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Creation d un collectif pour se regrouper ! "COPERE"


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        Bon je ne sais pas si cela servira a quelque chose mais ,j en ai un petit peu mare que l on nous prenne pour les méchants prédateurs et destructeur de la nature  !

je n ai rien contre les pros et j ai de trés bons amis parmi eux mais il y a un moment ou il faut que les élucubrations de pseudo scientifiques vereux associé a des politiques 

qui le sont tout autant ,doivent s arrêter.....Comme on peut le voir ,le loisir est de plus en plus contraint et limité depuis 5 ans ,les bars devraient donc sauter dans les bateaux 

puisque l on a réduit le prélèvement loisir de façon drastique et l on voit que cela ne sert a rien ,on le réduit donc encore de moitié  .....Cherchez l erreur

    Voila pour vous inscrire ....pêcheur a la ligne,compétiteurs ou barboteurs car bientôt vous n aurez meme pu le droit de vous baigner en dehors des zones surveillées ....🤬

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Le 13/01/2024 à 21:18, Ch'ti max a dit :

J'ai lu la charte, c'est bien beau mais je n'ai rien vu sur les moyens d'action envisagés. Se rassembler d'accord, mais si c'est pour remuer du vent...

Malheureusement comme toujours 🤔🤨

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Et oui je viens de sortir ,car on disait qu il fallait que je me modère .....Mais les gens vont dans le sens de l infantilisation de l etre humain ....

    Tous etait d accord pour le coupe circuit,puis le port du gilet obligatoire ,j ai donc demandé un contrôle technique pour les bateaux ,un permis de peche en mer ,un canot de sauvetage revisé chaque année ,plus un bateau en remorque au cas ou le radeau de survie ne fonctionne pas ,enfin j ai beaucoup d idée pour rendre la mer tres sure ....

    Ah oui pas de bateau de moins de 5,2 m si les vagues sont supérieur a 20 cm et le vent a plus de 10 km/h .....La je dois avoir tout bon

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Il y a 2 heures, VCTERIC a dit :

Et oui je viens de sortir ,car on disait qu il fallait que je me modère .....Mais les gens vont dans le sens de l infantilisation de l etre humain ....

    Tous etait d accord pour le coupe circuit,puis le port du gilet obligatoire ,j ai donc demandé un contrôle technique pour les bateaux ,un permis de peche en mer ,un canot de sauvetage revisé chaque année ,plus un bateau en remorque au cas ou le radeau de survie ne fonctionne pas ,enfin j ai beaucoup d idée pour rendre la mer tres sure ....

    Ah oui pas de bateau de moins de 5,2 m si les vagues sont supérieur a 20 cm et le vent a plus de 10 km/h .....La je dois avoir tout bon

C'est aussi, et surtout, dû à la judiciarisation / assuranciarisation : à chaque fois qu'il y a un pépin "on" (celui qui a eu la merde, sa famille, son assurance, etc.) recherche un responsable pour se dédouaner de ses responsabilités, de ses choix hasardeux, etc. on n'est pas encore aux USA mais on fait des efforts.

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Il y a 3 heures, elinhan a dit :

Et pendant ce temps-là… 

Les bulletins de vote pour les extrémistes libéraux ont des conséquences 🤷🏼

IMG_4185.jpeg

Tu m'a devancé

IMG_20240126_163238.jpg.6615e156254adb7bed1d4cc3477704f6.jpg

 

À part ça les pêcheurs de loisir sont des ravageurs de ressources...

