Aller au contenu

dom85

Membres
  • Compteur de contenus

    22721
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par dom85

  1. William, vient à mada et je te montre........
  2. http://www.casimages.com/imf.php?i=150216035053921761.jpg Voilà ça vient et en grand....... La carangue bleue était d'un beau format également, 3.5kg
  3. Cr d'une sortie à diego Départ 10h30 de diego pour monter vers le cap d'ambre, temps grisatre et houle ouest de 1m.Eau à 27° 1h 1/4 plus tard on approche des ilots d'avant le cap. Ca brasse à la cote, la houle balaye bien le plateau du bord et le ressac engendré par la falaise secoue pas mal. J'ai oublié mes lentilles et comme je suis bien mirot sans mes lunettes, les collègues me demandent comment je fais pour identifier et tirer les poissons, réponse: je tire sur tout ce qui bouge!!!! Du coup ils me larguent bien à 100m d'eux.......Même pas véxé, je trouve que ça brasse trop, près du bord et du coup la visibilité se réduit à quelques mètres, donc je palme doucement vers le large pour chercher le tombant. Une cuvette sur 8m où pullulent les poissons, je descends difficilement avec la houle et à mon approche un requin file vers le large. Des milliers de poissons sont là, mais je ne vois rien d'interressant et au bout de 3 agachons je repars vers le large. Erreur, c'est là sous un tunnel qu'Alex fera son mérou de 19kg! Au fur et à mesure que j'approche du tombant, l'eau s'éclaircit et atteint les 18m de visi, profondeur où s'arrête le tombant et commence le sable. A peine arrivé une babonne de 4.5kg vient me voir en pleine eau: séchée nette! Pendant 4h je tire quelques poissons nobles: aprion, carangues bleues et gueules pavées dont un banc fabuleux de plus de 200 individus viendra régulièrementà l'agachon sur 16m, mais sans mes lentlles j'ai du mal à bien ajuster mon tir à 6m et j'en ferais 3, j'en ferais tout de même une de 2.5kg. Je fini par me laisser porter par le courant vers le nord , le long de la cote et d'un seul coup je devine plus que je ne vois, 2 beaux poissons qui remontent au courant, au ras du fond. Je nage à contre courant et les piste tout en me ventilant. Je reprends 7 à 8m de fil de ma bouée qui me tire un peu en arrière et tiens ces brassées dans ma main gauche. Au bout de 5 minutes, une belle roche est détachée du tombant et les poissons qui nagent de concert, s'arrêtent, j'en profite pour faire mon canard et lacher mon fil de bouée, arrivé à 10m j'arrete de palmer et me laisse glisser doucement vers le premier que j'identifie comme des babonnes, ce qui est la première fois que je vois ces mérous chasser à deux. Arrivé à 5m la première commence à être nerveuse et la seconde passe derrière la roche, j'ajuste comme je peux et tire de 3/4 face, la flèche passe sous l'oeuil et ressort après l'ouie. Je remonte immédiatement en bridant la bête qui cherche à aller vers la roche, bien secouée par l'impact, elle se laisse remonter de 2 à 3m au dessus de la roche et donc je peux laisser un peu de mou pour rejoindre la surface. C'est là que les difficultés commencent car je veux faire la seconde donc ne pas perdre la pierre de vue. Je fais signe au piroguier, sors ma dague et achève le poisson sans jamais regarder ce que je fais mais en essayant de palmer pour ne pas perdre de vue la pierre. J'enlève la flèche et passe le merou au bateau et continue de remonter mon arbalète ( un bwk de 140 en monosandow court de 18mm par 27cm, il me faut bien sur une aide à l'armement que je loge dans ma sous cutale( ça fait de la compagnie) Comme la conception du fusil est ultra simple, un seul tour de fil également, je