dans les années 80, maintenant les cheminées ont des catalyseurs qui suppriment 98% du problème). Pour avoir rencontré quelques personnes ayant travaillé sur le projet... ils l'ont mal pris. L'an dernier, la capacité max fixée annuellement pour l'enfouissement a été atteinte en plein mois d'Août (ou même Juillet, à vérifier), les élus locaux ont bloqué l'accès aux centres d'enfouissement et les comcom des autres microrégions se sont mises à mettre les déchets en balles pour les stocker sur des terrains communaux jusqu'à Janvier, date de remise à zéro des compteurs. Le problème c'est que maintenant, avec les mesures prises en urgence, les déchets sont en partie enfouis sur l'île, et en partie exportés vers Marseille ou ils seront... incinérés. On paie donc le prix de l'incinération + le transport ?? sur cette part De nouveaux projets sont maintenant en cours d'élaboration => objectif tri à 100%, nouveaux sites pour l'enfouissement des déchets ultimes = monstres. Mais bon, il y en a encore pour 15 ans à tout bien mettre en place avec les études d'impact, changement des mentalités, mise en place de sites de transfert... démarrés avec finalement 20 ans de retard. Et on ne parle même pas des "intérêts particuliers" de certains. Mais ces accusations ne sont pas basées sur des faits prouvés.

J'y connais rien en souris et rash guard, mais je plussoie sur les sensibilités de chacun. En ce qui me concerne :

Pour ça, faudrait déjà que toutes ces administrations communiquent et soient sur la même longueur d'ondes. Parmi les organismes qui participent à la décision de déclarer une zone interdite à la CSM ou à la pêche, on a : _ Municipalités _ Conseil ou assemblée départementale. _ DDTM _ DIRM _ Agence française pour la biodiversité (fusion en 2016 de l'ONEMA, les agence des aires marines protégées et l'Atelier technique des espaces naturels) _ Autorités portuaires _ Agence de l'eau _ prud'homies de pêche _ Syndicat national de la conchyliculture, ainsi que les comités et syndicats locaux ou régionaux _ Union Européenne _ Accords internationaux (comme pour Monaco) Je ne les ai probablement pas tous cités, mais ça donne une idée. Ces agences sont parfois géographiquement proches, voire dans les mêmes locaux, mais ne communiquent pas plus pour autant. La preuve, on a ici une superposition de deux zones protégées, alors que la seconde zone aurait pu être incrémentée à la première. ça aurait simplifié la chose pour ceux qui consultent les données. Maintenant, pour faire une carte unique, il faudrait mettre tous les acteurs précédents autour d'une table. 1ère difficulté Leur faire comprendre que la mise en commun des données est essentielle. Facile Décider de quel organisme sera en charge de l'interprétation et la mise à disposition des données. Ou qui paye pour la mise à disposition au grand public. 2ème difficulté

cercle rouge = zone interdite toute l'année (pour la CSM, pêche à la ligne autorisée, va comprendre...) Zone en jaune interdite du 1er Octobre au 31 Mars. Et donc autorisée du 1er Avril au 30 Septembre (aujourd'hui). SAUF dans la zone balisée des 300m, chenal, sentier sous marin, zones de baignade. Y a plus qu'à espérer qu'ils mettent les bouées des 300m en Juin. cf. légende dans la seconde carte

Un petit .kmz pour Google Earth et une image indiquant comment les deux zones se superposent Réserve marine du Roc de Brescou.kmz

Je créée un petit sujet pour informer ceux qui ne le savaient pas encore de la création d'une réserve au Cap d'Agde https://www.premar-mediterranee.gouv.fr/uploads/mediterranee/arretes/0ab7c34892eb5a87f28448e6e196aa9f.pdf Cette zone vient s'ajouter à celle déjà interdite dans la réglementation de l'aire marine protégée de la côte Agathoise. Pour chasser en toute légalité au Cap d'Agde, il va falloir s'accrocher ? et avoir un diplôme de droit

En cherchant un peu (beaucoup), tu pourras aussi trouver des cartographies des habitats et/ou biocénoses. Natura 2000 ou aires marines protégées, faut trouver et feuilleter les rapports : _ Posidonies de la côte Palavasienne (de Frontignan à La Grande Motte) _ FR9102014 Bancs Sableux de l'Espiguette (du Grau du Roi à l'embouchure du Rhône Vif) _ Aire marine protégée de la côte Agathoise (Cap d'Agde, Grau d'Agde) _ FR9102013 Côtes sableuses de l'infralittoral languedocien (De Vias à Port-la-Nouvelle, sauf grau de Vendres) Spoiler : c'est que du sable _ FR9101436 Cours inférieur de l'Aude (Devant le Grau de Vendres = Embouchure de l'Aude) J'ai encore rien trouvé dans ces données pour la camargue et la côte allant de Sète à Marseillan, bien que je sache qu'il y a quelques pierres dans le seconde zone. La base de données du SHOM (data.shom.fr) a aussi mis en ligne la couche 'Litto3D' pour le Languedoc-Roussillon (et aussi Finistère, Morbihan, Mer d'Iroise, PACA, Corse et les outre-mers). C'est un relevé bathymètrique ultra-précis (<2m80 sur toute la couche) qui pourra t'aider à trouver des pierres, tombants, failles... ouais, je sors pas aussi souvent que je le voudrais, et j'aime tester de nouveaux spots. Alors je repère..beaucoup

Je dis pas pour le reste de la gamme, mais à moins de 20€ fallait pas que je m'attende à de la qualité. J'ai acheté ce couteau quand je me suis rendu compte que j'avais besoin d'un couteau. Les sites que je consultais donnaient des informations vagues et plus commerciales qu'utiles. Ce n'est que récemment que les duretés et nuances d'acier ont commencé à apparaître. Du coup j'étais parti pour "acheter un couteau" sans trop me soucier de la qualité (pas autant que le prix). Il fait le taff, mais il reste limité et difficile au quotidien. Aussi, c'est pas parce que le bas de gamme de la marque est pourri que le reste l'est aussi ? j'ai juste pas essayé le reste, donc je ne me prononce pas dessus.