 

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Il y a 14 heures, thearthur a dit :

Tu m'a devancé

 

Il y a 18 heures, elinhan a dit :

Et pendant ce temps-là… 

J'ai posté ça le 18 janvier...

https://www.chasse-sous-marine.com/forums/topic/74930-pêche-du-bar-et-du-lieu-2024/?do=findComment&comment=1264200

 

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Tiré de l'article de Bloom:

"En outre, la rentabilité des flottilles utilisant des chaluts et sennes de fond  est dépendante des subventions publiques : 1 kg de ressources pêchées est subventionné entre 50 et 75 centimes d’euros pour ces flottilles, quand les autres flottilles sont subventionnées à moins de 30 
centimes d’euros par kilogramme débarqué. Le montant des subventions, essentiellement lié à la détaxe du gasoil, est supérieur à l’excédent brut d’exploitation pour tous les chalutiers industriels et pour les chalutiers hauturiers de 
fond. La rentabilité de ces flottilles est donc artificielle et a un coût social et environnemental exorbitant, supporté par 
les contribuables et les écosystèmes naturels. A contrario, la rentabilité de l’ensemble des arts dormants ne dépend pas 
des financements publics. A ce titre, le bilan multifactoriel 
établi par le groupement de recherche plaide pour un arrêt 
du subventionnement massif des navires industriels utilisant 
le chalut, en particulier le chalut de fond.
A l’autre bout du spectre, la petite pêche côtière (navires de 0 à 12 mètres) aux arts dormants,majoritaire en nombre 
de navires, représente un faible volume des captures (10% 
du total), mais sait créer de la valeur ajoutée et de l’emploi (19 et 21% du total, respectivement). A titre d’illustration, la flottille des chalutiers pélagiques industriels génère 10 fois moins d’emplois par tonne débarquée, alors même 
qu’elle reçoit 7 fois plus de subventions par emploi. Quant 
à la flottille des chalutiers de fond industriels, elle touche 5  fois plus de subventions par emploi que les navires côtiers utilisant des arts dormants, et presque 2 fois plus par kilo débarqué."

https://bloomassociation.org/rapport-inedit-transition-peches/

Changer-de-cap.pdf

 

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Celui qui achète du poisson à la poissonnerie le paye 2 fois : 1 fois à la caisse et 1 fois dans ses impôts. (Un peu comme les légumes d'ailleurs...)

Résumé de l'étude de Bloom "à contre courant" de 2024:

"Les subventions publiques au secteur de la pêche en France sont aujourd’hui fortement axées sur le soutien au carburant et profitent d’abord aux acteurs industriels, en venant soutenir les pratiques les plus énergivores et dont l’impact sur les écosystèmes marins est le plus important.

Ces financements sont, pour la quasi-totalité, aveugles aux différents types de pêche et font ainsi l’impasse sur le soutien aux pratiques les plus vertueuses environnementalement et socialement. Les résultats de cette étude reposent sur des données de première main, ainsi que sur des montants estimés.

Les principales sources de données sont les budgets de l’État (projets de loi de règlement aussi appelés« PLR ») auxquels viennent s’ajouter des estimations d’exonérations fiscales sur le carburant, des estimations d’exonérations fiscales sur les cotisations sociales et des dépenses publiques européennes qui ne transitent pas par les budgets de l’État. Notre revue des subventions se focalise sur les années 2020, 2021 et 2022. En raison des spécificités de l’année 2020 (baisse des dépenses de carburant résultant de l’arrêt de certains navires à cause du COVID-19 et mise en place de subventions pour compenser la perte de chiffre d’affaires) et certaines données pour 2022 n’étant pas encore disponibles, notre analyse se concentre principalement sur l’année 2021.

En 2021, le montant des subventions publiques d’État au secteur approchait ainsi les 291 millions d’euros, soit 26% du chiffre d’affaires annuel de la pêche française (1,13 Md€,2021)

. À ce montant, nous pouvons raisonnablement ajouter :

-> 4,6 millions d’euros de subventions versées par l’Union eu-ropéenne à certains pays d’Afrique de l’Ouest et de l’océan Indien dans le cadre d’accords de pêche, permettant ainsi à 41 navires français d’accéder aux ressources situées dans les eaux de ces États.

-> 5,5 millions d’euros de subventions communautaires prove-nant du Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche (FEAMP, hors contrepartie nationale et ne transitant donc pas par le budget de l’État). Il s’agit d’une année particulièrement faible. En comparaison, les subventions étaient de 50 millions d’euros sur cette enveloppe en 2020.

-> 26,2 millions d’euros provenant d’aides communautaires(hors FEAMP) pour le Brexit.

