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luc

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Tout ce qui a été posté par luc

  1. Ce sont les valeurs que je te demande au vue de ce que tu clames
  2. Si, si je peux dire qu'un certain nombre ce sont suicidés sur ma flèche et cela, quelle soit avec un ou deux ardillons (depuis maintenant une bonne quinzaine d'années). Ma flèche et son double ardillon ont essuyé un certain nombre de coup de boule de bar, mérou, denti, de vielle ... en mode brochette sans que cela ne me gène le moins du monde. Il suffit de défaire la liaison moulinet/flèche (4 secondes) et de sortir ta flèche. Quand à la fragilité, les flèches que j'ai cassé, l'ont été au niveau du talon ou des encoches, lorsque je péchais avec des élastiques (je n'ai jamais cassé une flèche avec un pneu). Le talon et l'encoche sont les points les plus fragile sur une flèche pour élastique. Qu'appel tu tirer juste ... ? Lorsque tu tires des poissons vigoureux, sur cette latitude ou une autre, ils luttent jusqu'à se déchirer de moitié. Le double ardillon permet de diviser leur possibilité de mouvement. L'étape au dessus est la pointe détachable ... que tu n'utilises pas car tu tires juste dès le départ ?
  3. Selon quelles valeurs et mesures ??
  4. ?? Bien vue, Merci Antoine @TONIDO J'ai complètement zappé de te mettre le doc, excuse ma distraction ? A titre d'indication, pour le STEN 84 les tests les plus efficients on été effectués avec 25CC MOBIL DTE + graisse silicone
  5. A la place de la chambre à air, enroule ta flèche dans de la toile émeri 250 <> 400 avec bien sur le grain en contact de la flèche Pour un M7 x100, la flèche doit faire un diam de 7 et effectivement si celle ci est plus forte, visse la vis de ta filière pour lui donner un peu plus de jeu à condition que ton porte filière est un peu de marge également (jeu) ou usinage
  6. J'ai lu quelques histoires voir des contes pour cet aspect lubrifiant sur des médias Anglais, Italien, Français ... vu des vidéos distrayantes Certes, j'ai pu tester et observer l'utilité de lubrifier, toutefois, cela serait je pense une grossière erreur de se focaliser là dessus. Le serrage devrait être, il me semble, le premier sujet d'attention ? Puis le profil du joint, son adéquation avec sa gorge et le jeu piston/alésage
  7. Toi tu as des mords en ferraille ?
  8. Voici celle avec laquelle, j'ai la meilleur réponse pour le système (qualité, viscosité et compatibilité avec l'huile) Fiche technique
  9. ? Quel sont les coulisseaux utilisé ?
  10. Bonjour MAJCAAM As-tu remarqué l'incidence de la ligne trainée par les projectiles ! Hormis la variable bonhomme, c'est un des facteurs matériel fort en réponse à la déviation de tes flèches ? ?
  11. Sur quel diam de flèche ?
  12. MarcO Régulateur Ok, mais il ne faut pas oublier à quelle P initiale de service tu gonfles tes jouets In fine ta puissance développée avec régulateur est peut-être égale à ma puissance sans régul ?
