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Entre" biographie et histoires de CMS


dom85

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Voilà, j'ai commencé à écrire un mémoire où je raconte des histoires de chasse sous-marine et en particulier , mes histoires. On n'est jamais si bien servi que par soi-même.

Bref, j'aimerai que vous me disiez sans détours si c'est nul ou intéressant, je n'arrive pas à me juger 😁

Je vous passe juste l'introduction, les chapitres suivants sont: la Vendée, hors de Vendée etc... mais si vous voulez en savoir plus, j'ai déjà le synopsis du livre et j'en ai déjà écris une cinquantaine de pages, il peut en contenir 3 ou 4 fois plus. Il contiendrais des photos de mes exploits mais aussi ceux de mes amis. Ca risque de faire un peu massacre, surtout la partie française, mais j'assume, je n'ai pas l'habitude de me défiler. Allez, go!

 

 

PREFACE

Etant né en 1956, il a donc fallu que j’attende 1972, mes seize ans, pour enfin pratiquer la chasse sous-marine. Je dis chasse sous-marine et non pas pêche sous-marine car on pratique bien de la chasse vu que l’on poursuit, choisit et tire son poisson.

Depuis mes douze ans je rêvais devant le catalogue Manufrance à la page sport, où un tout petit coin d’une seule page, était réservé à la plongée, et chaque année je me ruais pour aller chercher ledit catalogue à sa sortie. Il n’y avait rien d’autre, surtout à Lille, en référence sur le sujet. Pas encore de livres connus, ni de magasins spécialisés, encore moins d’internet pour tout choisir ou de forum pour tout apprendre.  Il faut dire qu’en accompagnant mon père à la pêche en étang où l’on ne prenait pas grand-chose, je me posais déjà la question de savoir comment attraper ces poissons différemment, ceux que l’on voyait évoluer au bord de l’eau. Je pensais que couché sur le ponton, je pouvais tirer ces poissons, je ne m’imaginais pas encore sous l’eau.

Coup de chance l’été 1972(l'année de mes seize ans, donc de l'autorisation de chasser) mon père est à Toulon en renfort et j’en profite pour travailler comme caddy man , un emploi disparu qui consiste à ramasser les caddys qui trainent dans l’hypermarché Mammouth où je travaille pour me faire un peu d’argent, et ma première paye sert à m’offrir une combinaison en néoprène «  peau de requin » et une arbalète(60cm) en vente dans le magasin, pour débuter ma passion refrénée jusqu’ici. Je possède déjà un masque et un tuba depuis quelques années et les palmes en caoutchouc, sont celles de mon frère  de marque Shark, petites mais bien fonctionnelles. Cela me permet de chasser le matin de 9h à midi et de travailler ensuite de 13h à 20h. Mes premières prises seront modestes.(photo 1) Ma tenue complète et quelques raies torpilles, mais aussi quelques petites soles et targeurs seront les prises de Toulon, plus exactement La Seyne sur mer.

Je chasse de droite et gauche pendant mes vacances durant quelques années sans rien attraper de remarquable, car je n’y connais strictement rien, aucun entrainement ni aucune technique, quoique du coté de Biarritz en camping, je parviens à faire des anges de mer. Mais en 1979 je m’installe à Jard sur mer comme éleveur de lièvres et là tout commence réellement. Mes sorties sont fructueuses après la perte d’un fusil porte malheur. Je m’entraine en piscine l’hiver et progresse en apnée. Le gros déclic sera ma rencontre avec Titou, Jean Baptiste Esclapez, qui vient juste d’être sacré champion du monde. Je lui fais découvrir la chasse terrestre au marais et lui m’apprend tout, ou presque de la CSM. Il lui faudra pas mal d’années pour me « débourrer ». C’est une chance énorme d’avoir eu pour ami et maitre, un chasseur de ce niveau.

Toute ma vie sera consacrée à la chasse sous marine comme seule et unique passion et encore maintenant. Toutes mes dépenses personnelles tournent autour de la chasse.

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Pour moi il y a deux intérêts dans un livre de chasse, 1 revivre des actions, 2 apprendre sur le matériel ou les techniques, mais maintenant presque tout passe par du visuel, les livres c'est des trucs de vieux 😶

Ça commence bien mais (et c'est normal) il y a quelque corrections de texte a faire.

Tu nous fais une présentation "classique a l'ancienne", c'est a dire qui commence par le début, tu peux aussi commencer par du plus "actuel" et revenir sur tes débuts ensuite.