En tenant compte de ces montants, la part des subventions publiques dans le chiffre d’affaires du secteur atteint ainsi 29%.

Les exonérations fiscales sur le carburant occupent une place centrale dans ces subventions, soit 63% du montant total des aides recensées en 2021. Elles ne font aucune distinction entre les pratiques les plus vertueuses et les pratiques les plus délétères. En effet, près de 47% des subventions au carburant sont captées par des navires de plus de 24 mètres, alors que cette partie de la flotte de pêche ne représente que 3% du nombre de navires et 28% de l’emploi. Face aux difficultés structurelles du secteur – hausse des coûts de production,surpêche causant une raréfaction des ressources, pression sur les prix et compétition entre pêcheurs artisanaux et acteurs industriels –, ces dispositifs de court terme masquent l’absence d’investissement pour l’avenir du secteur.

Cette étude met également en évidence une absence quasi totale de critères de durabilité associés à l’octroi des subventions, une absence de définition de ces critères lorsque ceux-ci existent ainsi qu’un faible montant de subventions dédiées à la durabilité tant au niveau français qu’européen.

Enfin, nous avons tenté de tirer des conclusions sur les conséquences de ces subventions et d’ébaucher des pistes pour améliorer le soutien de l’État au secteur de la pêche.

Afin de réduire les émissions de CO2 du secteur et dans l’intérêt de la préservation des écosystèmes marins et la pérennisation de la pêche côtière, il est en effet nécessaire de réduire progressivement le soutien aux énergies fossiles et d’accompagner les patrons-pêcheurs et les armateurs vers des pratiques soutenables. Plus généralement, il est nécessaire de renforcer significativement les critères de durabilité associés à l’octroi des subventions, de différencier les aides en fonction du type de pêche et d’améliorer la transparence des aides au secteur dans la comptabilité publique ainsi que leur imbrication avec les aides européennes."

Plus tu racles les fonds (de la mer bien sûr) plus t'es subventionné alors... pourquoi se gêner. Bon , évidemment, la pêche aux arts dormants (filets surtout) n'a pas que des qualités non plus, référence aux captures accidentelles de cétacés...

 

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On marche sur la tête dans beaucoup de secteurs où comment mal utiliser la masse financière des impôts... pourquoi ne pas investir massivement dans une agriculture plus respectueuse de l'environnement et idem pour la pêche ! On finance les plus gros destructeurs de façon significative en laissant crever les petites unités qui sont durables pour l'environnement...quelle société de merde, c'est à gerber 🤮

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Il y a 1 heure, antho35 a dit :

On marche sur la tête dans beaucoup de secteurs où comment mal utiliser la masse financière des impôts... pourquoi ne pas investir massivement dans une agriculture plus respectueuse de l'environnement et idem pour la pêche ! On finance les plus gros destructeurs de façon significative en laissant crever les petites unités qui sont durables pour l'environnement...quelle société de merde, c'est à gerber 🤮

Très bonne conclusion !!!

Perso j'ai connu les "prix de retrait" à la pêche dans les années 90 à début 2000 un non sens hallucinant on payait le poisson aux navires pour le détruire et le foutre à la poubelle alors qu'avec les mêmes sommes (voire moins) on aurait pu indemniser les navires à rester à quai et foutre la paix à la ressource pendant les périodes de forts débarquements (en hiver) c'était une évidence pour beaucoup mais les gros armements influents ne voulaient pas en entendre parler, ironie de l'histoire c'est un peu ce qui est mis en place aujourd'hui avec l'arrêt d'un mois.......

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il y a une heure, maigrat a dit :

Très bonne conclusion !!!

Perso j'ai connu les "prix de retrait" à la pêche dans les années 90 à début 2000 un non sens hallucinant on payait le poisson aux navires pour le détruire et le foutre à la poubelle alors qu'avec les mêmes sommes (voire moins) on aurait pu indemniser les navires à rester à quai et foutre la paix à la ressource pendant les périodes de forts débarquements (en hiver) c'était une évidence pour beaucoup mais les gros armements influents ne voulaient pas en entendre parler, ironie de l'histoire c'est un peu ce qui est mis en place aujourd'hui avec l'arrêt d'un mois.......