  13. Comme quoi ce n'est pas la taille qui donne le plaisir ? Même pas obligé de se mutiler ?
  14. Merci à toi de ton retour ? Est-ce les volumes prescrit par les fabricant de tes fusils ?
  15. Tel que je l’ai abordé pour le régulateur, je peux ainsi regarder l’incidence éventuelle de l’huile sur le système. Il circule un certain nombre de « ouï dire et propos » sur cette thématique d’où les questionnements légitimes de certains d’entre nous. J’ai identifié quatre domaines concernés par l’huile : 1. la lubrification 2. la protection 3. le volume 4. le poids 1. la lubrification Notre montage met en œuvre des parties en mouvement telles que : · le mécanisme du piston avec ces parties en contact [crochet de crantage/piston], [joint de piston/canne] · le mécanisme de détente avec ces parties en contact [axe de détente/joint] · le mécanisme du régulateur avec ces parties en contact [axe de commande régulateur/joint] La lubrification intervient pour permettre de réduire les frictions de contact dynamique et leurs usures. Ces contacts dynamiques s’établissent entre des matériaux différents par l’intermédiaire de leurs surfaces exposées. Lorsque je grossis les surfaces de la canne, du crochet de crantage, de l’insert de crantage du piston, de l’axe de détente, de l’axe de commande du régulateur (inox, aluminium …) ou des joints, je constate des reliefs prononcés interdisant un contact dynamique sec sans arrachage. L’état de surface est différent selon la matière mais également en fonction de la finition d’usinage de ladite surface. Afin de réduire les frictions, une solution consiste à polir miroir mes surfaces dures. Toutefois, une fois polies ces parties offrent une surface de contact plus importante ayant pour conséquence un échauffement accru. Celle-ci nécessite donc l’usage d’un film tampon, soit un lubrifiant. Également la nature des joints en contact, sur une surface polie, subit ces échauffements. Leurs résistances étant plus faibles, les surfaces de contact des joints se désagrègent, nuisant ainsi à leur fonction. Celle-ci nécessite donc l’usage d’un film tampon, soit un lubrifiant. Le résultat du polissage accompagné du lubrifiant offre ainsi le meilleur résultat. Sachant également que certaines matières sont constituées de molécules plus fines, ainsi nous pourrons obtenir un degré de polissage plus élevé avec l’inox comparativement à l'aluminium ou le titane. De plus, le lubrifiant aura un impact certain via sa viscosité, voire sa nature. Nos contraintes : · matière en contact les plus faibles à protéger (joint) · granulométrie des surfaces de finition les plus grossières (aluminium) · vitesse de déplacement les plus élevées (max envisagé) ~ 50 m/s · milieu air volume intérieur / eau volume extérieur · T° [fourchette de couverture -25° / 100°] · Cadence coup par coup · Fréquence 6 A.R course piston /h (max envisagé) Une huile de faible viscosité (10W voir 5W) surtout si polissage, pourra être un bon choix. Le volume étant déterminé par le fabricant du fusil. Toutefois …celle-ci seule n’apporte pas solution pleine en rapport au contrainte de préservation. J’ai donc testé avec un piston auto lubrifié MIZALO, un mixte graisse Teflon et huile semi synthétique pour fourche 10W, sur 4 saisons + mesures efforts pistons en atelier 2. La protection Notre assemblage fonctionne en milieu fermé, les éléments du mécanisme sont exposés à un milieu air en vase clos. Cette ambiance exposée aux variations de T° peut produire de l’humidité. Les matériaux peuvent donc être ainsi exposés à de l’oxydation. L’azote pourrait donc être une solution, celle-ci apporte d’autre contraintes de logistique et de mise en œuvre. La lubrification intervient également pour permettre de réduire cette corrosion. Aussi après avoir effectué des tests sur plusieurs saisons, avec le mélange ci-avant, j’ai pu observer la création d’une émulsion, au niveau des joints, à l’abord intérieur du réservoir du piston. Cette émulsion confirme la présence d’humidité dans le volume pleinement étanche. Validant ainsi la réaction aux variations de T° et le mauvais choix de l’additif au téflon (graisse). J’ai donc opté pour un classique de remplacement, à savoir l’apport bien connu d’un additif silicone (graisse). Ce mélange testé sur la même durée et dans les mêmes conditions répond pleinement aux attendus de lubrification et protection. Il a l’avantage d’être hydrophobe et garde donc toutes ces propriétés. Toutefois, je me suis posé la question de la lubrification en termes de performance. Hors, lors des tests de coefficient de charge et de décharge pour les pistons, j’ai constaté que ceux-ci nécessitent une force pour les mettre en mouvement. Puis, lorsque le lubrifiant est correctement réparti devant chaque joint du piston (penser à stocker le fusil tête en bas) et une fois la dynamique engagée en continu, l’effort nécessaire est quasi nul. Ce d’autant aux vitesses atteintes pour la phase de tir. Seul peut exister éventuellement un effort répété lors de la phase de chargement/armement, mais ces efforts seront liés aux nombres d’arrêt par blocage (cintrage de la flèche) et non à la nature du lubrifiant pendant la glisse. Aussi, je pense que pour notre application, l’optimisation de la performance de l’huile, n’apportera rien de remarquable, cela pourra être confirmé sur des mesures en phase de tir. Seule ma curiosité pourrait être exacerbée par des essais avec de l’huile silicone. 3. le volume L’huile, dans notre cas, occupe un volume de 25cm3 dans l’espace gaz de la cuve. Quelques-uns, en supprimant l’huile ont perçu une différence. Ils ont observé que la suppression de l’huile permettait de diminuer l’effort de chargement et en ont déduit que cela était bénéfique et que l’huile avait donc un effet négatif. Hors, cette différence est uniquement liée à cette modification de volume et non à une quelconque propriété défavorable du lubrifiant sauf à utiliser de la poisse. La suppression de l’huile (non conseillé) a donc pour effet premier de muter son volume liquide en volume gaz. Je peux donc mettre en évidence les impacts mesurables sur le tableau ci-après. Ce qui pourra également être perceptible, est l’incidence sur la flottabilité. Le juste dosage de quantité utile est donc important. 4. Le poids À la vue du rapport entre le poids de l’huile et du fusil il n’y aura en cas de retrait (non conseillé) que peu d’effet dû au poids seul. Dans ce cas cette perte de poids influera sur la flottabilité (minimaliste). Conclusion La présence d’huile est nécessaire pour la lubrification et la protection de notre système. Le juste dosage permet de ne pas perturber les autres valeurs. Le mélange huile semi synthétique 10W et graisse silicone procure un juste équilibre.