 

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Moi j'aime bien.Aux détails près tous les "vieux" ont commencé comme ça je pense.Ce texte fait remonter plein de souvenirs.

Perso,première paire de palmes en faisant garçon de café pendant les vacances scolaire,début digue de La Crèche,à Boulogne sur Mer,9 ans de vacances au camping de St Vincent Sur Jard(on s'est peut-être croisés🙂),plus tard rencontre avec Gérard Carrodano à La Ciotat(j'étais pompier bord aux chantiers navals),ou encore plus tard avec Gerard Segura(j'étais pêcheur pro à Port St Louis du Rhône). 

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Y a de l'idée ! 👍

Des remarques : rajouter (59) après Lille, c'est prendre les lecteurs pour des ignares, tout le monde sait où est Lille. 😉 Le catalogue Manufrance : un minot de moins de 40 ans ne sait pas ce que c'est. "L'année de mes seize ans, donc du permis" : il n'y a jamais eu de permis mais une "autorisation de chasse sous marine " qu'on allait chercher aux AffMar. "Celles de mon frère en caoutchouc ": ton frère est en caoutchouc ? Titou champion du Monde...de quoi ?

Ce sont des détails mais je me mets à la place d'un lecteur lambda qui ne connais rien ou pas grand chose de la CSM et qui risque assez vite d'être largué et de se sentir exclu par cet "entre soi". Évidemment si les lecteur visés sont les vieux briscards de la CSM ça risque de pas faire grand monde...(de moins en moins de monde d'ailleurs) Un des attraits de ce genre de livre est aussi de susciter des vocations, si tant est que "les jeunes de maintenant" ouvrent encore des livres...

À part ça... t'as vraiment rien appris de 72 à 79?🤔

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Merci pour ces premiers commentaires, je ne suis pas un littéraire, donc je conçois volontiers qu'il y ait du texte à remanier

Non chti max, pas grand chose entre 72 et 79, d'une j'habitais ch'nord et ensuite Fontainebleau et L'Isère. Donc juste quelques jours de vacances pour tenter de chasser

 

PS/ J'ai rectifié pour les palmes et le 59

 

Ouzio: je fais tout un chapitre sur le matériel entre les chasses européennes et les tropicales et aussi des allers et retours dans le temps par la suite.

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Je vous passe la page suivante, idem plein pot sur les critiques:

Chapitre 1, la Vendée

.

Donc mon arrivée en Vendée se fait en 1979, et je m'y installe en tant qu'éleveur de lièvres (léporiculteur). En hiver je construis ces grandes cages qui accueillent un couple, et en été je peux sortir quand il me plait car en une heure, le cheptel est nourrit. J'ai jusque 120 couples. lorsque je ne sors pas, il faut entretenir, vacciner, séparer les jeunes des parents avant 4 semaines, sinon ils les tuent à cause de la superfétation, la hase (femelle du lièvre) est de nouveau pleine 3 à 4 jours avant de mettre bas. Le lièvre a aussi une autre particularité il est coprophage, il mange sa première crotte, celle-ci est chargée en bactéries et lui permet alors de digérer la cellulose, car il n'a pas 3 estomacs comme la vache. Le lièvre est aussi très agressif, il griffe, mord volontiers, il faut donc faire très attention pour les manipuler, d'autant plus qu'il fait facilement des crises cardiaques qui le paralyse. Il faut avoir vu deux mâles s'affronter dans la nature, debout face à face avec la bourre qui vole de partout, pour comprendre que ces griffes sont meurtrières. J'en porte encore une longue cicatrice sur l'avant bras droit.

Mon matériel de chasse a peu évolué pendant ces premières années depuis 1972, je suis juste passé à un fusil 75cm à sandows et tahitienne, avec lequel je ne fais de mal à personne vu que je loupe tout.

Ma première chasse en solo aux Sables d’Olonne a faillit me couter la vie : je pars du bord en face de fort Saint Nicolas, fais une centaine de mètres et commence à chasser, enfin patauger plutôt, je vois un beau congre d’une dizaine de kilos et lui tire la flèche en plein crâne. Il n’y a que 4 à 5m, je vois donc la poignée de mon arbalète facilement, je redescends pour le sortir, mais  n’y arrive pas. Le fil de flèche se prend dans mon masque/tuba et me l’arrache au fond. Je remonte en panique, mais ce fil se prend aussi autour de ma cheville. J’essaye d’atteindre la surface,  j’ai le visage à 50cm de l’air libre et ne peut l’atteindre. J’arrive à prendre mon couteau et couper le fil, ouf ! Je rentre, essoufflé, exténué,  sans matériel, mais vivant. Je n’ai jamais plus chassé sans couteau par la suite, c’est son utilité principale, vous sauver la vie.