peux faire tout çà en palmant contre le courant et en fixant la pierre de la surface, sans jamais regarder ce que je fais. Quelques minutes plus tard, je fais de nouveau un canard un peu en amont de la pierre, descendu de quelques mètres je vois la seconde babonne qui descend du tombant et part tranquilement vers la pierre, elle la longe et descend sur le sable vers le large mais très calmement, j'arrête de palmer vers les dix mètres et me laisse glisser devant elle car le courant me déporte dans le même sens, ce qui fait qu'au fur et à mesure de mon approche ma trajectoire reste à couper la sienne quelques mètres devant elle. Elle doit bien être sur 25m maintenant et se sent rassurée par la profondeur, c'est très chasser par ici par les locaux mais rarement sous les 15m. Je suis vers 21/22m , elle s'arrête car je ne suis plus qu'à 4m d'elle. Tir dans le point mortel, loupé de 1 à 2 cm. La flèche traverse la tête et ressort au dessus de la lèvre en s'arrêtant pile au milieu. Remontée de ma part en lachant tout car maintennt on est à plus de 20m de la roche, donc pas de risque d'enraguement. Son démarrage après deux secondes, plie la flèche de chaque coté du corps dans un angle qui m'assure d'un redressage obligatoire. De retour à l'air libre je travaille doucement le poisson qui monte au bout de quelques minutes. Finalement l' acier ressort reprendra parfaitement sa forme tout seul, vraiment le top ces flèches RA! La première accusera 7.5kg et la seconde 9kg sur la balance. Je remonte sur le bateau qui est resté près de moi et ramasse les autres car il est 16h30 et le temps de rentrer, il fera nuit. Ce sera les seules babonnes de la journée à part le magnifique merou royal d'alex
  4. Le poisson fumé reste un must à mon gout
  5. A Diego, ce mois de fevrier pluvieux et venteux a fait descendre l'eau à 26° en surface et 23° à 18m. Nous étions 5 à chasser, tous en 2 et 3mm et si l'on ne s'est pas plaint de la chaleur, personne ne s'est plaint du froid non plus en 5h de chasse à chaque fois et 1h30 de trajet de bateau aller comme retour, c'est là, au retour que l'on pouvait un peu sentir la fraicheur sous les grains et le vent. Un ciré aurait été parfait. Nous avons du coup chassé entre 10 et 20m de fond
  6. La bonne dizaine de maigres que j'ai sorti en vendée c'était uniquement au 75 pas très pechu en sandow.(le plus petit: 11kg) C'est vrai que j'en ai perdu plusieurs au dessus des 20kg car pas traversé, mais avec un 20mm assez court ou deux 18mm pour des gros spécimens, ça passe à tout les coups
  7. Tu peux essayer, ça marche avec tout les poissons, c'est titou qui m'a donné ce renseignement
  8. Oui ça reste gravé à jamais. Perso les plus gros merous vus étaient de l'ordre de 25kg, inapprochables à moins de 8m
  9. Seulement 5 personnes se sont lancées dans une estimation alors que le sujet a été vu 190 fois depuis mon postage! 974 a donné la bonne réponse, c'est 19kg Pour maigrat: babonne=mérou tropical=saumonée= cabot=plectopromus maculatus et sur la photo ce sont deux babonnes l'une à coté de l'autre, une 4.7kg et la 10.7kg, ça ressemble beaucoup au mérou royal: plectopromus laevis le nom vernaculaire reconnu en ychtiologie est : babonne
  10. J'ai un très bon appareil mais je suis nul de ce coté là(un bridge en samsung acheté 1000€ il y a quelques années)
  11. Oui , le thon a queue jaune que j'ai vu était à peut près de cette taille là, un peu plus haut de dos mais pas trop large en épaisseur, ceci compense celà
  12. Sur la plage, bêtement à un retour de pêche Patrice et alex m'ont affirmé avoir sorti il y a quelques années un 37kg!!!!!!!!!
