luc

Afin de permettre à qui le souhaite, je déplace ici ce sujet pour en faciliter la lecture et en prévision de la suite (et libérer le sujet modif pneu). :

Tu es un joueur complet ☺️ Tu pointes du doigt et Tu tir Dans l'idée c'est un peu cela, imaginer le fusil comme un prolongement, dans notre cas cas toute fois le recul cul Monsieur ... La position s'appréhende dans son ensemble, ancré tu dois être disait-il ?

Certains pourraient témoigner des courants que je fréquentes, les plomb de chevilles sont à mon sens contre productif et inutile. Ils n'amènent que des contraintes Pour plaquer ses palmes au fond, seule la pleine compréhension de ce qui se passe et la perception de la position de son corps dans le volume permet de le faire sans aucun problème et quelque soit la force du courant Petite précision de taille, la répartition (baudrier, pour ceux qui en utilise/ceinture) du lestage également joue un rôle important, si trop sur le haut du baudrier cela fonctionne moins bien

Happy New Year, happiness and health to you Francis

Nous étions nombreux à ne pas mettre dedans, mais quelques maîtres (2), eux y parvenaient au delà de ce que je ne saurai jamais faire ? L'outil est ce que nous en faisons, un des maîtres me disait que seul peut intervenir notre capacité à intégrer et ne faire qu'un. Il n'y est plus de corp, plus d'outil, plus de cible ... juste l'esprit J'y retrouve un parallèle avec l'apnée, une certaine forme d'abandon, de lâcher prise ...

tensioactif

Exacte, merci dgm ?

Je découvre cela trop tard ? L'idée avait l'air séduisante sur le principe

Peux tu STP indiquer où ? Cela peut rendre service ?

? non ce n'est pas moi dom, je ne le défends pas et tu l'as bien compris : Je mets juste un peu de nuance sur le raccourci, qui peux consister à dire que si je ne réussi pas, c'est la faute de l'outil. Lorsque à une autre époque, je me suis essayé aux arts martiaux. J'ai eu la chance de pouvoir assister à des démonstrations "Kyûdô", "zen" et une discipline totalement folle dont j'ai perdu le nom qui consiste à tirer sans la vue. Les arcs utilisés m'ont paru fort rudimentaire au moment où j'ai été convié à m'y essayer. Résultat, j'ai jamais mis une flèche dans la cible ... surement la faute de l'arc ??

Je comprend ce que tu exprimes, ce pourquoi je complète ce que j'ai écris à propos de "Archimède". Pour faire le lien, la gravité terrestre : constante G = 6,67.10-11 N. kg-2 mais aussi étant un champ de force appliqué à la masse d'un objet = 9,80665 m / s2 . Le point d'ancrage de cette force est le centre de la terre et sa distance "r" avec l'objet détermine l'incidence de cette force (accélération). Toutefois, le champ est lui-même instantanément modifié par le corps qui le crée car cet objet est aussi soumis à d'autres forces qui sont liées à son propre état (liquide, gaz, solide ...) et à son environnement ( air (émergé), eau (immergé)..., vide ...) Nous ne ferons pas, si tu me permet, le tour de toutes ces lois car nous ne serions pas prêt de nous coucher et cela n'est pas le sujet. Notre cas: nous sommes en présence d'un solide non compressible. Celui-ci est soumis, comme tous les éléments de l'univers, au loi de la gravité, quelque soit leurs positions. Ce sur quoi nous sommes en phase. Cette force est constamment présente. Je m'attache donc à identifier les variables. Dans notre cas de csm, les variables sont les lois dû à notre condition d'immersion. Aussi, les forces en présences sont la gravité terrestre, les forces liés à la nature et condition de l'objet et celle lié à son environnement. La variable d'influence ayant le plus d'incidence de haut en bas ou de bas en haut dans notre cas est "la poussée d'Archimède" car en fonction de sa valeur faible ou forte, elle traduira l'impacte des forces constamment présente, tel la gravité. Notre objet ayant un volume faible pour sa masse = densité forte = flottabilité faible = poussée d'Archimède faible = la gravité l'emporte.

