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Vulgarisation du pneumatique
luc a répondu à un(e) sujet de luc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
Mon chargeur me permet, via la flèche, de décoller et pousser le piston dans l’alésage de la canne. J’ai pu accéder, (merci Laurent Kalifa, Nico66, Sébastien, Yuriy, Sasha) entre autres à 34 pistons dont 6 doublons, deux cassés, 3 neuf, avec défaut de fabrication, 5 d’occasions, du 11, du 12, du 13, du 14, 1 artisanal, … A y regarder de près, ce piston est une pièce maitresse de mon système. Voir la quantité de modèles existants m’a poussé à en analyser et mesurer : Images quelques spécimens 1. Géométrie, Trois formes se dégagent très nettement : · tubulaire · avec rétrécissement (hors d’un segment de joint), je n’ai pas su en déterminer le rôle ou l’intérêt sauf à vouloir alléger · avec réservoir de lubrification (dans un segment de joints) Le cône de réception du talon diffère également : angle, génératrice et profondeur = n’accepte pas tous les modèles de talon = Point de vigilance dans le choix La surface (de choc) qui rentre en contact avec l’amortisseur sera soit avec relief ou sans. Je n’ai pas constaté de différence ni sonore, ni d’amortissement entre les deux, peut-être que l’effet, si effet il y a, est non mesurable avec mes outils ou méthodes. 2. Dimension, Très hétéroclite selon les modèles mais également pour un même modèle. Dans ce dernier cas, est-ce le fruit d’une large tolérance ou qualité de fabrication ? de différents fournisseurs ? d’époque de fabrication ? … toujours est-il que ces valeurs vont influencer notablement : · son équilibre dynamique, · son poids, · le volume de la chambre de compression, = Point de vigilance faire mesure au préalable pour meilleur choix 3. Glisse, Le piston est une pièce mobile. Il doit également conserver à son endroit l’étanchéité entre les chambres 1 (extérieur ou chambre de vide) et 2 (chambre de joint, communicante ou non avec la chambre 3). J’ai donc besoin de joint avec une bonne glisse. J’ai constaté et mesuré : - Le nombre de joint 1, 2 ou 3. - La nature de ces joints Oring pour la plupart, à lèvre voir mixte pour une partie, quadrilobe pour de très rares. Il est possible d’optimiser avec ces derniers (gain ~20%). - La matière de ces joints En EPDM pour la plupart. Il y en existe avec de bien meilleur rendement de glisse. Là aussi optimisation possible avec du FKM si petit serrage (il gonfle un peu). - Leurs duretés Après différents tests, 70 shore semble être le meilleur compromis. - La répartition de ces joints Déterminant pour l’oscillation et la vibration du piston en dynamique. - Le serrage dans l’alésage de ma canne (à suivre) dite de 13 Plus celui-ci sera fort, plus la vague du joint sera importante. Les dimensions de sa gorge influenceront cet aspect. - La force nécessaire à mettre le piston en mouvement à pression atm Chaque phase statique du piston entraine une forme de collage nécessitant la mise en œuvre d’une force proportionnelle. Une fois en mouvement sa valeur sera conditionnée au lubrifiant (à suivre). La quantité de force déployée participe au taux de charge et taux de décharge selon la direction du mouvement. - La présence d’un réservoir de lubrifiant Un peu moins de la moitié en sont équipés et très rares sont ceux autolubrifiés (chambre 2 communiquant avec la 3) 4. Fabrication La proportion très largement dominante est l’injection. A priori quelques coulés. Peu sont usinés. Tous ont un insert de crantage. En acier, en thermoplastique je dirais polypropylène PPH ou PPC, en Delrin, en titane … 5. Conclusion Adéquation piston/joint(s)/canne = unique = pertinence des choix Dans