  13. Je crois que si les température de 12 à 14° pour l'eau sont exactes, une 7mm suffit amplement. Voire les eaux de bretagne même au printemps à 10/11° ou la 7mm passe très bien pendant 5 heures
  14. On voit parfaitement que ces poissons n'ont jamais vu un CSM de leur vie, plus couillon ,il n'y a pas!
  15. Oui, le point mortel pour tout poisson, c'est la perpendiculaire de l'oeil et de l'axe de la première ouïe, donc le point vert
  16. Et voici une de mes pêches avec la jolie babonne de 10.750kg Et la gueule pavée de 2.5kg
  17. http://www.casimages.com/img.php?i=150209010617446244.jpg Alors, quel poids selon vous pour ce magnifique merou royal? Et là, il peut pas le tenir à bout de bras!!!!
  18. CR de mon dernier voyage sur diego-suarez Départ sur la route : 450km à vol d’oiseau et 1700 par la route, cherchez l’erreur ! Donc 4 jours de route harassante à 10 heures de conduite, non de pilotage par jour, pour éviter zébus, chèvres, caméléons, gamins et divers obstacles ou effondrements sur la chaussée, mais surtout la « conduite » des autres conducteurs, exemple, sur les 450km entre tana et tamatave, 6 camions et un minibus seront dans le décor devant nous…… Donc arrivés sur diego, la queue d’un cyclone nous y attend….10 jours de repos forcé. Première journée de mise à l’eau : départ pour la passe nord de la mer d’émeraude ; au bout d’une heure le vent et la pluie se lèvent, la visi est réduite à 6m, ça commence bien. Je chasse avec michel, un ami de l’année dernière et du coup nous tirons des licornes, chirurgiens et perroquets pour ne pas rentrer bredouille, je perds une petite saumonée mais parviens à faire une petite carangue. Avant de rentrer, je décide d’aller voir la pointe où l’année dernière j’avais sorti un beau thazard et vu de grosses ignobilis. Un courant violent me propulse rapidement près d’une roche où les déferlantes interdisent au bateau de venir me récupérer, je me bas contre les éléments mais j’aperçois sous moi des quantités de poissons qui défilent. Je descends difficilement dans un effondrement rocheux sur 6m de fond , au milieu d’une foule intense de poissons : chirurgiens de toutes sortes, perroquets, poissons anges, coffres,papillons et surtout des milliers de balistes noirs. Je me dis qu’au milieu de tout ce fatras il y a obligatoirement un joli prédateur, à part moi, et à peine scotché à un caillou telle une patelle, je sens une présence au dessus de ma tête, je relève le front et un magnifique thon jaune, ma passe doucement au dessus dans le sens palmes-tête. Je peux presque le toucher à la main, je compte ses spinelles, bref j’en ai plein la vue. Il doit faire entre 30 et 50 kg, pas facile à estimer lorsque c’est si près. J’essaye de lever l’arbalète ,un BWK 140 , vers lui mais les remous puissants m’empêchent un mouvement coordonné, je lache donc mon rocher pour pouvoir pivoter l’arbalète à deux mains, la pointe de flèche est maintenant à 3m de lui, à la base de sa tête mais du coup je bouge sur le fond et il démarre d’un seul coup……Quelle frustration, à une demi seconde près ! Jamais je n’aurais cru possible une telle rencontre dans si peu d’eau et si peu de visibilité. Nous faisons connaissance le lendemain sur la plage avec une équipe de chasseurs, un français et 4 espagnols qui terminent leur séjours. Il y a désormais 3 places de disponible car seul patrice , le français et alex, le baléarien restent encore 10 jours. Nous sympathisons rapidement et j’apprends que cela fait plus de 20 ans qu’ils chassent ici chaque année, donc grande connaissance du territoire et c’est d’autant plus profitable car leur bateau est muni d’un 40cv yamaha enduro neuf ! Ca va changer du 9,9 sur la barque en bois ! Nous ferons 5 sorties ensembles, dans une très bonne ambiance mais avec presque tout le temps du mauvais temps qui se lèvera passé midi. Patrice se fera couper son fil de bouée et absorber ses