Ce fut finalement une aubaine de perdre ce fusil avec lequel je ratais tout et c’est là que j’achète une arbalète de 75cm HD dans un magasin des Sables d’Olonne, dont le commerçant était un parent éloigné de Titou. C’est ainsi que j’ai pu faire sa connaissance par la suite. Cette arbalète, on la voit en photo avec une loooooongue flèche, on mettait ce que l’on trouvait, le choix était restreint.   (photo à Jard sur mer de mes tous premiers poissons blancs)

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Je progresse rapidement, la première année en partant à la palme du bord je fais mon premier bar de 5kg aux viviers de la mine à Talmont saint hilaire, juste derrière les murs de la pêcherie,  je m’en souviens comme si c’était hier, suivit régulièrement par d’autres du même gabarit. Il faut dire qu’à l’époque, il suffisait de plonger dans 5m d’eau pour rencontrer des compagnes entières ( on dit aussi des mattes ou banc de poissons ), peu farouches voire totalement désinhibées. On en tirait un sur le lot et il suffisait de chercher la suivante.

L’opulence a durée quelques années, jusqu’à « l’invention » du filet maillant, dit à soles pour la côte et du chalutage en bœuf sur les frayères en hiver, pour mettre la ressource à mal, et au milieu des années 1990 la messe était dite. Les compagnes se réduisaient à quelques spécimens devenus méfiants, sauf à certains endroits précis, tel Rochebonne, à 60km au large où le chalutage est interdit et où les restrictions et quotas enlèvent tout intérêt à s’y rendre de nos jours, c’est pourquoi je cite ce lieu mythique de la plongée. En 2022 vous pouvez sortir toute une journée à trois bons chasseurs, dans un semi rigide de 5.50m avec 115cv, et ne rien voir malgré une eau bien claire.

Je suis passé ensuite à des palmes aussi en caoutchouc  mais à tuyères, les premières  Jetfins,  pour plongeur, chères, dures et avec lesquelles je n’avance pas, heureusement Hugues Dessault nous fabrique les premières palmes plastiques en 1976 commercialisées quelques temps plus tard, d’une efficacité surprenante, c’est une belle évolution du matériel, et lorsque Titou crée Imersion avec Pierre Buffat vers 1995, je prends mes arbalètes chez eux naturellement, et bien sûr les palmes aussi qui sont un bel aboutissement de la palme plastique, peut être la meilleure. Je descendrais à plus de trente mètres avec ces palmes au Sénégal .

Dès 1981 je comprends qu’il me faut un bateau pour changer rapidement de secteur lorsque c’est sale, et l’eau de la Vendée est souvent turbide, aussi en changeant de quartier prestement, on a plus de chance de croiser du poisson, en l’occurrence le bar, poisson roi du département. Ce premier bateau pneumatique (acheté 1000 fr. soit 150€ actuels) de marque inconnue mesure 3.80m avec un moteur Johnson de 7.5cv  complètement rincé, qui tombe en panne à chaque sortie. Je promène ce bateau, posé sur une simple remorque de bricolage, derrière une R16, achetée également 1000fr 😂(très jolie pêche de gros bars)

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Je change rapidement pour divers moteurs aussi cahoteux, cela va du Volvo penta, en passant par le Chrysler pour terminer par un 25cv Yamaha qui ne me lâchera jamais en mer. Je cite les diverses marques de moteurs hors bord défaillants car elles n’existent plus. Puis divers zozo de 4.20m. L’un de ces Zodiacs sera surnommé « le sous marin » par Titou, car ayant le nez plat, il enfourne dans la houle de façon sévère! Comme tout le monde j’ai eu des semi-rigides dans les années 2000 puis suis passé à la coque dure, dont un Boston Wahler parfait dans le gros temps. J’ai maintenant un Poti marara à Madagascar bateau polynésien conçu pour la haute mer, mon dos m’en est reconnaissant.

