kees_baloo

ça m'apprendra à ne pas prendre de photos de mes prises et mes assiettes. Après, ma plus belle "ceinture" de rougets à ce jour ne comprenait que 3 pièces, et pas des plus gros. Perso, c'est filet de rouget poêlé aller-retour et servi avec une petite salade goûtue, type roquette ou mâche. Voire un petit mesclun tout fait. Filet d'huile d'olive, sel, éventuellement une tomate en rondelles, et voilà. Mais pareil, pas de photo à produire.

Cigales de mer par arrêté national (d'ailleurs, je le retrouve pas, c'est toujours d'actualité ?) Homard, langouste et araignée (porcelaine, hippocampe) par arrêté préfectoral. (n°2014177-0001 du 26 Juin 2014) A part si tu manges le bernard-l’hermite, on peut dire que oui.

Il y en a plus qu'un peu, mais le prélèvement est interdit à la pêche de loisir en corse. Certes, il y en a qui prennent quelques libertés, mais je ne me suis pas permis.

J'attends que ma petite grandisse, je vais récupérer le tapis de jeu en mousse. Résiste bien à la déchirure, totalement insensible à l'eau, et en bonus des carrés qui font précisément 30x30 pour la perspective de la photo du poisson. Perso un seul filet à crustacés. J'ai pas droit aux langoustes, homards et autres araignées en Corse. Du coup le filet sert à transporter du matos (masque, tuba, couteau), les bô coquillazes, et parfois quelques détritus ou lignes perdues ramassés au fond. Il sert aussi bien quand je dois alléger la ceinture en route

De ce que j'ai compris, les pêcheurs du bord en NZ cherchent le poisson au début ou en arrière du "break". Le problème, c'est que sur leurs plages, cette zone peut se trouver à 1 km et plus de la côte. Pour cette pêche particulière, ils empruntent et développent plein de techniques pour poser leurs appâts plus loin. Ma préférée : le kite fishing.

sur les toutes petites réparations, l'époxy bi-composant peut faire l'affaire. Fait sur mon kayak, j'avais une fuite à l'anneau de portage et ne voulant pas condamner l'anneau, j'ai fignolé au SADER epoxy progressive. Pas de pub en particulier, c'est ce que j'ai trouvé en jetant un oeil au rayon bricolage du supermarché. Après coup, je me dit qu'une résine avec une prise plus rapide aurait été plus adaptée. ça a coulé pendant plus d'1h30 et je devais constamment ajuster. Quoiqu'il en soit, c'était il y a 4 ans, ça tient depuis, pas de fuite. La fibre de verre pourrait passer et probablement être étanche sur cette réparation avec une bonne surface de recouvrement sur les deux faces. Beaucoup de boulot, une nécessité d'accès par l'intérieur, ce qui n'est pas dit, et pas de garantie à 100% de l'étanchéité dans le temps.

Avant de descendre en Corse, mon boulot m'a envoyé en mission en Dominique. Une sortie snorkeling > 1 barra vu. J'étais en train de lorgner le fond depuis la surface quand le collègue me tire la palme et me fait signe de la main de regarder de l'autre côté. Comme son "masque" était une paire de lunettes de piscine pleines de buée, j'ai de suite compris que c'était gros. Je me tourne dans l'autre sens pour me rendre compte qu'un barra solitaire (+/- 1m20) se trouve face à moi, à 2 mètres, et est en train de me jauger. J'ai plus osé bouger, si fasciné par cette rencontre que j'avais peur de l'effrayer. Il est reparti tranquille, comme si de rien n'était, et on ne l'a plus revu.

J'ai pas encore eu l'occasion de le remarquer. Mon coeur s'emballe comme celui d'un pucelle effarouchée chaque fois que je vois un beau denti. ça doit être pour ça que je ne les fait pas ?

Ben justement, une fois le procédé mis en place, ce n'est plus très technique. Je réitère sur le fait que les palmes carbone sont devenues bien plus accessibles ces 10 dernières années

Il y a un côté "technicité" un peu intimidant. C'est dommage de mettre quelques dizaines, voire une centaine de roros dans une fabrication pour te rendre compte que tu a fabriqué des planches ou que ça casse au premier canard. > autant acheter direct un produit fini et bien conçu même s'il coûte le doubl, c'est mieux que de faire 3 essais de fabrication. en plus, les techniques de travail de la fibre de carbone et les outils ont bien évolué ces 20 dernières années pour devenir plus accessibles. C'était encore un métier de niche il n'y a pas si longtemps, maintenant le carbone se démocratise dans l'industrie et les sports. Sans parler du fait qu'on ne trouve pas depuis très longtemps le tissus "au détail", hors fibre de verre.