poissons par un requin très nerveux qui viendra emmerder tout le monde. Alex nous fera un festival avec un magnifique mérou royal(plectopromus laevis) dont je vous demanderais d’estimer le poids, et d’une carpe rouge genre lutjanus boar de 9kg passé, donc dans les records, mais rien pour homologuer. Perso ma plus belle prise sera cette babonne de presque 11kg, tirée à 18m à l’agachon sur 16. Tous mes cabots seront tapés dans la tête, un seul sera KO. Je ferai également plusieurs gueules pavées de plus de 2kg et la plus grosse 2,5kg ainsi qu’une carangue bleue de 3,5kg,voilà pour les très beaux poissons, mais en dehors du thon jaune aucun beau pélagique ne sera vu, je pense que c’est du au mauvais temps et aussi l’eau froide à 26°
  19. Pour chasser regulièrement sous les 20m, du 2mm est impératif, 3 si tu es une bête d'apnée
  20. Oui il y a évidement eu grosse engueulade à bord, comme je dérivais vers le large poussé par le courant du pertuis, je me suis dirigé vers un chalutier qui draguait à environ 2km de moi et j'étais plus qu'à 2 cents mètres de lui quand , mon "pilote", m'a enfin repéré Quant au piroguier de sainte marie qui nous avait perdu, on s'est retrouvé presque en face de l'hotel lorsqu'il nous a repéré et il était tellement paniqué de nous avoir perdu, qu'il nous engueulait, on riait nous deux de sa déconvenue et du coup on l'a même pas engueulé..... Bon c'est pas le sujet du post Une bonne approche c'est au moins cent mètres devant l'avancée de la matte que la mise à l'eau doit se faire, mais rien de garanti que le poisson continue sur sa lancée
  21. Je crois que c'est arrivé à beaucoup de se faire perdre par un pilote plus ou moins motivé par son travail de surveillance. Perso j'ai dérivé seulement une fois pendant une heure dans le perthuis breton en vendée, je tairais le nom du pilote qui cherchais des remontées au sondeur et ne s'est pas occupé de ma dérive. Mon ami roger à morombé sur le banc des 19m, s'est trouvé perdu par son pilote qui s'était endormi à l'ancre. A 21km de la cote, il a nagé pendant 7heures et à la tombée de la nuit, alors qu'il allait aborder une ile fady, son pilote revenu faire le plein d'essence et repartant l'a aperçu sur le bord...... Une autre fois avec roger encore, notre pilote là aussi s'était endormi et nous a perdu pendant plus de 4 heures, mais nous étions à peine à 1km du bord et pas paniqués du tout, on s'est laisser dériver parallèle à la cote en attendant son arrivée en espérant croiser un pellagique qui n'est lui jamais arrivé A Diego j'ai trouvé un vrai pilote: un ancien pêcheur, qui réagi dès qu'il voit le fusil flotter, qui ne passe jamais, je dis bien jamais sur le fil de la bouée, ne s'éloigne pas à plus de cent mètres du plongeur tout en calculant ses dérives en remontant au vent, dérives moteur éteint évidement. Une perle rare et comme dit voyageur, je le caresse dans le sens du poil celui-là, poissons , argent, compliments, il a droit à la totale et biensur il connait de bons spots.....
  22. Partout, mais gare à la réglementation, les coasts guards ne rigolent pas, surtout si tu es frenshy
  23. Partout, mais gare à la réglementation, les coasts guards ne rigolent pas, surtout si tu es frenshy
  24. Petite anecdote sur le raz de sein: agachon en plein eau (10m) sur un banc de bars, et......effet syphon, je me suis fait aspirer vers le fond , j'ai largué la ceinture car en palmant de toutes mes forces je continuais à descendre et c'est vers les 20m que le courant m'a laché. J'ai vu 36 chandelles à la surface. Pour oman, j'ai un ami qui y a chassé, truffé de poissons et surtout de carangues Le raz blanchard: gros lieus, non très gros lieus mais idem que le raz de sein, faut aimer être chahuté par le courant
  25. Ta pas répondu à ma question? T'as peur que ça s'ébruite comme spot? Je rectifie, tu m'as bien répondu mais c'est sur un autre topic
×
×
  • Créer...