Bref pendant la décennie 80 seul ou avec Titou, nous avons pu sévir et faire des chasses mémorables, voire extraordinaires, impossibles à reproduire de nos jours pour diverses raisons, les quotas de prélèvement, évidement le manque de poisson, et aussi les pierres vidées par la pression de la chasse, et l'éthique , grand mot employé trop souvent par ceux qui ne prennent pas grand chose.

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Le 10/05/2024 à 06:51, dom85 a dit :

Voilà, j'ai commencé à écrire un mémoire où je raconte des histoires de chasse sous-marine et en particulier , mes histoires. On n'est jamais si bien servi que par soi-même.

Bref, j'aimerai que vous me disiez sans détours si c'est nul ou intéressant, je n'arrive pas à me juger 😁

Je vous passe juste l'introduction, les chapitres suivants sont: la Vendée, hors de Vendée etc... mais si vous voulez en savoir plus, j'ai déjà le synopsis du livre et j'en ai déjà écris une cinquantaine de pages, il peut en contenir 3 ou 4 fois plus. Il contiendrais des photos de mes exploits mais aussi ceux de mes amis. Ca risque de faire un peu massacre, surtout la partie française, mais j'assume, je n'ai pas l'habitude de me défiler. Allez, go!

 

 

PREFACE

Etant né en 1956, il a donc fallu que j’attende 1972, mes seize ans, pour enfin pratiquer la chasse sous-marine. Je dis chasse sous-marine et non pas pêche sous-marine car on pratique bien de la chasse vu que l’on poursuit, choisit et tire son poisson.

Depuis mes douze ans je rêvais devant le catalogue Manufrance à la page sport, où un tout petit coin d’une seule page, était réservé à la plongée, et chaque année je me ruais pour aller chercher ledit catalogue à sa sortie. Il n’y avait rien d’autre, surtout à Lille, en référence sur le sujet. Pas encore de livres connus, ni de magasins spécialisés, encore moins d’internet pour tout choisir ou de forum pour tout apprendre.  Il faut dire qu’en accompagnant mon père à la pêche en étang où l’on ne prenait pas grand-chose, je me posais déjà la question de savoir comment attraper ces poissons différemment, ceux que l’on voyait évoluer au bord de l’eau. Je pensais que couché sur le ponton, je pouvais tirer ces poissons, je ne m’imaginais pas encore sous l’eau.

Coup de chance l’été 1972(l'année de mes seize ans, donc de l'autorisation de chasser) mon père est à Toulon en renfort et j’en profite pour travailler comme caddy man , un emploi disparu qui consiste à ramasser les caddys qui trainent dans l’hypermarché Mammouth où je travaille pour me faire un peu d’argent, et ma première paye sert à m’offrir une combinaison en néoprène «  peau de requin » et une arbalète(60cm) en vente dans le magasin, pour débuter ma passion refrénée jusqu’ici. Je possède déjà un masque et un tuba depuis quelques années et les palmes en caoutchouc, sont celles de mon frère  de marque Shark, petites mais bien fonctionnelles. Cela me permet de chasser le matin de 9h à midi et de travailler ensuite de 13h à 20h. Mes premières prises seront modestes.(photo 1) Ma tenue complète et quelques raies torpilles, mais aussi quelques petites soles et targeurs seront les prises de Toulon, plus exactement La Seyne sur mer.

Je chasse de droite et gauche pendant mes vacances durant quelques années sans rien attraper de remarquable, car je n’y connais strictement rien, aucun entrainement ni aucune technique, quoique du coté de Biarritz en camping, je parviens à faire des anges de mer. Mais en 1979 je m’installe à Jard sur mer comme éleveur de lièvres et là tout commence réellement. Mes sorties sont fructueuses après la perte d’un fusil porte malheur. Je m’entraine en piscine l’hiver et progresse en apnée. Le gros déclic sera ma rencontre avec Titou, Jean Baptiste Esclapez, qui vient juste d’être sacré champion du monde. Je lui fais découvrir la chasse terrestre au marais et lui m’apprend tout, ou presque de la CSM. Il lui faudra pas mal d’années pour me « débourrer ». C’est une chance énorme d’avoir eu pour ami et maitre, un chasseur de ce niveau.

Toute ma vie sera consacrée à la chasse sous marine comme seule et unique passion et encore maintenant. Toutes mes dépenses personnelles tournent autour de la chasse.