Merci 😉 

Encore une fois, même si je n'y connais rien dans ce domaine, nous n'apprenons pas des erreurs passées...la morue à terre neuve en est 1 flagrant exemple...peut-être que dans 50 ans tous ces putains de bateaux à fabrique à merde auront disparus tout comme la vie dans les océans...

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il y a 32 minutes, antho35 a dit :

peut-être que dans 50 ans tous ces putains de bateaux à fabrique à merde auront disparus tout comme la vie dans les océans...

C'est sûr, ils auront disparu bien avant. Leur mode de fonctionnement les voue à disparaitre, quand le tonnage pêché ne couvrira plus les frais, que le carburant coûtera le même prix que le Chanel No5 et que les gouvernements devront mettre fin aux subventions parce que...les caisses seront vidées par d'autres besoins plus"urgents".

Quand à la vie dans les océans y en aura toujours, mais pas la même...🦠

Bon, le "Soylent green" ça doit pas être si dégueu après tout.

Rendez-vous dans 50 ans.😉

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Il y a 2 heures, antho35 a dit :

Merci 😉 

Encore une fois, même si je n'y connais rien dans ce domaine, nous n'apprenons pas des erreurs passées...la morue à terre neuve en est 1 flagrant exemple...peut-être que dans 50 ans tous ces putains de bateaux à fabrique à merde auront disparus tout comme la vie dans les océans...

Je l'espère pour ces p....de bateaux, mais ces gros requins sauront manger d'autres petits poissons, je ne me fais pas d'illusions

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Il y a 14 heures, Ch'ti max a dit :

Tiré de l'article de Bloom:

"En outre, la rentabilité des flottilles utilisant des chaluts et sennes de fond  est dépendante des subventions publiques : 1 kg de ressources pêchées est subventionné entre 50 et 75 centimes d’euros pour ces flottilles, quand les autres flottilles sont subventionnées à moins de 30 
centimes d’euros par kilogramme débarqué. Le montant des subventions, essentiellement lié à la détaxe du gasoil, est supérieur à l’excédent brut d’exploitation pour tous les chalutiers industriels et pour les chalutiers hauturiers de 
fond. La rentabilité de ces flottilles est donc artificielle et a un coût social et environnemental exorbitant, supporté par 
les contribuables et les écosystèmes naturels. A contrario, la rentabilité de l’ensemble des arts dormants ne dépend pas 
des financements publics. A ce titre, le bilan multifactoriel 
établi par le groupement de recherche plaide pour un arrêt 
du subventionnement massif des navires industriels utilisant 
le chalut, en particulier le chalut de fond.
A l’autre bout du spectre, la petite pêche côtière (navires de 0 à 12 mètres) aux arts dormants,majoritaire en nombre 
de navires, représente un faible volume des captures (10% 
du total), mais sait créer de la valeur ajoutée et de l’emploi (19 et 21% du total, respectivement). A titre d’illustration, la flottille des chalutiers pélagiques industriels génère 10 fois moins d’emplois par tonne débarquée, alors même 
qu’elle reçoit 7 fois plus de subventions par emploi. Quant 
à la flottille des chalutiers de fond industriels, elle touche 5  fois plus de subventions par emploi que les navires côtiers utilisant des arts dormants, et presque 2 fois plus par kilo débarqué."

https://bloomassociation.org/rapport-inedit-transition-peches/

Changer-de-cap.pdf 19.83 Mo · 1 téléchargement

 

Merci pour le partage c'est très intéressant. Et encore plus effarant que ce que je pouvais imaginer. 

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Ne cherchez pas de logique au dysfonctionnement...☺️

En 1996 on a eu 800.000 FF de subventions (180.000€ actuels) pour l'achat d'un thonier seyneur.

Mais en 2001 on a reçu plus de 150.000 € de prime pour le mettre a la casse.

Soit 330.000 € pour un bateau acheté 350.000€, exploité 6 ans et dont on a revendu pour 55.000€ d'accessoires.

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