  16. C'est toi que l'on doit remercier de prendre le temps permettant le partage ?
  17. ?
  18. Fais toi plaisir, la vie est courte ?
  19. Pas de soucis ? Lors d'un échange avec MarcO, sur la première page, j'explique quelles sont les valeurs prises en compte pour l'effort de chargement. Le résultat (pour l'assemblage choisi et un chargeur Mares Cyrano) se lit dans les colonnes Pdc et Pfc (plus la valeur est haute plus l'effort est important) du tableau des pistons: Pdc = Pression musculaire à exercer début de course pour charger Pfc = Pression musculaire à exercer fin de course pour armer Sachant que 1bar = 1daN/cm² = 1kg02/cm² Ainsi tu peux faire le constat que pour un même chargeur et une même qualité de geste de chargement, l'effort de charge sera proportionnel à la PU induite par le choix du piston, pour une PiS commune = Pression initiale de Service (gonflage)
  20. Tu as déjà cette réponse ?
  21. Pour le tableau des pistons, le filtre est sur la première colonne "course de piston" : de la plus longue à la plus courte (meilleur ou moins bon est question d'attendu) Pour la fragilité des joints, j'ai extrait et croisé mes résultats de tests d'étude pour applications électropneumatique (comprenant des alésages de piston de 4mm à 85mm, des course de 11mm à 1025mm, des vitesses ...) et de fiche fabricant "caractéristiques techniques" Il y a un vrais gain, conditionné par le bon choix de ref: dimension de gorge (diam fond de gorge, largeur de gorge, hauteur de gorge, diam alésage, dynamique translation, nb de joint et portée ...) Le mieux est de transmettre l'ensemble des côtes et contraintes au fabriquant pour meilleur choix (il y a quelques subtilités) J'attends 2 pistons du DUC pour essais ?, dommage qu'il ne soit pas un peu plus court. Toujours est-il qu'il n'a jamais fait cet essais ... (du moins est-ce sa réponse) en cours, je rédige Super c'est sympa, je note, si besoin ? Il y a déjà matière, je pense ci-avant, à trouver réponses à quelques questions. D'autant qu'il en reste à dérouler ?
  22. Petit rappel si besoin Lexique : PiS = Pression initiale de Service (gonflage) PU = Pression Utilisation (charge armement) Dac ou øac= Diamètre d'alésage Sac = Surface d'alésage de la canne FiS (force statique) = Force initiale de Service (piston désarmé phase 1) FU (force statique) = Force Utilisation (piston armé phase 3) R p = ratio de pression phase 3/1 R f = ratio de force phase 3/1 Δ pc = différence de pression cuve gonflage_armement lch = largeur chargeur Lch = Longueur chargeur Sch = Surface chargeur TCdc = taux de charge dynamique pendant le chargement Pdc = Pression musculaire à exercer début de course pour charger Pfc = Pression musculaire à exercer fin de course pour armer R pa = ratio début _fin phase 2 Δ pca = différence de pression chargement_armement dscc = distance sortie de canne / crantage dcdp = distance crantage / devant de piston hcp = course piston = distance bord piston cranté / sortie de canne) Vgcp = volume gaz course du piston Vgc = volume gaz cuve R v = ratio volume cuve_espace de travail piston
  23. Pour le DUC idem, c'est un artisan ? Pour MARES ça couve depuis un certain temps, la situation actuel y est pour partie. Les activités nautique ont pris une grande claque
  24. Merci MAJCAAM de ta réponse. Cela ne pouvait pas en être autrement, pour viser avec nos armes "élastique" (chasse sous marine) nous utilisons: Un premier point - pour les têtes ouvertes, un point dur aléatoire, en bout de fusil (dans ton cas le bout des sandows) - pour les têtes fermés, un point dur identifiable de la tête Un deuxième point - une représentation aléatoire, géométrique, du bout de flèche observable devant le premier point. Les deux points étant censés, se trouver sur le segment de droite, partant de ton œil directeur et finissant sur le deuxième point. La cible selon la distance étant, en bonne pratique, visible sur (aligné sur un point vital) ou au dessus de ce segment. Ceci est d'une grande imprécision pour bien des raisons en comparaison d'une visée avec guidon et œilleton. Cela n'empêche pas de prendre du poisson car nous apprenons de nos gestes et résultats. Ainsi