Je ne suis pas un grand lecteur encore moins un écrivain mais dans la préface je trouve qu’il manque un petit quelque chose qui fait qu’on a envie de découvrir le reste.

du genre « toute ma vie sera consacrée à la chasse sous marine avec son lots d’aventures et de mésaventures….»

après ce n’est que mon avis 

 

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-Suivit par: suivi par...

-"Je descendrais à plus de 30m" : "je descendrai..."(remplace "je descendrai" par "nous descendons" : futur simple c'est ok. Avec "nous descendrions " 

(Conditionnel présent) ça ne marche pas.

- zozo : pneumatique 

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Le 11/05/2024 à 14:48, fla33 a dit :

Je ne suis pas un grand lecteur encore moins un écrivain mais dans la préface je trouve qu’il manque un petit quelque chose qui fait qu’on a envie de découvrir le reste.

du genre « toute ma vie sera consacrée à la chasse sous marine avec son lots d’aventures et de mésaventures….»

après ce n’est que mon avis 

 

Tu as raison, je ne l'ai pas trouvé bonne non plus, par la suite je le sens qu'il y a des paragraphe accrocheurs. Il faudrait que je la remanipule

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Le 11/05/2024 à 15:23, Ch'ti max a dit :

-Suivit par: suivi par...

-"Je descendrais à plus de 30m" : "je descendrai..."(remplace "je descendrai" par "nous descendons" : futur simple c'est ok. Avec "nous descendrions " 

(Conditionnel présent) ça ne marche pas.

- zozo : pneumatique 

Merci de faire le correcteur 👌 J'ai corrigé

Je pense que pour le langage des plongeurs, comme le mot zozo, c'est destiné aux CSM, pas au grand public, et aussi j'ai prévu un lexique à la fin où je reprends tous les mots spécifiques, comme agachon, enlargué ....

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Il y a 5 heures, dom85 a dit :

comme le mot zozo, c'est destiné aux CSM, pas au grand public,

Et encore, pour moi ça évoque plus le zhomard, la bête à pinces. C'est comme PM par exemple, pour moi c'est une prémolaire mais pour un militaire c'est un pistolet mitrailleur...

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Il y a 1 heure, Ch'ti max a dit :

Et encore, pour moi ça évoque plus le zhomard, la bête à pinces. C'est comme PM par exemple, pour moi c'est une prémolaire mais pour un militaire c'est un pistolet mitrailleur...

Pour moi c'est: panier moyen.

 

Sinon pour dom et ça n'engage que moi: la 1ere question à se poser c'est de savoir pour qu'elles raisons tu veux faire ce livre.

- transmission à des proches, souvenir pour tes très vieux jours, partage pour les débutants...?

De là, tu pourras choisir un angle d'attaque qui soit plus mordant. 

Je salue le temps que tu y passes, et j'apprécie lire tes anecdotes mais je trouve que ça part trop dans tous les sens sans ligne directrice.

Belle démarche dans tous les cas, bon courage pour la suite.

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Ume, c'est un peu tout çà, souvenirs, expériences vécues que les jeunes ne pourront plus revivre, et partage aussi dans le coté didactique qui se trouve plus loin. Il y ausi les techniques de chasses que je mets à fond, mais vers la fin, après les récits d'aventures

Ce n'est pas pour publier un livre et essayer de gagner 4 sous, cela m'est égal.

Cela semble partir dans diverses direction car il n'y a qu'une seule page, je peux vous passer le chapitre complet sur la Vendée et là on voit le fil directeur et l'évolution. Enfin il me semble.

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Le 10/05/2024 à 06:51, dom85 a dit :

Je dis chasse sous-marine et non pas pêche sous-marine car on pratique bien de la chasse vu que l’on poursuit, choisit et tire son poisson.
 

Salut Dom,

Le débat pour moi est clos ! c'est bien de la pêche sous marine et non chasse sous marine !

pêche = animaux aquatique

chasse = animaux terrestre, même ceux qui volent !

et peu importe les moyens ou la façon dont tu chopes ta proie !

Pour ma part, la partie intéressante d'un tel livre, c'est de suivre l'évolution de la discipline, matériels, biologie, biotope, entraînement de l'apnéiste.........etc

A suivre.