Non ce n'est qu'un objet, il ne s'anime pas tout seul, il a les caractéristiques que le concepteur aura défini. Seul les aspects de durabilité, de fiabilité fonctionnel et de dimensionnement pourront lui être reproché. Seul l'utilisateur engendre le résultat positif ou l'échec, la prise ou non prise n'est pas lié à l'objet. Si tu tir dans le vide l'arme n'est pas responsable, de la même façon si tu tir sur un coéquipier Le tir ou la visée est la conséquence de mise en œuvre par et uniquement l'homme. La distance de tir est lié en partie à l'objet mais son max sera atteint en fonction de paramètres amenés par l'homme, comme l'angle de tir ou la position au dessus ou en dessous de la proie ... L'énergie cinétique embarqué par la flèche est le fruit de l'arme mais pour une distance donnée, un angle donné ... (comme pour la consommation d'une voiture) Toute les armes ont un défaut de balistique (plus ou moins important) dont chacun des utilisateurs intégrera ou non le correctif inconscient comme un simple paramètre au même titre que la distance, le courant, la visu ... Je comprends qu'en fonction de l'égo ou de l'humilité, il soit plus facile de se défausser de ses échecs sur un objet. C'est une notion psychologique à prendre en compte, car on réussi toujours mieux avec les outils auxquels on croit

La gravité (terrestre) dans l'eau, pour nos projectiles c'est surtout Archimède (masse et volumes) en vertical: pénalisant vers le haut, avantageant vers le bas. Elle est plus significative à l'horizontale. Pourquoi ? parce que sur un tir vers le haut, la flèche est freinée par sa propre masse + la colonne d'eau en contrainte et vers le bas elle est accéléré par sa masse en plus de la colonne d'eau en accompagnement.

Les quelques mots qui précèdent (et ci-ci-après), démontrent toute l'ambiguïté et l'ambivalence de ta pensée. Tu indiques ne rien changer et pourtant tu parles de distance, ce qui implique que tu en prends compte pour tirer. Ce qui est tout à fait normal, quand bien même tu n'en ais pas conscience. Ta position est une position reflexe que ton cerveau (inconscient) gère sur chaque situation, par restitution d'expérience. C'est ce que l'on appel la capitalisation ou apprentissage, tout comme on apprend que le feux sa brule et que l'eau sa mouille ? Tu confirmes par la même ce que je décris, ci-avant : - reflexe inconscient - ta position s'adapte (n'est pas similaire) à chaque situation Qu'est ce que la visée sinon ce que tu décris. Pour résumer: tu vises tu prends en compte consciemment la position de la proie tu te positionnes en inconscient tu alignes (angles de tir) en inconscient ton cerveau gère les situations en arrière plan sur expérience. C'est une bonne nouvelle pour tes coéquipiers, ou pas quand on regarde tes photos de mutilation?

Le fait que le fusil ait les caractéristiques pour le faire, ne veut pas dire que le bonhomme soit capable de le faire. L'échec est celui de l'homme même s'il a du mal à l'intégrer

C'est logique, c'est de la balistique (angle de tir et incidence + plus Archimède dans notre cas) Sur quoi te bases tu pour dire 30% ? et 30% de quoi ?

As tu besoin de localiser la cible ?

Expliques donc STP comment tu tires

? vu la visu je te l'accorde c'est un mythe

C'est très subjectif et en grande partie inconscient (le cerveau fait le job sur le retour d'expérience). C'est dû au fait que la notion consciente de distance est très aléatoire. Sur des stages j'ai demandé à des apprenants et à des confirmés d'estimer: mètre à l'appuis, réponse approchante une fois sur trois. Il y a du déchet, il nous arrive d'être trop loin (les conditions trompent parfois notre perception de l'environnement) Et souvent nous aurions pu tirer de plus loin, nous attendons que la proie vienne au plus prêt.