nous finissons par corriger instinctivement lors de nos chasses. Également, tu as pu te rendre compte que nos tirs (en chasse) ne nécessitent pas une précision au mm ni au cm et sont aléatoirement répétible pour leur point d’impacts. D’où une forte variable humaine aléatoire Nous partageons cette certitude de la part d'incidence humaine sur le résultat. Ce d'autant plus qu'elle puisse être différente d'un tir à l'autre. D’où une seconde variable humaine aléatoire Je comprends ta démarche et la façon empirique avec laquelle tu l'as abordé. Je trouve également l'esprit "non commercial" fort louable, voir essentiel. Je n'ai aucun a priori sur une approche empirique. La difficulté, consiste pour ce choix, à réduire au maximum les inconnus afin de ne pas s'égarer dans le labyrinthe des suppositions. Je comprend l'envie de faire simple et avec les moyens du bord. Pour comparer, il est nécessaire de définir l'attendu = la valeur à comparer mais surtout que le test puisse permettre d'isoler cette variable et uniquement celle là. De cette façon les résultats sont le reflet de la variable et non un pot pourri sur lequel aucune assise ne peut s'établir sans le doute Ta vidéo permet bien des constats, elle permet d'observer: Concernant l'environnement - L'environnement est différents d'un bout à l'autre, par des mouvement d'eau de haut en bas et de droite à gauche Concernant le tireur - le placement n'est pas le même pour chaque tir - le verrouillage tête, épaule, bras, coude, poignet ... n'est pas le même pour chaque tir - la visée ne semble pas la même avec tous les fusils - les tirs ne sont pas déclenchés sur un même "moment de tir" Concernant les armes - Il n'y a aucun point commun entre ces armes permettant une comparaison sauf à ce que l'on considère que l'on puisse tirer avec sous l'eau - Les configurations ne sont pas pertinentes (voir aberrantes) pour plusieurs d'entre elles. - les dimensions différentes - les puissances différentes - leurs reculs est différents Concernant les projectiles - ils sont de formes différentes - ils sont de dimension différentes - ils sont équipés de façon différentes - ils ont des trajectoires vertical différentes -ils ont des trajectoires horizontal différentes - ils ont, semble t-il, des vitesses différentes - ils sont tous impactés par le recul Concernant les impacts - les angles de pénétration sont différents - les profondeurs de pénétration sont différentes - les positions d'impacts sont différentes Ok et donc je fais quoi de ces observations, si ce n'est que de me poser autant de questions qu'il y a de variables en simultané. Ce n'est pas propre à ta vidéo, nombreuses ont des similitudes sur la problématique de destination. Tu soulèves là un postulat acquit sur l'expérience (que du reste, nous sommes nombreux à partager), ta vidéo n'en fait pas la démonstration mais permet d’en observer la conséquence. Cela aurait pu être le cas, si dans cette même vidéo les configurations eurent été optimisées et l'effet de ce correctif montré. Je serais plus nuancé, comme nous l'avons vu, ta vidéo permet de voir un résultat mais n'en montre pas la cause. Pour cela il manque l'analyse, la correction et le résultat de l'optimisation. Cela même dont nous débattons. Sans même parler de comparaison entre ces 5 config Établir précisément l'attendu (Dans ton titre "Test du matériel" ...) Tests isolent la variable recherché et mise en situation identique (séparation Outil et humaine en cet Endroit par rapport au titre) Relever les valeurs Analyser les causes Proposer le correctif Optimisation Tests ainsi modifiés Relever et comparaisons des valeurs pour validation des modifs Le chevalet permet d'isoler le matériel, pas seulement pour le recul mais pour l'ensemble des critères. Je te l'accord cela est plus fastidieux et rigoureux à mettre en œuvre mais permet plus sûrement d'atteindre ton objectif. Ce n'est que ma vision dont tu peux tenir compte ou non pour les prochaines. Cela ne retire en rien à ton investissement ou ta volonté de bien faire
  25. OK, après tout, tu dois certainement avoir raison ... J'aurai essayé
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