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Definition du dictionnaire Larousse pour la chasse:

1. Action de chasser, de guetter ou de poursuivre les animaux pour les prendre ou les tuer.

Definition de la pêche:

  1. Action ou façon de prendre ou d'essayer de prendre du poisson.
     
     
    Voilà, chacun interprète comme il veut
    A ce sujet, le mot agachon vient de la chasse terrestre, mot du midi au départ
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il y a 6 minutes, dom85 a dit :

Voilà, chacun interprète comme il veut

Après, certains prélèvent, tout simplement.😂 (Expression à la con à la mode actuellement sur le forum 😉😁)

Personnellement je tire, je dégomme, je foudroie, je zigouille, je canarde, je mitraille, je shoote, j'allume, je flingue, je défouraille, je sulfate, je cartonne, je dessoude ou...des fois...je loupe.

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J'ai refait une nouvelle introduction que je ne trouvais pas terrible. et j'ai aussi un peu remanipuler le texte de la Vendée

Je vous laisse juge:

 

Préface

Voilà plus de cinquante années que je pratique la chasse sous-marine, car c’est en 1972 que je débute ce qui me hantait depuis mon enfance : capturer des poissons autrement qu’avec un fil et un hameçon. En effet couché sur les pontons, je regardais passer les poissons, pendant que mon père s’adonnait à la pêche dans les étangs, et vu qu’il ne prenait pas grand-chose, je rêvais de pouvoir les tirer. Je ne pensais pas encore me mettre sous l’eau pour y arriver.

C’est donc en 1972 à la Seyne sur mer que je débute mes actions de chasse, avec l’âge réglementaire requit de seize ans, pour m’adonner, enfin à la chasse sous-marine grâce  à une combinaison « peau de requin » de 3mm en pluche intérieure avec fermeture éclair identique à celle de Cousteau,  une arbalète de 60cm équipée d’un trident, et une paire de palmes Shark en caoutchouc venant de mon frère. Je travaille d’arrache pied dans un Mammouth (ancêtre d'Auchan) comme caddy man, pour me payer cet équipement pendant mes vacances, l’emploi consistant à ramasser les caddys qui trainent, à les mettre en rang et nettoyer les casses aux caisses enregistreuses. On n’imagine pas le nombre de bouteilles qui tombent au sol, dans un super marché. Je peux m’exercer en mer le matin de 9h à midi et ensuite prendre mon travail durant ces deux d’été.

Mes premières pêches consisteront à quelques raies torpilles, de petites soles et quelques targeurs ou un poulpe.  Je n’y connais strictement rien car à cette époque, pas de livres, pas de magasines spécialisés, et pas d’internet évidement. Le fusil est bien trop petit et la combinaison en néoprène refendu n’existe pas encore, du moins à ma connaissance, conséquence : un coup de mistral et j’ai froid.

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Je vais surtout attraper une hépatite virale carabinée qui, au retour, me tiendra au lit 3 mois, et il me faudra un an pour reprendre du volume car je ne pesais plus que 36kg. Pendant les années qui vont suivre, je continuerais de chasser uniquement pendant mes vacances, en effet habitant à Lille, ce n’est guère propice à une activité subaquatique. Je ne ferais rien de remarquable sinon quelques anges de mer à Biarritz, poisson quasi disparu de nos jours. De 1974 à 1979, je passerais  mes quinze jours disponibles de vacances aux Sables d’Olonne, à LIançà ‘(Espagne), à Malaga (Espagne)et donc Biarritz. En janvier 1979, je m’installe à Jard sur mer (non loin des Sables d’Olonne) pour y établir un élevage de lièvres. Ce sera le déclic, la Vendée étant très poissonneuse et l’année suivante je ferais la connaissance de Titou (Jean Baptiste Esclapez) qui vient d’être sacré champion du monde. La perte d’un fusil porte malheur, me donnera l’occasion de rencontrer mon idole. Ce fut une chance énorme d’avoir pour maître et pour ami un champion international. Grâce à lui, je  progresserais rapidement et nous ferons des pêches, quelques fois, extraordinaires.

Je conçois volontiers que les quantités de prises sur les photos risquent de heurter certains,  seulement dans les années 80/90 le poisson était abondant, personne ne parlait d’écologie et encore moins de restrictions. C’était un peu l’insouciance qui suivit les années 68.