notre exemple tel que le piston monté d’origine par Mares Image des points de mesures Quelques mesures de contraintes (extrait) pour la cannes de 13 de notre exemple (Pour les 3 joints le central ne figure pas dans cet extrait, Etranglement 2 = joint extérieur gauche; Etranglement 3 = joint extérieur droite) Voyons comment ces différents pistons influencent les valeurs de départ pour les volumes et forces mm bar bar daN bar bar bar multiple bar cm cm3 Pistons Marque Ref distance point 1 à Point 2 pour piston PiS PU FU Δ pc Pdc Pfc R pa Δ pca hcp Vgcp MIZALO 42,49 20,130 23,680 30,758 3,550 4,121 4,848 1,176 0,727 65,751 85,403 MARES STEN 13 49,90 20,130 23,640 30,706 3,510 4,121 4,840 1,174 0,719 65,010 84,441 MARES CYRANO 11 50,30 20,130 23,638 30,703 3,508 4,121 4,840 1,174 0,718 64,970 84,389 MARES CYRANO 13 50,38 20,130 23,637 30,702 3,507 4,121 4,840 1,174 0,718 64,962 84,379 SALVIMAR Predathor 13 52,75 20,130 23,625 30,686 3,495 4,121 4,837 1,174 0,715 64,725 84,071 STC 53,30 20,130 23,622 30,682 3,492 4,121 4,836 1,173 0,715 64,670 83,999 DUCCIO 55,40 20,130 23,610 30,667 3,480 4,121 4,834 1,173 0,713 64,460 83,727 SALVIMAR 57,52 20,130 23,599 30,652 3,469 4,121 4,832 1,172 0,710 64,248 83,451 SEAC 58,00 20,130 23,596 30,649 3,466 4,121 4,831 1,172 0,710 64,200 83,389 CRESSI 58,38 20,130 23,594 30,646 3,464 4,121 4,831 1,172 0,709 64,162 83,339 Conclusion : Nous pouvons donc optimiser nos fusils avec un choix adapté de piston. Ce choix pourra être basé sur différents critères. Ces critères seront soumis au libre arbitre de chacun. -
L'essence n'explose pas ! Elle peut s'enflammer ! un débordement ou une fuite n'entraine pas d'explosion par le liquide ! Seules les vapeurs d'essences peuvent exploser et s'enflammer dans l'explosion ! Encore faut-il que la concentration du mélange de gaz constitué (vapeur d'essence / O2 ) soit comprise entre la LIE et la LSE La cause de ces vapeurs, peut être dû à une fuite ou un débordement comme tu l'indiques.
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Nous sommes en phase avec cela aussi, comme quoi tu vois ? Je ne pense pas avoir exprimé, qu'il n'y est pas de problèmes sur cette vidéo bien au contraire. De plus le problème premier n'est pas l'arme mais le détournement de conception qui en est fait. Cette vidéo, tel que sont titre et commentaires, est censé comparer des fusils. La seule chose que l'on compare sur ce support est la compétence des assembleurs qui les ont montés ( pas tous des montages d'origine) et l'aptitude au tir de la personne qui les essais D'autre part tu ne mention qu'un prb de puissance, il est je pense dommage de n'y voir que celui là Et nous sommes aussi d'accord sur le fait que cette vidéo peut servir à montrer ce qu'il ne faut pas faire
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MAJCAAM Merci de prendre du temps pour réaliser cela. L'idée est super ? Concernant le contenu, je vois là tellement de variables ... que la comparaison, s'il puisse y en avoir une, soit dénuée de sens. Pour donner une image: Nous pouvons aussi comparer une voiture équipé d'un pneu de vélo, un cheval de bois avec des roues carrées et une brouette et en tirer conclusion mais cela sera t-il pour autant pertinent. Egalement, ta tenu du fusil est différente à chaque fois, ta visé tout autant ... ne crois tu pas que la variable aléatoire humaine fasse partie de ton résultat ... Les configurations de fusils proposés me laissent dubitatif, ne penses tu pas que des assemblages cohérents eut été plus judicieux. Le recul sur le premier fusil démarre avant la sortie de la flèche Merci encore de ce travail. ? J'ai noté que certains te faisait plus peur que d'autre ?