Tu coules ET tu broumège pour le collègue

Pour moi la question est surtout de savoir si, avec cet artifice, on ne lèse pas trop le comportement de la palme. Est-ce qu'elle vaut encore vraiment le double d'une palme en plastique ? Y a t'il vraiment des bonhommes à la fois assez bourrins pour avoir besoin d'une protection de bout de palme et pourtant assez subtils pour ne pas casser la palme à l'angle.

Petites précisions de méditerranées. Parce que là j'en ai fait quelques uns. Ici, pas de bergylta, ou très peu. Les gros labres sont principalement le labre merle labrus merula et le labre vert labrus viridis. Certains tirent les gros crénilabres-paon mâles, mais l'expérience gustative qu'il procure fait que le débutant ne le tire en général qu'une fois (goût bof et plein d'arêtes) Le merle a un profil similaire à la vieille atlantique, sa robe, principalement verte, va du jaune "caca d'oie" au marron en passant par le vert émeraude et le bleu nuit. Son signe distinctif immanquable, c'est un liseré bleu sur les nageoire anales, caudale et dorsale. Le labre vert a une robe ressemblant à celle de la vieille, mais un profil plus allongé. Bien qu'il puisse atteindre la même taille que le merle, ceux que j'ai pu croiser sont généralement plus petits. Peut-être se déplace-t-il vers les profondeurs en grandissant. Pour ces deux espèces, on les retrouvera principalement dans les mosaïques de roches et posidonies. Même s'il est très possible de les croiser dans une zone de blocs ou au milieu d'un herbier. Leur couleur peut d'ailleurs varier en fonction de l'habitat. Pour leur chasse, ça m'a l'air similaire à la vieille. A l'agachon : Vous la repérez de la surface, canard et on se pose bien à plat 15 mètres devant et face au poisson. Même sans "grosse" technique, s'il n'a pas été effrayé avant que vous ne vous posiez, le labre viendra à 1m de la flèche 9 fois sur 10. Question de patience. A trou : Un labre appeuré dans un trou ? Attendez à côté du trou, il viendra immanquablement vérifier si vous êtes toujours là. Il sortira juste la tête, et là tchac, vous étiez prêt. A noter qu'il sortira la tête régulièrement et souvent de la même manière. Tant que le tir n'a pas été lâché, il se croira à l'abri. Vérifiez quand même qu'il ne sorte pas par une autre issue. A l'indienne : Si vous n'avez pas un comportement menaçant, le poisson se comportera presque comme si vous n'existiez pas. Y a plus qu'à s'approcher assez pour un tir ou enchaîner avec un petit agachon. A la poursuite : Un labre effrayé ou blessé n'est pas forcément un labre perdu. Ces poissons ne sont pas très rapides et ont une endurance pourrie... Il m'est arrivé de poursuivre des labres pendant plusieurs minutes et de les prendre tout de même. C'est assez amusant même si un peu cruel (devrais-je en parler ici ?). Les labres ont confiance en leur camouflage et leur capacité à se cacher, ils vont rapidement aller se mettre à trou (cf. labre à trou) ou se cacher dans une matte ou un herbier. Ils sont capables de se rendre invisibles dans l'herbier, mais sont toujours là car ne voulant pas s'exposer. Quelques passages entre les posidonies avec le harpon (ou carrément les bras) et il ressortira immanquablement de l'autre côté. Le tout est de surveiller sa sortie. Bien entendu, vu la panique générée, mieux vaut changer de spot une fois la poursuite terminée. Certains disent qu'il est pauvre gustativement, mais c'est l'un des poissons préférés de mon paternel. Sa chair prend le goût de son alimentation. Petits coquillages et crustacés, miam comme le rouget. Ma préparation favorite pour ce poisson : on lui mets quelques grains de poivre (poivre "saveur") et 2 quartiers de citron dans le bide, on finit de remplir avec des fines branches de fenouil sauvage. Et hop au BBQ, ou en papillote. Avec ou sans écailles, t'façon on mange pas la peau. Attention à ne pas trop le cuire ni trop chaud, une fois sec, c'est très sec.