 

 

 

 

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je donne mon petit grain de sel, vu que je suis encore moins littéraire je ne dirais rien sur le texte ,par contre pour les photos tu pourrais avoir la courtoisie de nommer l'auteur c'est David Hamilton non ?

blague à part, il y a des logiciels qui améliorent la netteté et des fois il est nécessaire de recadrer( faire attention à l'arrière plan)

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il y a une heure, sub sniper a dit :

des fois il est nécessaire de recadrer

Par exemple couper au niveau des chevilles. Je n'ai JAMAIS vu un chasseur remonter la plage jusqu'au parking avec les palmes aux pieds.😂

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il y a 2 minutes, Ch'ti max a dit :

Par exemple couper au niveau des chevilles. Je n'ai JAMAIS vu un chasseur remonter la plage jusqu'au parking avec les palmes aux pieds.😂

mais si ,mais si celui là il les garde en permanence :

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Il y a 3 heures, dom85 a dit :

grâce  à une combinaison « peau de requin » de 3mm en pluche intérieure avec fermeture éclair,

Là, faut parler des bandes jaunes, c'est la même combi que Cousteau, tout ça,tout ça ... Ça va retenir l'attention du lecteur, lui rappeler les émissions à la TV...etc...😁

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Il y a 3 heures, dom85 a dit :

grâce  à une combinaison « peau de requin » de 3mm en pluche intérieure avec fermeture éclair, 

 

Il y a 3 heures, dom85 a dit :

la combinaison en néoprène refendu n’existe pas encore

par contre on dirait qu'elle avait la cagoule attenante ,c'est déjà mieux que celles qui avaient la cagoule séparée...

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il y a 41 minutes, Ch'ti max a dit :

Précise : l'ancêtre d'Auchan (rachat en 1996) sinon les jeunes vont croire que tu bossais au Muséum. 😉

😄, là tu m'as bien fait rire   J'ai rajouté à tout hasard

 

Oui Sub, elle avait la cagoule attenante, et des photos de 50 ans d'age, c'est comme le cognac, on ne les trafique pas, on les prend tel quel! (ça fait du lotentique!     qui va trouver la référence?)

 

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Il y a 22 heures, dom85 a dit :

😄, là tu m'as bien fait rire   J'ai rajouté à tout hasard

 

Oui Sub, elle avait la cagoule attenante, et des photos de 50 ans d'age, c'est comme le cognac, on ne les trafique pas, on les prend tel quel! (ça fait du lotentique!     qui va trouver la référence?)

 

alors pour Lotentique forcement on a peut être pas les mêmes références :https://www.petitfute.com/v36011-chaponost-69630/c1165-restaurants/c4-cuisine-francaise/1909068-lotentique.html

sinon pour les retouches ,bin si on peut améliorer, j'ai pour ma part des dizaines de films 9mm et super 8 fait par mon grand père depuis 1920 heureusement que mon frangin à entrepris de les sauver et de les numériser sinon ce trésor serait surement perdu dans peu de temps il y a même mes débuts en chasse  vers 1975 ou 76 quelques secondes seulement ( fin de bobine)

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Je vois que personne n'a trouvé pour le lotentique, mais Sub s'en approche un tout petit peu

C'est dans Manon des sources,  Ugolin qui n'a pas pas compris le mot authentique de Jean de Florette et répète que les graines sont du lotentique

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Il y a 1 heure, dom85 a dit :

Je vois que personne n'a trouvé pour le lotentique, mais Sub s'en approche un tout petit peu

C'est dans Manon des sources,  Ugolin qui n'a pas pas compris le mot authentique de Jean de Florette et répète que les graines sont du lotentique

Ouais mais ça c’est pour ceux qui l’ont lu , ceux qui n’ont vu que le film , forcément n’ont pas l’orthographe.

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Le 10/05/2024 à 06:51, dom85 a dit :

 Ca risque de faire un peu massacre........ Allez, go!

Puisque nous avons la permission........caviardons

 

PREFACE : Texte placé en tête d'un ouvrage pour le présenter et le recommander au lecteur, en préciser éventuellement les intentions ou développer des idées plus générales

En principe rédigé par un tiers.  (Heu....! là Dom va falloir que tu trouves un "pigeon")

 

PROLOGUE : 

Avant-propos, bref avertissement dont on fait précéder un ouvrage

C'est ton cas. Tu dois y annoncer la matière et tes intentions

 

Le prologue doit être, à mon humble avis, assez court. J'ai gardé l'esprit, du moins je le  pense mais  en remaniant un peu.

Tu nous as bien dit d'y aller........hein ! Alors .....:

 

« Homme libre, toujours tu chériras la mer ». Depuis des lustres j’ai fait mien ce vers de Charles BEAUDELAIRE.