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La problématique n'est pas le feu. Ce que nous voyons là est une explosion qui, elle, entraine le feu. Il est impératif de raccorder son réservoir et ces canalisations (métallique ou pas) au même potentiel sur la masse général du bateau. Cette règle de l'art est négligé dans plus de 90% des installations, tout comme la vanne de barrage qui elle servira en cas de feu pour isoler le réservoir. L'explosion se produit du fait d'un ciel de cuve (vapeur) dans le réservoir vide dont l'activation est une lié à une différence de potentiel des matériaux utilisés (Domaine ATEX). L'extinction automatique (CO2, azote, argon ...) si présence, ne pourra absolument rien sur une explosion, elle évitera éventuellement la propagation du feu qui s'en suivra
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largue fil pelengas
luc a répondu à un(e) sujet de ledoc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
Le bras de levier du fil ne varie pas, sauf en modifiant le sens d'enroulement de tes AR, celui venant de la tête se placera toujours au plus loin de l'axe. Seul le bras de levier opposé est en contact avec l'aimant. Il convient de raisonner en se sens, plus l'aimant sera loin de l'axe plus la force de retenu sera grande et plus le fil raccordé au coulisseau sera éloigné de l'axe plus j'aurais de force pour contrecarrer celle de l'aimant. A chacun son axe ! -
largue fil pelengas
luc a répondu à un(e) sujet de ledoc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
C'est exactement cela ? La position avec effort le plus faible ci dessous -
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luc a répondu à un(e) sujet de VCTERIC dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
Tu as parfaitement raison un sujet basique sur lequel nous sommes plusieurs à être basiquement intervenu Et pourtant à bien y regarder, ce problème est récurant sur bien des fusils ? et se pose encore ici même ? Je te taquine, met quand même de la mousse ? -
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luc a répondu à un(e) sujet de VCTERIC dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
@ Eric Recul = Perte pure + blessures volontaires Et dire, n'importe ou dans le monde, que le recul a de l'intérêt sur un fusil est une ineptie Cela n'a aucun fondement sauf pour quelques maso, pour qui le recul pleine face leur procure grand plaisir ? Le recul sur un fusil à encore moins de sens que le bruit sur une mobylette. C'est la conséquence d'une conception non aboutit, regarde l'histoire sur les armes terrestre et surtout naval ... Dimensionnement et équilibre du système ? Chacun pourra partir chasser avec un porte avion si le cœur lui en dit ☺️ @ dom Tu as détruit un outil utile pour en faire une enclume que Tatosan ni personne ne pourra jamais faire sonner ? -
Vulgarisation du pneumatique
luc a répondu à un(e) sujet de luc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
Après le TCdc, sans transition, la liaison complète avec le « Chargeur ». Quelques exemples, apportant plus ou moins de réponses aux problématiques de destination J’ai identifié trois domaines concernés par le Chargeur : 1. la surface d’appuis de force musculaire 2. l’ergonomie 3. la maitrise de l’outil 1. la surface d’appuis de force musculaire Comme la représentation du chargement ci avant l’a mis en évidence, plus la surface d’appuis d’une force est grande, plus la puissance transférée sera importante. Il existe différents modèles commercialisés ou même artisanaux et tout autant de valeurs. Quelques exemples : "Valeurs d'appuis" mm mm mm² Marque ref Lch lch Sch PELENGAS titanium 58,700 15,740 923,938 PELENGAS inox 55,640 13,880 772,283 MARES Cyrano 85,500 10,600 906,300 OMER Marco Bardi simple 92,000 12,400 1140,800 OMER Marco Bardi échelle 100,840 14,190 1430,920 Incidence surface d’appuis chargeur bar bar bar / effort de chargement Pdc Pfc Δ pca MARES Cyrano 4,121 4,840 0,719 Pelengas inox 4,837 5,680 0,843 Pelengas titanium 4,043 4,748 0,705 Marco Bardi simple 3,274 3,845 0,571 2. l’ergonomie La forme de l’outil doit permettre de garder la surface d’appuis en déroulant le bon geste et la prise de la pointe de flèche. Cet aspect est essentiel : La légende dit que plus l’on gonfle, plus c’est dur à armer. Et j’ai traduit en première instance, comme beaucoup il me semble, que la pression de gonflage était la cause de notre effort. Aussi par doute, pour en avoir décortiqué un certain nombre et leur emploi, l’incidence de la pression de gonflage ne représente gère proportionnellement (1/4) à l’ergonomie (2/4). Il y a une réelle différence de ressenti en fonction : · de la forme du chargeur. J’ai observé et mesuré : a) ci-avant l’effet induit de la surface d’appuis. b) également un autre aspect lié à la forme de l’objet, car dans notre cas je sais établir la force musculaire nécessaire et mes capacités à