Tu n'es pas obligé de visée au dessus, tu peux effectuer une visée direct mais corriger ta hausse. Nous le faisons inconsciemment avec nos fusils de csm, comme je l'ai indiqué un peu plus en avant dans le post, simplement en laissant dépassé un peu plus du bout de la flèche pour aligner. La visée que nous utilisons (bout de flèche) te donne l'impression d'un tir tendu mais si tu approches la ligne de tir du regard (œil comme sur un fusil traditionnel) dans l'alignement de la flèche, tu te rendra compte que nous tirons (trajectoire de la flèche) toujours au dessus du point visé, avec des élastiques. La flèche venant à la rencontre de la cible en plongeant (pour la limite utile). La flèche de la flèche étant proportionnel à la distance de tir. Bien évidement passé un certain cap, même en visant de la manière dont tu l'exprimes "au dessus de la cible", ta flèche sera tombante. Ce qui est le signe de la limite de portée (touché). La limite de portée ne nous intéresse guère, ce qui nous préoccupe, me semble t-il, est la limite utile (pénétrant).

Quesque tu appels tirer au dessus ?

Merci Eric de ta réponse Je n'ai pas vu ce calculateur, de fait je ne peux en parler. Je pense toutefois que pour exprimer une trajectoire, il devait tenir compte d'un certains nombre de valeurs de paramètres, comme cette flèche que tu évoques (j'ai pris ce dessin par flemme dans faire un, avec un fusil à élastique, mais pour la compréhension il est similaire dans l'esprit). Comme tu t'en doutes, l'utilisateur d'un calculateur doit vraiment avoir à l'esprit les valeurs et les paramètres utilisés. Souvent le raccourci d'esprit consiste à extrapoler par rapport à son usage (c'est humain). Les résultats induits par les valeurs définies n'étaient qu'indicative je suppose, sauf à ce que des entrées de donnée complètes eurent été un pré requis. Concernant les incidences calculateur, il convient de faire la nuance entre visée et trajectoire. Sur les fusils conventionnels un réglage de hausse ou de lunette permet d'ajuster selon la distance de tir mais également, la visée se fait à hauteur de canon (pratiquement sur le même axe) Sur nos fusils à élastique: nous considérons la visée ( reflex inconsciente ou posée consciente) en décalage d'angle (variable et aléatoire par éloignement œil / fusil) de l'axe canon. nous avons quoiqu'en disent les expérimentés une notion de la distance plus que fluctuante proportionnellement au max. notre visée (consciente et inconsciente) s'effectue uniquement avec le bout de la flèche (guidon). Ce qui constitue une probabilité d'erreur importante en chasse phase consciente (avec d'ailleurs de meilleurs résultats en tir reflex inconscient) à notable en tir sur cible (sauf si installation d'un œilleton). certains pensent effectués des tirs tendus hors malgré un pointage direct de la cible par le bout de la flèche, l'angle du fusil induit une parabole prononcée. Tir tendu = tir exécuté à grande vitesse initiale et en utilisant la portion initiale de la trajectoire voisine d'une droite. nous pouvons d'ailleurs augmenter la porté en augmentant la longueur du bout visible de la flèche devant la tête du fusil et ce en gardant la cible en alignement (tir direct). Il serait une erreur de considérer que l'impact serait moins performant ( à concurrence d'une certaine valeur de portance) car une flèche tombante à moins d'impacte qu'une flèche plongeante. Les archers et les canonniers connaissent cela depuis fort longtemps (précurseur de la balistique). Ainsi un calculateur prends en compte logiquement un angle de tir défini et donne un résultat en rapport. puis également le poids, la forme et la répartition de masse du projectile impactera fortement la balistique (ainsi que le recul ?) Ils traduiront la forme de la trajectoire du projectile (et sa flèche). mais pas que, sur un plan horizontal le tireur se trouve t-il au dessus ou au dessous de sa cible ... et encore quelle est la qualité de préhension de l'outil ... ... Je retiens que l'outil chez les spears était intéressant, dommage La méthode est importante pour tous, c'est le chemin qui permet de coller à la réalité de l'objet et non le résultat.

Ma question pour Eric ne porte pas sur le domaine mais sur ce qu'il veut exprimer par la flèche de la flèche Et la balistique n'est absolument pas aléatoire sauf pour les débutants ?

N'hésites pas, si l'envie est là lance toi ?.