               En effet, au plus loin que je me souvienne, l’attraction pour tout  ce qui se passe sous la surface me hante. Sans doute est-ce par l’entremise de mon père, pêcheur malheureux en lacs et rivières que m’est venue l’idée de traverser le miroir. Couché sur les pontons, tandis qu’il s’acharnait en vaines bredouilles, je regardais passer les poissons. Je rêvais de pouvoir les harponner tel un sapiens des temps oubliés.

                Je ne me doutais pas que quelques années plus tard, je nouerai avec la pêche sous marine, une passion dévorante.

 

            Cet amour immodéré prend date à mes seize ans en 1972 après l’achat d’un premier équipement de plongée sous marine. Celui-ci fut durement acquis grâce à un « job » d’été dans une grande surface. J’y travaillais tous les après-midi comme caddy man.

           Cet emploi me laissant libre chaque matin, je revêtais dès l'aube et jusqu'à midi sonnant ce premier harnachement subaquatique. Il s’agissait d’une combinaison quasi identique à celle utilisée par Cousteau. Elle était adjointe d'une arbalète de 60 cm armée d’un trident et alliée d’une paire de palmes Shark en caoutchouc dûment abandonnée par mon frère.  Mon équipement se montre immédiatement inadapté. Le fusil est bien trop court et la combinaison ne me protège pas du froid. Conséquence : un coup de mistral et j’ai froid. 

           Néophyte, mes premières prises seront maigres, quelques raies torpilles, petites soles  et poulpes. A l’époque, il était difficile pour un débutant de se renseigner sur les technique de chasse sous sous-marine. Les sources d’information sont quasi inexistantes. Il n’y a ni livres, ni magasines spécialisés. Quant à l’internet il relève de la science fiction.        

 

 

             Pendant les années qui vont suivre, je continuerai de chasser uniquement pendant mes vacances. Habitant à Lille, je n’ai guère la possibilité de me livrer à une quelconque activité subaquatique.   De 1974 à 1979, je passerai  chaque année quinze jours de vacances aux Sables d’Olonne, à Biarritz et en Espagne à LIançà et Malaga. Je ne ferai rien de remarquable sinon quelques anges de mer à Biarritz, poisson quasi disparu de nos jours.

                C’est en janvier 1979 que je m’installe en Vendée, à Jard sur mer non loin des Sables d’Olonne. J’y ferai la connaissance de Jean Baptiste Esclapez  dit "Titou" qui vient d’être sacré champion du monde de pêche sub-aquatique. Quelle chance inouïe d’avoir pour maître et pour ami ce athlète international ! .

 

                Grâce à lui, je  progresserai rapidement et nous ferons parfois des pêches extraordinaires. Je voudrais à mon tour transmettre tout ce que j’ai appris.   C’est dans cet esprit de partage et de transmission que je m’attarderai sur les techniques de traque et de chasse du poisson, sur son biotope, ses espèces et climats. Je détaillerai également toutes les spécificités sécuritaires et les différents matériels à mettre en œuvre en illustrant  de photographies  et  d'anecdotes. 


 

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Et paf, te voilà embauché GP pour remanier mes textes! Je te préviens, j'estime à 150 pages mon ouvrage. 

Si j'avais ton talent, j'édite de suite cet ouvrage. Perso j'écris, toi tu fais de la prose (comme dirait Monsieur Jourdain)

Merci encore pour cette leçon, m'autorises tu à me l'approprier?

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il y a 17 minutes, dom85 a dit :

Et paf, te voilà embauché GP pour remanier mes textes! Je te préviens, j'estime à 150 pages mon ouvrage. 

Si j'avais ton talent, j'édite de suite cet ouvrage. Perso j'écris, toi tu fais de la prose (comme dirait Monsieur Jourdain)

Merci encore pour cette leçon, m'autorises tu à me l'approprier?

(1) - A 100 euros la ligne, je suis ton "nègre" ***

(2) - Je n'ai pas de talent, il est très facile de travailler sur un texte existant et difficile de partir sur une page blanche.

(3) - Bien sur........ voir  (1) 

*** pour ceux qui s'offusqueraient d'une allusion raciste : Un prête-plume ou écrivain fantôme, également appelé familièrement nègre littéraire ou simplement nègre est l'auteur anonyme d'un texte signé par une autre personne.....souvent célèbre....comme Dominique Ostentatoirement Mediatique (celle là fallait trouver!)

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