la fournir. Encore faut-il que je puisse la transmettre. Lors dans geste réputé efficace, j’utilise pour œuvrer l’ensemble des 4 doigts d’une main. Celle-ci en crochet dont le sommet sont les jointures premières/deuxièmes phalanges voir en fin de mouvement uniquement les premières phalanges (la pince formée avec le pouce sert à verrouiller). Ce crochet permet donc d’établir la partie de surface (soit ~ deux phalanges par doigts) max possible disponible pour transmettre mon effort. Aussi, si la forme de mon outil ne permet pas la totale utilisation de cette surface, je vais devoir appliquer une force supplémentaire supérieur et proportionnel à la perte de surface de transmission. Ainsi pour exemple, une forme de boule représente une surface d’appuis inférieure à ~ deux doigts (jointures). Celle-ci très faible comparativement à une forme rectangulaire qui elle permet la transmission par les quatre doigts (jointures) concernés. c) et encore la possibilité d’un autre aspect lié à la forme de l’objet lors qu’il est rallongé (pas notre cas). La mesure de la perte d’efficacité sera attachée au choix de la forme et peut faire pencher très rapidement (si mauvais choix) le TCdc à 0,6 même avec un super geste. Perte par élasticité des liens et de leurs assemblages mais également et surtout écart de parallaxe · de la nature, matière du chargeur (solide ou déformable) Je n’ai pas mesuré, dans notre cas, de perte avec la partie d’appui pleine non déformable. A contrario, avec notamment les chargeurs rallongés genre échelle de corde, le résultat est déplorable, la portée s’arrondi, les appuis deviennent fuyants et disparaissent en partie. · de la morphologie de l’utilisateur, approche biomécanique. Variable figée, est déterminante. Concrètement notre geste de chargement est délétère d’un point de vue ergonomique. Le point de départ, traction en extension au-dessus de l’épaule peut-être fort pénalisant à l’engagement et ne permet qu’une exploitation limitée du potentiel groupe musculaire. Le couple augmente avec la fermeture de l’angle. Tous ceux qui ont eu l’occasion de pratiquer des tractions départ bras tendu percevront la difficulté, sachant qu’en plus je dois conserver la rectitude de la flèche. Le choix de l’arme combiné au chargeur doit permettre un départ de mouvement sans extension complète ni du bras, ni de l’épaule. · de la dimension du fusil Variable choisie. En rapport à sa morphologie, il est fortement souhaitable de l’intégrer pour le choix du chargeur. 3. la maitrise du cintrage de la flèche participe pour le dernier ¼ car elle transmet toute la force de la main au piston La flèche est le point de fragilité de cette partie du système (plus le ø est grand, plus la flèche conserve sa rigidité). Son diamètre et sa longueur nécessitent une bonne pratique pour ne pas fléchir. La forme du chargeur doit permettre d’accompagner la rectitude du geste afin de ne pas dissiper d’énergie supplémentaire par blocage aux points de frictions et de mise en mouvement pour décoller le piston (à suivre) à chaque arrêt. = rectitude de la traction -
Les crêpes selon Monsieur Raymond
luc a répondu à un(e) sujet de Ch'ti max dans Table ronde culinaire
? ☺️ a consommer sans modération, quoique ? -
Vulgarisation du pneumatique
luc a répondu à un(e) sujet de luc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
N'hésites pas, si tu souhaites quelques précisions ou explications et surtout à m’arrêter si je dis des conne.... ? -
Vulgarisation du pneumatique
luc a répondu à un(e) sujet de luc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
As tu repris des couleurs ? ? -
Vulgarisation du pneumatique
luc a répondu à un(e) sujet de luc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
Je note et reviendrai dessus ? -
Vulgarisation du pneumatique
luc a répondu à un(e) sujet de luc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
De nada ? Cet aspect chargement est très important. S'en approprier la compréhension permet de mieux appréhender la nécessité de s'appliquer à la réalisation du geste (entre autre à suivre) pour mieux s'économiser. Si l'on reprend notre exemple d'un TCdc à 0,7 correspondant à une maitrise moyenne: Pour une mise en mouvement on engage un effort musculaire de 37,34daN pour un besoin de 26,15daN soit 11,19daN en pure perte. Pour un TCdc à 0,9 mon effort serait de 3,21 * 9,063 = 29,09daN soit un gain possible de 8,25daN Pour pouvoir armer on engage un effort musculaire de 43,86daN pour un besoin de 30,71daN soit 13,15daN en pure perte. Pour un TCdc à 0,9 mon effort serait de 3,76 * 9,063 = 34,08daN soit un gain possible de 9,78daN Améliorer ma technique et mon matériel pourrait me permettre très sûrement d'approcher un TCdc à 0,9 et de m'économiser -
Vulgarisation du pneumatique
luc a répondu à un(e) sujet de luc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