Les montres de sport parlent de cadence comme temps au km. J'ai jamais trop compris. Je suis plus à l'aise avec les km/h

30m... du bord ???? Ah non, je ne vais pas si loin

C'est pour ça qu'elles creusent des gros trous sur les fonds sableux ? Je les ai vues faire, mais je n'était pas sûr de ce qu'elles cherchaient.

ça fait des trucs sympas sous l'eau, les oublis de bouchons. Il y a deux ans, j'ai pu faire le tour d'un white shark entièrement immergé, posé sur 3 mètres de fond. Il avait juste l'antenne VHF qui dépassait en surface. C'est beau, un bateau imergé depuis pas longtemps. Mais je plains le bonhomme qui doit payer pour les dégâts liés à son oubli.

https://www.sportsmed.fr/palmes-c4-carbon-tank-t34/ https://www.sportsmed.fr/palmes-c4-carbon-pershing-medium-30/

Salut, En me baladant comme parfois sur les sites marchands en mode "Ah, si j'étais riche", je suis tombé sur ces modèles de chez C4. Chaussons C4 400 ou 300 2.0 ; fibre de carbone T300 TW pour les deux modèles ; angle important de 32° Pour la "Pershing" : voilure de 78 cm et la paire de palmes à 260 € TTC chez Lolo Pour la "Tank" : voilures de 70 cm au prix de 230 € TTC au même vendeur. Jusque là rien de spécial, c'est juste un autre produit dans les carbone entrée de gamme comme le fait C4 depuis quelques années. Leur particularité, c'est des longerons sur toute la longueur et des bouts de palme renforcés avec ce qui semble être une pièce en caoutchouc. Même si sur la photo, ça fait plus "plastique dur". D'après la description, toujours, on est sur un produit "polyvalent" plutôt orienté chasse dans peu d'eau avec la possibilité d'aller voir ce qu'il se passe à 20-25 mètres. Clairement, pour l'apnée pure et la folie des profondeurs, on repassera. Ces palmes n'auront jamais le rendement de leurs équivalents sans toute la quincaillerie. Mais il est vrai que 90 % des chassous chassent à 90% dans mois de 20 mètres, donc il y aurait un marché. A votre avis, un vrai plus ou encore un coup de marketing ? Est-ce que les points négatifs pourraient compenser le gain hypothétique en durabilité. Vous qui avez déjà cassé et usé des palmes carbone, est-ce que l'usure à la pointe est vraiment notable au moment où la voilure casse à l'angle ? Un angle de 32 °, c'est pas trop pour chasser peu profond ? Ou est-ce justement mieux pour l'aquacité et l'agilité sous-marine ?

Je m'avance un peu au-dehors de mon champ de connaissances, mais il me semble que l'existence d'une ligne de fuite orientée réduit les turbulences, et donc la traînée dans l'eau. (cf les diffuseurs de voiture, pointes en bout d'aile d'avion, Après, vu l'épaisseur des palmes, je ne sais pas si cela fait une différence sensible. Et merci @Zorste pour toutes les infos. Cela motivera probablement d'autres membres du fofo à fabriquer une (ou des) paire(s) de palmes.

J'avais un projet pour faire du lest avec de l'eau de mer, pour économiser sur le transport. Pour une raison qui m'échappe, tous mes prototypes flottent ou coulent très peu. Sans combi, tu peux sérieusement réduire le lest. Mais tu réduis aussi sérieusement la durée de la sortie et l'aisance dans l'eau.

Les petits sars et vérades viennent super bien à l'agachon en méd. Les gros, ben... la technique citée par Dom85 me semble la meilleure. Ils ne bougent pas beaucoup quand ils se nourrissent et sont plutôt curieux, mais ils identifient le chasseur vite et bien. Un canard dans leur champ de vision, un peu trop de temps passé à les observer depuis la surface, une surprise au détour d'un rocher... et ils se cassent sans demander leur reste.

Eh ben. Moi pour évoluer à 20m, pas besoin de plombs... en short de bain. ?

Pareil que Sub Sniper : (-71,00€) 350,00 € 279,00 € Peut-être une question de zone sur l'adresse IP. Sans parler de ça, les Freediving spirit sont surtout plus longues que les "essentiel". Pour aller profond, c'est mieux. Pour se mouvoir dans moins de 10 mètres, c'est handicapant.