Ok reprenons dans l'ordre, TCdc = taux de charge (écart geste et cintrage flèche, glisse piston, transfert gaz ...) = dans notre exemple 0,7 Pour apporter un peu de lumière un TCdc = 1 représente un cas (non possible) ou il y a absence totale de frottement au niveau du joint de kit; un geste parfait et continu avec rectitude de la flèche pendant toute la manœuvre; une absence totale de contrainte de frottement piston; dans la phase de chargement/armement à la vu de la vitesse d’exécution, il n'y a aucune impacte possible liée au transfert (flux gaz). a l'opposé un TCdc = 0 représente un cas ou il y a 100% de blocage soit une absence de déplacement un TCdc = 0,7 que j'ai choisi pour notre exemple représente un cas ou il y a des frottement de coulisse modérés au niveau du joint de kit; un geste moyen dont 2 reprises (arrêt) provoquées par un léger fléchissement de la flèche pendant la manœuvre; une contrainte de frottement piston (dont je parlerais un peu plus tard); dans la phase de chargement/armement à la vu de la vitesse d’exécution, il n'y a aucune impacte possible liée au transfert (flux gaz). un TCdc = 0,9 représenterait un cas idéal ou il y a des frottements minimums de coulisse (étanchéité) au niveau du joint de kit; un geste parfait et continu avec rectitude de la flèche pendant toute la manœuvre; une contrainte de frottement piston minimum (dont je parlerais un peu plus tard); dans la phase de chargement/armement à la vu de la vitesse d’exécution, il n'y a aucune impacte possible liée au transfert (flux gaz); des surfaces matériel parfaite. un TCdc = 0,5 représenterait un cas de mauvaise pratique ou il y a des frottements de coulisse forts au niveau du joint de kit; un geste non maîtrisé dont 4 reprises (arrêt) ou plus, provoquées par un fléchissement appuyé de la flèche sur le coulisseau pendant la manœuvre; une contrainte de frottement piston forte (dont je parlerais un peu plus tard); dans la phase de chargement/armement à la vu de la vitesse d’exécution, il n'y a aucune impacte possible liée au transfert (flux gaz); des surfaces matériel imparfaites. application de ce coefficient, notre exemple choisi = 0,7 en début de chargement la force à compenser est de 26,15daN, cela donne: P (pression musculaire en bar à appliquer au départ chargement) = FiS (force en daN) / [Sch (surface d’appuis musculaire chargeur en cm²) * TCdc] P (pression musculaire en bar à appliquer au départ chargement) = FiS (26,15) / [Sch (9,063) * 0.7] P = 4,12 bar soit 4,2kg/cm² valeur de compensation à partir de laquelle je pourrais (P+x) mettre en mouvement Soit force musculaire exercée 4,12 * 9,063 = 37,34 daN application de ce coefficient, notre exemple choisi = 0,7 à l'armement la force à compenser est de 30,71daN, cela donne: P (pression musculaire en bar à appliquer pour armer) = FU (force en daN) / [Sch (surface d’appuis musculaire chargeur en cm²) * TCdc] P (pression musculaire en bar à appliquer pour armer) = FU (30,71) / [Sch (9,063) * 0,7] P = 4,84 bar soit 4,94kg/cm² valeur de compensation à partir de laquelle je pourrais (P+contrainte crantage) armer Soit force musculaire exercée 4,84 * 9,063 = 43,86 daN -
Vulgarisation du pneumatique
luc a répondu à un(e) sujet de luc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
Oui, a priori 4,2 kg/cm² et 4,94 kg/cm² Le mano ne me serre pas à grand chose pour capter cette valeurs, le calcul plus surement ou encore un dynamomètre. Comment arrives-tu à "plus de 23kg" ?? Peux tu poser stp l'opération ? D'où sors-tu 52kg ? Peux tu stp poser l'opération aboutissant à cette valeur ? -
Vulgarisation du pneumatique
luc a répondu à un(e) sujet de luc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
Super ? Merci de ton suivi. Effectivement ce n'est pas un pourcentage mais un coefficient de charge. Je corrige le lexique. Le calcul reste bon ? -
Vulgarisation du pneumatique
luc a répondu à un(e) sujet de luc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
tu as raison de préciser */cm² Cela m'a semblé évident, de fait, je ne l'ai pas précisé. Désolé ? -
Vulgarisation du pneumatique
luc a répondu à un(e) sujet de luc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
MarcO P (pression musculaire en bar à appliquer au départ chargement) = FiS (force en daN) / [Sch (surface d’appuis musculaire chargeur en cm²) * TCdc] P (pression musculaire en bar à appliquer pour armer) = FU (force en daN) / [Sch (surface d’appuis musculaire chargeur en cm²) * TCdc] 1bar = 1daN = 1kg02/cm² aussi dans notre cas nous devrons exercer une force (un appuis) en début charge : 4,12 daN soit 4,2 kg/cm² pour verrouiller l'armement : 4,84 daN soit 4,94 kg/cm² -
Vulgarisation du pneumatique
luc a répondu à un(e) sujet de luc dans Arbalètes, flèches, sandows, moulinets...
En fait les forces ne sont pas exercées sur les mêmes surfaces. Je dois y revenir par la suite, mais peut-être que l'image suivante t'apportera déjà tout ou partie de la réponse